La configuration hybride de la S400 est ce qu’on appelle une « hybridation légère » dans l’industrie. Mercedes-Benz l’a baptisée « BlueHYBRID ». Peu importe la nomenclature, n’attendez-vous pas à ce que la S400 rôde à pas feutrés à l’aide uniquement de sa batterie, malgré le système révolutionnaire au lithium-ion.
La S400 fait appel à un mélange d’essence et d’électricité, cette dernière ajoutant 20 ch et 118 pi-lb de couple au rendement d’un V6 de 3,5 litres. Ce cocktail culmine en 295 chevaux et 284 pi-lb de couple.
La cavalerie est déployée par l’intermédiaire des roues arrière, permettant à la grosse berline de bondir de 0 à 100 km/h en 7,2 courtes secondes. Une boîte automatique G-TRONIC à sept rapports est en partie responsable de l’autorité que le pied droit semble gagner.
Marche et arrêt
La technologie BlueHYBRID éteint le moteur à essence lorsque la S400 s’arrête, ce qui permet de conserver de l’essence quand la voiture est immobile. Lorsqu’on relâche la pédale de frein, le moteur se réveille instantanément.
Pour la plupart, l’arrêt et le démarrage du moteur sont imperceptibles, à moins qu’on avance à pas de tortue en circulation dense, où on lâche le frein pour avancer d’une longueur de voiture avant de s’arrêter à nouveau.
Dans ce scénario, le V6 s’éteint et se rallume constamment… ce qui devient un peu agaçant à la longue. Évidemment, il suffit de se rappeler que ni argent, ni polluant ne fuit de l’échappement dans cette situation.
Le freinage par récupération
Comme les autres configurations hybrides, celle de la S400 recouvre de l’énergie électrique grâce au freinage par récupération. Cette fonction tend à modifier le comportement des freins par rapport aux systèmes traditionnels.
Il est difficile d’articuler la sensation, mais comme pour tous les hybrides que j’ai mis à l’essai, les freins de la S400 peuvent mordre dans une situation et sembler peu enthousiastes dans d’autres. Mais bon, il suffit de prendre le temps de s’adapter à ce type de système.
 |
| Un mélange d’essence et d’électricité ajoute 20 ch et 118 pi-lb de couple au rendement d’un V6 de 3,5 litres. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
La S400 fait appel à un mélange d’essence et d’électricité, cette dernière ajoutant 20 ch et 118 pi-lb de couple au rendement d’un V6 de 3,5 litres. Ce cocktail culmine en 295 chevaux et 284 pi-lb de couple.
La cavalerie est déployée par l’intermédiaire des roues arrière, permettant à la grosse berline de bondir de 0 à 100 km/h en 7,2 courtes secondes. Une boîte automatique G-TRONIC à sept rapports est en partie responsable de l’autorité que le pied droit semble gagner.
Marche et arrêt
La technologie BlueHYBRID éteint le moteur à essence lorsque la S400 s’arrête, ce qui permet de conserver de l’essence quand la voiture est immobile. Lorsqu’on relâche la pédale de frein, le moteur se réveille instantanément.
Pour la plupart, l’arrêt et le démarrage du moteur sont imperceptibles, à moins qu’on avance à pas de tortue en circulation dense, où on lâche le frein pour avancer d’une longueur de voiture avant de s’arrêter à nouveau.
Dans ce scénario, le V6 s’éteint et se rallume constamment… ce qui devient un peu agaçant à la longue. Évidemment, il suffit de se rappeler que ni argent, ni polluant ne fuit de l’échappement dans cette situation.
Le freinage par récupération
Comme les autres configurations hybrides, celle de la S400 recouvre de l’énergie électrique grâce au freinage par récupération. Cette fonction tend à modifier le comportement des freins par rapport aux systèmes traditionnels.
Il est difficile d’articuler la sensation, mais comme pour tous les hybrides que j’ai mis à l’essai, les freins de la S400 peuvent mordre dans une situation et sembler peu enthousiastes dans d’autres. Mais bon, il suffit de prendre le temps de s’adapter à ce type de système.
 |
| La technologie BlueHYBRID éteint le moteur à essence lorsque la S400 s’arrête. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |