En abattant le « gaz » à la sortie d’un virage à gauche depuis un feu vert, la MINI E a déchaîné ses pneus avant avec un envoûtant gémissement avant d’avaler le bitume avec une pointe d’effet de couple.
C’est là que mon sourire a commencé à se dessiner.
Les accélérations ne sont pas silencieuses comme celles de la plupart des hybrides; au contraire, elles sont accompagnées d’une plainte audible qui devient de plus en plus aiguë à mesure qu’on prend de la vitesse. Et vu l’absence de rapports, les 201 chevaux et 162 pi-lb de couple disponibles à tout moment assurent une prise de vitesse très rapide, merci!
Oralement, la MINI E n’a pas l’enthousiasme macho d’un moteur à pistons traditionnel, mais le gémissement du système électrique est réjouissant à sa façon.
N’oubliez pas : il n’y a pas d’essence en jeu ici, et les performances sont considérablement supérieures à celle des hybrides flasques types. La MINI E est aussi rapide qu’une Cooper S, ou qu’une VW GTI ou Volvo C30 T5, si vous aimez mieux.
Vu que le punch coupleux du moteur est disponible en tout temps et à tout régime, la même bouffée de puissance enlevante est au garde-à-vous à pratiquement toutes les vitesses. La seule exception est au décollage, où les gaz électroniques font avancer la MINI E un peu avant de déchaîner sa pleine puissance.
Le décollage et la récupération par freinage intensive rendent la pédale de frein presque obsolète aussi.
La ravissante tenue de route du constructeur était également au rendez-vous, tout comme sa direction ultra rapide et sa suspension ferme et sportive. Et le climatiseur fonctionnait à merveille aussi!
Après quelque 70 kilomètres passés sur les sinueuses routes secondaires et autoroutes ontariennes, la prestation de cette petite MINI électrique avait réussi à arracher un réel sourire à ce maniaque automobile endurci. La technologie fonctionne vraiment, même si elle n’est pas tout à fait à point dans ce premier modèle.
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| Les 201 chevaux et 162 pi-lb de couple disponibles à tout moment assurent une prise de vitesse très rapide, merci! (Photo: BMW) |
C’est là que mon sourire a commencé à se dessiner.
Les accélérations ne sont pas silencieuses comme celles de la plupart des hybrides; au contraire, elles sont accompagnées d’une plainte audible qui devient de plus en plus aiguë à mesure qu’on prend de la vitesse. Et vu l’absence de rapports, les 201 chevaux et 162 pi-lb de couple disponibles à tout moment assurent une prise de vitesse très rapide, merci!
Oralement, la MINI E n’a pas l’enthousiasme macho d’un moteur à pistons traditionnel, mais le gémissement du système électrique est réjouissant à sa façon.
N’oubliez pas : il n’y a pas d’essence en jeu ici, et les performances sont considérablement supérieures à celle des hybrides flasques types. La MINI E est aussi rapide qu’une Cooper S, ou qu’une VW GTI ou Volvo C30 T5, si vous aimez mieux.
Vu que le punch coupleux du moteur est disponible en tout temps et à tout régime, la même bouffée de puissance enlevante est au garde-à-vous à pratiquement toutes les vitesses. La seule exception est au décollage, où les gaz électroniques font avancer la MINI E un peu avant de déchaîner sa pleine puissance.
Le décollage et la récupération par freinage intensive rendent la pédale de frein presque obsolète aussi.
La ravissante tenue de route du constructeur était également au rendez-vous, tout comme sa direction ultra rapide et sa suspension ferme et sportive. Et le climatiseur fonctionnait à merveille aussi!
Après quelque 70 kilomètres passés sur les sinueuses routes secondaires et autoroutes ontariennes, la prestation de cette petite MINI électrique avait réussi à arracher un réel sourire à ce maniaque automobile endurci. La technologie fonctionne vraiment, même si elle n’est pas tout à fait à point dans ce premier modèle.
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| La ravissante tenue de route du constructeur était également au rendez-vous, tout comme sa direction ultra rapide. (Photo: BMW) |