La différence BlueTEC
Je ne vous apprendrai rien sur la présence des moteurs diesels dans les automobiles que nous conduisons aujourd'hui, comme en Europe où ils surpassent largement en nombre les moteurs à essence. Par contre, je suis sûr que vous serez intéressé de savoir que la technologie innovatrice BlueTEC de Mercedes a été puisée dans sa gamme de camions commerciaux et convertie à ses voitures et VUS.
Sans entrer trop dans les détails techniques, sachez que BlueTEC consiste en une solution à base d'urée aqueuse, appelée AdBlue, contenue dans un réservoir spécial et injectée dans le système d'échappement afin de provoquer une réaction chimique. Un catalyseur perfectionné et un filtre à particules sont aussi de la partie. En bout de ligne, plus de 80 % des émissions d'oxyde d'azote sont neutralisées.
Les moteurs BlueTEC affichent également une consommation réduite de carburant, une puissance généreuse et, surtout, un couple prodigieux. Celui à six cylindres qui alimente le nouveau GLK (que j'ai essayé plus tôt cette année) m'a séduit dans toutes les phases de son fonctionnement. Vous comprendrez donc que j'étais pour le moins excité de mettre à l'épreuve le ML320 BlueTEC 2009.
Tout en puissance...
Le V6 turbodiesel de 3,2 litres qui se cache sous le capot produit 210 chevaux à 3400 tours/minute et un couple de 400 livres-pied entre 1600 et 2400 tours/minute. Et il le fait en défiant toutes les conventions en matière de silence et de raffinement.
Démarrer le moteur BlueTEC est aussi simple que tourner la grosse clé dans le contact, bien qu'un léger délai se fasse sentir lors des démarrages à froid. Avec les températures anormalement glaciales sur la Côte Ouest, j'ai eu l'occasion de vérifier la capacité de l'engin à réagir au froid extrême. Bonne nouvelle: le démarrage ne s'est jamais fait bien attendre et le fonctionnement était sans faille.
J'ai été un peu surpris de devoir enfoncer profondément la pédale d'accélérateur pour lancer le ML avec aplomb. Cela dit, il reste beaucoup de puissance en réserve quand on décide d'appuyer encore plus à fond. Les décollages sont étonnamment féroces, en partie grâce à la boîte automatique à sept rapports.
Je ne vous apprendrai rien sur la présence des moteurs diesels dans les automobiles que nous conduisons aujourd'hui, comme en Europe où ils surpassent largement en nombre les moteurs à essence. Par contre, je suis sûr que vous serez intéressé de savoir que la technologie innovatrice BlueTEC de Mercedes a été puisée dans sa gamme de camions commerciaux et convertie à ses voitures et VUS.
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| Le V6 turbodiesel de 3,2 litres qui se cache sous le capot produit 210 chevaux à 3400 tours/minute. |
Sans entrer trop dans les détails techniques, sachez que BlueTEC consiste en une solution à base d'urée aqueuse, appelée AdBlue, contenue dans un réservoir spécial et injectée dans le système d'échappement afin de provoquer une réaction chimique. Un catalyseur perfectionné et un filtre à particules sont aussi de la partie. En bout de ligne, plus de 80 % des émissions d'oxyde d'azote sont neutralisées.
Les moteurs BlueTEC affichent également une consommation réduite de carburant, une puissance généreuse et, surtout, un couple prodigieux. Celui à six cylindres qui alimente le nouveau GLK (que j'ai essayé plus tôt cette année) m'a séduit dans toutes les phases de son fonctionnement. Vous comprendrez donc que j'étais pour le moins excité de mettre à l'épreuve le ML320 BlueTEC 2009.
Tout en puissance...
Le V6 turbodiesel de 3,2 litres qui se cache sous le capot produit 210 chevaux à 3400 tours/minute et un couple de 400 livres-pied entre 1600 et 2400 tours/minute. Et il le fait en défiant toutes les conventions en matière de silence et de raffinement.
Démarrer le moteur BlueTEC est aussi simple que tourner la grosse clé dans le contact, bien qu'un léger délai se fasse sentir lors des démarrages à froid. Avec les températures anormalement glaciales sur la Côte Ouest, j'ai eu l'occasion de vérifier la capacité de l'engin à réagir au froid extrême. Bonne nouvelle: le démarrage ne s'est jamais fait bien attendre et le fonctionnement était sans faille.
J'ai été un peu surpris de devoir enfoncer profondément la pédale d'accélérateur pour lancer le ML avec aplomb. Cela dit, il reste beaucoup de puissance en réserve quand on décide d'appuyer encore plus à fond. Les décollages sont étonnamment féroces, en partie grâce à la boîte automatique à sept rapports.
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| Le ML320 BlueTEC offre un roulement agréable, silencieux et bien contrôlé. |