Un équipement plus complet qui se monnaye, puisqu'il y a un écart de plus de 3000 $ entre les prix de base de ces deux modèles. Un écart qui confirme le statut « Mazda3 du pauvre » pour la GX...
Bon confort à l'avant
L'aménagement de l'habitacle n'a pas changé non plus. Les sièges baquets conservent leurs multiples possibilités de réglages, en hauteur et en inclinaison pour l'assise. Une caractéristique appréciée, car ce coussin est bas. Le dossier enveloppant à soutien lombaire procure un maintien latéral adéquat en courbe. Dommage, cependant, que les sièges chauffants soient réservés à la berline GT. Snif !
En revanche, le volant inclinable et télescopique permet d'affiner la position de conduite, un bienfait dont on ne profite pas dans toutes les berlines compactes. De même, les jeunes mélomanes apprécieront la chaîne audio à quatre haut-parleurs, qui offre une connexion permettant de brancher les baladeurs du genre iPod.
Car de jeunes passagers, la banquette arrière en recevra souvent. C'est à eux qu'elle convient le mieux, tant l'espace pour les pieds et les jambes y est compté -- surtout quand une grande personne prend place au volant.
Le dossier divisé en deux sections asymétriques est rabattable. Il permet de prolonger la surface de chargement du coffre, qui n'est pas des plus pratiques. Parmi les berlines compactes, le coffre de la Mazda3 est le moins volumineux avec celui de la Mitsubishi Lancer (respectivement 325 et 328 litres). Les Cobalt, Focus, Elantra et Versa font toutes mieux avec des coffres dont le volume utile est 25 % supérieur.
Il faut préciser que l'ouverture étroite et peu profonde du coffre de la Mazda3 limite également la taille des colis qu'on peut y déposer. Un objet de plus de 41 centimètres ne peut passer par l'ouverture que découvre le couvercle. Si vous envisagez l'achat d'un écran géant de télé, prévoyez de le faire livrer !
La forme relevée du coffre limite également le champ de vision arrière, ce qui complique parfois les manoeuvres de stationnement.
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| La boîte de vitesses automatique dispose d'un mode manuel très pratique. |
Bon confort à l'avant
L'aménagement de l'habitacle n'a pas changé non plus. Les sièges baquets conservent leurs multiples possibilités de réglages, en hauteur et en inclinaison pour l'assise. Une caractéristique appréciée, car ce coussin est bas. Le dossier enveloppant à soutien lombaire procure un maintien latéral adéquat en courbe. Dommage, cependant, que les sièges chauffants soient réservés à la berline GT. Snif !
En revanche, le volant inclinable et télescopique permet d'affiner la position de conduite, un bienfait dont on ne profite pas dans toutes les berlines compactes. De même, les jeunes mélomanes apprécieront la chaîne audio à quatre haut-parleurs, qui offre une connexion permettant de brancher les baladeurs du genre iPod.
Car de jeunes passagers, la banquette arrière en recevra souvent. C'est à eux qu'elle convient le mieux, tant l'espace pour les pieds et les jambes y est compté -- surtout quand une grande personne prend place au volant.
Le dossier divisé en deux sections asymétriques est rabattable. Il permet de prolonger la surface de chargement du coffre, qui n'est pas des plus pratiques. Parmi les berlines compactes, le coffre de la Mazda3 est le moins volumineux avec celui de la Mitsubishi Lancer (respectivement 325 et 328 litres). Les Cobalt, Focus, Elantra et Versa font toutes mieux avec des coffres dont le volume utile est 25 % supérieur.
Il faut préciser que l'ouverture étroite et peu profonde du coffre de la Mazda3 limite également la taille des colis qu'on peut y déposer. Un objet de plus de 41 centimètres ne peut passer par l'ouverture que découvre le couvercle. Si vous envisagez l'achat d'un écran géant de télé, prévoyez de le faire livrer !
La forme relevée du coffre limite également le champ de vision arrière, ce qui complique parfois les manoeuvres de stationnement.
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| Le coffre de la Mazda3 est le moins volumineux de sa catégorie. |