Le système appelé Magic Sky Control consiste en un panneau de verre transparent à commande électrique intégré à la capote rigide. Une fois activé, il bloque jusqu'à 90 % de la lumière du soleil (vu de l'extérieur, il paraît complètement opaque).
Trois déclinaisons de la voiture seront commercialisées au Canada. Déjà en salle de montre, la SLK350 renferme un V6 de 3,5 litres à injection directe qui génère 302 chevaux exclusivement par l'entremise de la boîte 7G-Tronic, une automatique à sept rapports avec mode manuel.
En novembre viendra s'ajouter la SLK250 au quatre-cylindres turbocompressé de 1,8 litre. Ce nouveau moteur explosif utilise un grand refroidisseur intermédiaire sous le radiateur afin de produire 201 chevaux.
Celle qui fait saliver les mordus de performance débarquera chez nous au cours du même mois. La SLK55 AMG adopte un V8 de 5,5 litres, une suspension améliorée, un design plus agressif et un intérieur rehaussé.
En prenant place derrière le volant et en appuyant sur le bouton (fonction de démarrage sans clé optionnelle), le bourdonnement guttural du V6 nous avertit que le plaisir est sur le point de commencer. Le moteur permet même de choisir entre les modes Eco, Sport et Manuel, tandis que la suspension adaptative optionnelle nous propose un réglage Normal (par défaut) ou Sport (ferme mais agréable).
Un large sourire s'accroche au visage dès les premiers tours de roues puis, en plongeant dans le premier virage, il se fend jusqu'aux oreilles. Difficile à croire qu'une voiture aussi paisible sur les boulevards se transforme à ce point après une série de courbes. Le roulement, tantôt souple, devient alors juste assez ferme pour minimiser le tangage du châssis. Grâce aux savants ingénieurs de Mercedes, tout ce que vous verrez tanguer, c'est votre corps se pressant de plus en plus contre le rebord extérieur du siège sous l'effet de la force centrifuge.
Avec des dimensions aussi compactes, la SLK nous permet de trouver facilement nos points de repère, que ce soit pour se stationner ou épouser parfaitement le point de corde dans un virage serré.
Les freinages brusques ne perturbent pas l'équilibre de la voiture; ils l'écrasent seulement sur ses amortisseurs. S'il vous arrive de commettre une erreur, les dispositifs électroniques viendront subtilement vous aider, si bien que votre copilote croira être assis aux côtés de Sebastian Vettel. En désactivant l'électronique, vous vous retrouverez à la merci d'un bolide à propulsion qui donne très peu d'avertissements.
Trois déclinaisons de la voiture seront commercialisées au Canada. Déjà en salle de montre, la SLK350 renferme un V6 de 3,5 litres à injection directe qui génère 302 chevaux exclusivement par l'entremise de la boîte 7G-Tronic, une automatique à sept rapports avec mode manuel.
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| La SLK350 renferme un V6 de 3,5 litres à injection directe qui génère 302 chevaux exclusivement. (Photo: Mercedes-Benz) |
En novembre viendra s'ajouter la SLK250 au quatre-cylindres turbocompressé de 1,8 litre. Ce nouveau moteur explosif utilise un grand refroidisseur intermédiaire sous le radiateur afin de produire 201 chevaux.
Celle qui fait saliver les mordus de performance débarquera chez nous au cours du même mois. La SLK55 AMG adopte un V8 de 5,5 litres, une suspension améliorée, un design plus agressif et un intérieur rehaussé.
En prenant place derrière le volant et en appuyant sur le bouton (fonction de démarrage sans clé optionnelle), le bourdonnement guttural du V6 nous avertit que le plaisir est sur le point de commencer. Le moteur permet même de choisir entre les modes Eco, Sport et Manuel, tandis que la suspension adaptative optionnelle nous propose un réglage Normal (par défaut) ou Sport (ferme mais agréable).
Un large sourire s'accroche au visage dès les premiers tours de roues puis, en plongeant dans le premier virage, il se fend jusqu'aux oreilles. Difficile à croire qu'une voiture aussi paisible sur les boulevards se transforme à ce point après une série de courbes. Le roulement, tantôt souple, devient alors juste assez ferme pour minimiser le tangage du châssis. Grâce aux savants ingénieurs de Mercedes, tout ce que vous verrez tanguer, c'est votre corps se pressant de plus en plus contre le rebord extérieur du siège sous l'effet de la force centrifuge.
Avec des dimensions aussi compactes, la SLK nous permet de trouver facilement nos points de repère, que ce soit pour se stationner ou épouser parfaitement le point de corde dans un virage serré.
Les freinages brusques ne perturbent pas l'équilibre de la voiture; ils l'écrasent seulement sur ses amortisseurs. S'il vous arrive de commettre une erreur, les dispositifs électroniques viendront subtilement vous aider, si bien que votre copilote croira être assis aux côtés de Sebastian Vettel. En désactivant l'électronique, vous vous retrouverez à la merci d'un bolide à propulsion qui donne très peu d'avertissements.
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| Avec des dimensions aussi compactes, la SLK nous permet de trouver facilement nos points de repère. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |