L'histoire de la MX-5 remonte à 1990 avec la défunte Miata. Depuis ses prolifiques débuts, le petit roadster de Mazda est devenu la voiture du genre la plus vendue au monde. Aujourd'hui une icône de l'industrie de l'automobile, la MX-5 s'est payé un toit rigide rétractable à la veille de ses 18 ans.
Le style de la MX-5 est toujours aussi efficace; il est ni plus ni moins qu'une lente évolution du premier modèle de 1990. Même si la voiture grossit toujours un peu plus d'une génération à l'autre, ses lignes demeure un exemple d'homogénéité. Symbole du plaisir de conduire, ce petit bolide inspire toujours autant l'envie de toutes les générations confondues.
Malheureusement, la MX-5 a les défauts de ses qualités. En réalité, tout ce qui fait qu'un roadster est un roadster se transforme bien vite en irritant avec les semaines qui passent. En effet, une fois que l'extase de rouler le toit abaissé par une belle journée ensoleillée est passée, on se rend compte qu'il est inutile de penser partir en vacances, à moins de voyager léger, très léger.
L'accès à bord n'est pas facile pour tout le monde. Comme le véhicule est très bas, on doit se contorsionner pour accéder à l'habitacle, et ce, même quand le toit est abaissé; alors, imaginez quand le toit est en place. L'accès est étroit et bas. De plus, le pilier A, incliné, accentue cet effet; donc, gare à la tête ! Les dimensions du coffre étaient déjà très réduites avec la capote souple, heureusement que le toit rigide et son mécanisme n'ampute pas le coffre davantage.
Une fois qu'on est bien installé, la position des sièges est superbe. En position allongée, comme je l'aime, le court levier de vitesses est bien placé, calé entre les sièges, et les seuils de portes sont élevés, la recette pour une petite sportive. Pour soutenir cette sportivité, la voiture n'est pas truffée de commodités qui peuvent nous distraire du plaisir de la conduire. Ici, c'est simple, et c'est tant mieux.
 |
| Le style de la MX-5 est toujours aussi efficace; il est ni plus ni moins qu'une lente évolution du premier modèle de 1990. |
Le style de la MX-5 est toujours aussi efficace; il est ni plus ni moins qu'une lente évolution du premier modèle de 1990. Même si la voiture grossit toujours un peu plus d'une génération à l'autre, ses lignes demeure un exemple d'homogénéité. Symbole du plaisir de conduire, ce petit bolide inspire toujours autant l'envie de toutes les générations confondues.
Malheureusement, la MX-5 a les défauts de ses qualités. En réalité, tout ce qui fait qu'un roadster est un roadster se transforme bien vite en irritant avec les semaines qui passent. En effet, une fois que l'extase de rouler le toit abaissé par une belle journée ensoleillée est passée, on se rend compte qu'il est inutile de penser partir en vacances, à moins de voyager léger, très léger.
L'accès à bord n'est pas facile pour tout le monde. Comme le véhicule est très bas, on doit se contorsionner pour accéder à l'habitacle, et ce, même quand le toit est abaissé; alors, imaginez quand le toit est en place. L'accès est étroit et bas. De plus, le pilier A, incliné, accentue cet effet; donc, gare à la tête ! Les dimensions du coffre étaient déjà très réduites avec la capote souple, heureusement que le toit rigide et son mécanisme n'ampute pas le coffre davantage.
Une fois qu'on est bien installé, la position des sièges est superbe. En position allongée, comme je l'aime, le court levier de vitesses est bien placé, calé entre les sièges, et les seuils de portes sont élevés, la recette pour une petite sportive. Pour soutenir cette sportivité, la voiture n'est pas truffée de commodités qui peuvent nous distraire du plaisir de la conduire. Ici, c'est simple, et c'est tant mieux.
 |
| Heureusement, le toit rigide et son mécanisme n'ampute pas le coffre davantage. |