Un peu de changement
En matière de mécanique, cependant, la CLS 550 n'a subi aucune modification. Elle continue de compter sur son V8 de 5,5 litres qui développe 382 chevaux sans trop s'essouffler. Elle se montre toujours aussi dynamique en conduite, enchaînant les courbes et les virages de la campagne viennoise sans jamais hésiter.
Mieux encore, les modes réglables entre confort ou sport permettent d'orchestrer des manoeuvres, ma foi, assez amusantes, sans pour autant compromettre la stabilité ou la trajectoire du véhicule. On ressent bien une certaine lourdeur par moment, mais encore faut-il se souvenir que la CLS mise d'abord sur le luxe et le confort avant la performance.
Ce qui n'est pas le cas cependant de la version 63 AMG de cette même CLS. Cette fois, aucun doute, aucune hésitation; la bête est prête à dévorer la route, enfilant virages, freinages et accélérations avec une aisance déconcertante, malgré les dimensions imposantes du véhicule.
Le V8 fait entendre son ronron, et dès qu'on appuie un peu sur l'accélérateur, il vrombit avec insistance comme pour rappeler son existence. Ce son est encore plus présent en 2009 alors qu'on a modifié le système d'échappement de la CLS 63 AMG pour le rendre encore plus agréable.
Mais la vraie modification de cette AMG, c'est sa boîte automatique à mode manuel. En 2009, c'est la version 7G-tronic plus Speedshift qui équipe la voiture. Un changement radical en accélération, puisque les montées en puissance sont accompagnées d'un véritable ballet de changement de rapports.
Le changement est cependant plus radical encore en décélération, alors qu'un nouveau réglage permet de laisser la voiture effectuer un véritable talon-pointe, gardant constamment le moteur au bon régime pour une réaccélération efficace.
Concrètement, la nouvelle boîte agit exactement comme un pilote de course le ferait; à la moindre rétrogradation, elle augmente le régime du moteur pour le mettre à l'endroit exact où il pourra retrouver sa plage maximale de puissance, en faisant entendre un petit ronronnement à chaque changement.
Alors que cette modification n'a que peu d'impact sur les autoroutes (même là où la vitesse maximale est plus élevée que chez nous, comme c'est le cas en Allemagne et en Autriche), mais favorise une conduite nettement plus agressive sur les routes sinueuses.
En matière de mécanique, cependant, la CLS 550 n'a subi aucune modification. Elle continue de compter sur son V8 de 5,5 litres qui développe 382 chevaux sans trop s'essouffler. Elle se montre toujours aussi dynamique en conduite, enchaînant les courbes et les virages de la campagne viennoise sans jamais hésiter.
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| Le moteur V8 de 5,5 litres propose 382 chevaux et 391 lb-pi de couple. |
Mieux encore, les modes réglables entre confort ou sport permettent d'orchestrer des manoeuvres, ma foi, assez amusantes, sans pour autant compromettre la stabilité ou la trajectoire du véhicule. On ressent bien une certaine lourdeur par moment, mais encore faut-il se souvenir que la CLS mise d'abord sur le luxe et le confort avant la performance.
Ce qui n'est pas le cas cependant de la version 63 AMG de cette même CLS. Cette fois, aucun doute, aucune hésitation; la bête est prête à dévorer la route, enfilant virages, freinages et accélérations avec une aisance déconcertante, malgré les dimensions imposantes du véhicule.
Le V8 fait entendre son ronron, et dès qu'on appuie un peu sur l'accélérateur, il vrombit avec insistance comme pour rappeler son existence. Ce son est encore plus présent en 2009 alors qu'on a modifié le système d'échappement de la CLS 63 AMG pour le rendre encore plus agréable.
Mais la vraie modification de cette AMG, c'est sa boîte automatique à mode manuel. En 2009, c'est la version 7G-tronic plus Speedshift qui équipe la voiture. Un changement radical en accélération, puisque les montées en puissance sont accompagnées d'un véritable ballet de changement de rapports.
Le changement est cependant plus radical encore en décélération, alors qu'un nouveau réglage permet de laisser la voiture effectuer un véritable talon-pointe, gardant constamment le moteur au bon régime pour une réaccélération efficace.
Concrètement, la nouvelle boîte agit exactement comme un pilote de course le ferait; à la moindre rétrogradation, elle augmente le régime du moteur pour le mettre à l'endroit exact où il pourra retrouver sa plage maximale de puissance, en faisant entendre un petit ronronnement à chaque changement.
Alors que cette modification n'a que peu d'impact sur les autoroutes (même là où la vitesse maximale est plus élevée que chez nous, comme c'est le cas en Allemagne et en Autriche), mais favorise une conduite nettement plus agressive sur les routes sinueuses.
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| Elle freine et accélère avec une aisance déconcertante, malgré ses dimensions imposantes. |