Et à l’image de la berline, qui vient de se payer une importante cure de rajeunissement, la qualité de l’habitacle du coupé relève beaucoup plus des modèles huppés du constructeur qu’on pourrait s’y attendre pour un véhicule d’entrée de gamme. Le cockpit attrayant emprunte en effet des éléments des chics Classe E et CLS, mis en valeur par des combinaisons de couleurs variées, des matériaux luxueux et soyeux et des garnitures créées avec soin.
Les sièges sont confortables et bien rembourrés; le conducteur profite d’un trône entièrement réglable et des commandes sur les portières bien connues qu’on retrouve sur toute la gamme Mercedes-Benz, mais – et il témoigne de la nature d’entrée de gamme de la voiture – le siège du passager de la version de base se règle manuellement, et on ne peut pas le glisser vers l’avant pour accéder facilement à la banquette arrière. La banquette elle-même est adéquate, et ses deux sièges se rabattent pour augmenter la taille du coffre.
La console centrale bien pensée abrite un écran à ACL de 5,8 pouces affichant les données du système de navigation, de la radio et de connectivité, données qu’un centre d’information pratique dans le bloc d’instruments peut reprendre.
On empoigne un superbe volant gainé de cuir à dessous plat qui se prend super bien en main; épais et gommeux, il comprend des palettes pour changer les vitesses et des commandes à défilement pour le centre d’information.
Une variété de systèmes de sécurité de série et optionnels nous protège, arrivant des modèles de luxe : surveillance des angles morts, avertisseur de changement de voie, assistance au stationnement (qui évalue l’espace disponible), détection de somnolence ATTENTION ASSIST et 11 coussins gonflables.
Même si le V6 de 3,5 litres retravaillé du C 350 déploie plus de chevaux, il s’avère également plus économique grâce à la distribution à commande variable et l’injection directe. Allié à la boîte automatique à sept rapports et ses réglages ergonomiques, il ne brûle que 10,8 litres aux 100 km en ville par rapport aux 12,3 litres enregistrés précédemment dans la berline C 350 2011.
Le V6 et la boîte à sept vitesses se complètent à merveille et livrent la puissance tout en douceur, mais ils se montrent plus léthargiques au décollage que le quatre-cylindres turbo.
Un brin plus bruyant, ce dernier se veut plus vif et engageant grâce à une forte dose de couple et la nervosité accrue qui en résulte. Généralement, j’ai tendance à ignorer les palettes au volant de toute machine sauf les coupés les plus performants et les infâmes modèles encombrés d’une CVT, mais celles-ci vont très bien au moteur fougueux du C 250, répondant instantanément lors de dépassements. Et vu qu’il n’avale que 9,6 L/100 km en ville et 6,3 L sur la route, le C 250 constitue, pour moi, le choix évident.
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| La console centrale bien pensée abrite un écran à ACL de 5,8 pouces affichant les données du système de navigation et de la radio. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Les sièges sont confortables et bien rembourrés; le conducteur profite d’un trône entièrement réglable et des commandes sur les portières bien connues qu’on retrouve sur toute la gamme Mercedes-Benz, mais – et il témoigne de la nature d’entrée de gamme de la voiture – le siège du passager de la version de base se règle manuellement, et on ne peut pas le glisser vers l’avant pour accéder facilement à la banquette arrière. La banquette elle-même est adéquate, et ses deux sièges se rabattent pour augmenter la taille du coffre.
La console centrale bien pensée abrite un écran à ACL de 5,8 pouces affichant les données du système de navigation, de la radio et de connectivité, données qu’un centre d’information pratique dans le bloc d’instruments peut reprendre.
On empoigne un superbe volant gainé de cuir à dessous plat qui se prend super bien en main; épais et gommeux, il comprend des palettes pour changer les vitesses et des commandes à défilement pour le centre d’information.
Une variété de systèmes de sécurité de série et optionnels nous protège, arrivant des modèles de luxe : surveillance des angles morts, avertisseur de changement de voie, assistance au stationnement (qui évalue l’espace disponible), détection de somnolence ATTENTION ASSIST et 11 coussins gonflables.
Même si le V6 de 3,5 litres retravaillé du C 350 déploie plus de chevaux, il s’avère également plus économique grâce à la distribution à commande variable et l’injection directe. Allié à la boîte automatique à sept rapports et ses réglages ergonomiques, il ne brûle que 10,8 litres aux 100 km en ville par rapport aux 12,3 litres enregistrés précédemment dans la berline C 350 2011.
Le V6 et la boîte à sept vitesses se complètent à merveille et livrent la puissance tout en douceur, mais ils se montrent plus léthargiques au décollage que le quatre-cylindres turbo.
Un brin plus bruyant, ce dernier se veut plus vif et engageant grâce à une forte dose de couple et la nervosité accrue qui en résulte. Généralement, j’ai tendance à ignorer les palettes au volant de toute machine sauf les coupés les plus performants et les infâmes modèles encombrés d’une CVT, mais celles-ci vont très bien au moteur fougueux du C 250, répondant instantanément lors de dépassements. Et vu qu’il n’avale que 9,6 L/100 km en ville et 6,3 L sur la route, le C 250 constitue, pour moi, le choix évident.
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| Emboîtant le pas à Audi, la Mercedes d’entrée de gamme ajoute désormais un quatre-cylindres turbo sophistiqué et fougueux. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |







