Il va sans dire que le bonheur au volant s’accroît lorsque les miroirs sont correctement alignés. Voyez-vous, la visibilité arrière n’est pas très grande mais les angles morts, eux, le sont. En plaçant bien les miroirs, il est moins nécessaire de faire la toupie quand on veut jeter un œil à ce qui se trouve autour du véhicule.
Une de mes principales préoccupations avant de faire l’essai routier de la Mitsubishi Eclipse 2009, c’était son côté pratique au quotidien. À l’arrière, il y a un gros caisson d’extrêmes graves pour le système de son haut de gamme et je vais vous dire qu’il accapare beaucoup d’espace.
J’ai eu la drôle d’idée d’aller chercher de la pelouse en rouleaux et de la charger dans le coffre de l’Eclipse. Avec les dossiers arrière en place, j’ai pu loger neuf rouleaux de pelouse (l’équivalent de 90 pieds carrés). C’est la seule fois où j’ai senti que l’excellente maniabilité de l’Eclipse était affectée. Normal, après tout, quand on transporte un poids d’environ 90 kilos quelques centimètres derrière l’essieu arrière…
Les autres activités de mon train-train quotidien, comme me rendre au boulot et trouver des places de stationnement au centre-ville, ne m’ont posé aucune difficulté. La banquette arrière, par contre, n’a vraiment pas été utile. Il faut la considérer davantage comme une étagère coussinée qu’une place pour asseoir des personnes. Même mon jeune fiston, pourtant très souple, a refusé d’y camper le temps d’une promenade.
Aussi confortables que soient la conduite et les sièges avant de ce coupé, l’accès constitue un défi à chaque fois. Détrompez-vous, mon âge avancé n’est pas en cause ici. Non, c’est plutôt le fait que l’Eclipse est une vraie sportive et, par conséquent, qu’elle repose très près du sol. Alors, pour y accéder, il faut exécuter toutes sortes de manœuvres qui ressemblent globalement à une collision contrôlée. Une fois habitué à la procédure, cependant, on réalise que l’effort en vaut bien la peine.
photo:Charles Renny
Voyez-vous, la visibilité arrière n’est pas très grande mais les angles morts, eux, le sont. |
Une de mes principales préoccupations avant de faire l’essai routier de la Mitsubishi Eclipse 2009, c’était son côté pratique au quotidien. À l’arrière, il y a un gros caisson d’extrêmes graves pour le système de son haut de gamme et je vais vous dire qu’il accapare beaucoup d’espace.
J’ai eu la drôle d’idée d’aller chercher de la pelouse en rouleaux et de la charger dans le coffre de l’Eclipse. Avec les dossiers arrière en place, j’ai pu loger neuf rouleaux de pelouse (l’équivalent de 90 pieds carrés). C’est la seule fois où j’ai senti que l’excellente maniabilité de l’Eclipse était affectée. Normal, après tout, quand on transporte un poids d’environ 90 kilos quelques centimètres derrière l’essieu arrière…
Les autres activités de mon train-train quotidien, comme me rendre au boulot et trouver des places de stationnement au centre-ville, ne m’ont posé aucune difficulté. La banquette arrière, par contre, n’a vraiment pas été utile. Il faut la considérer davantage comme une étagère coussinée qu’une place pour asseoir des personnes. Même mon jeune fiston, pourtant très souple, a refusé d’y camper le temps d’une promenade.
Aussi confortables que soient la conduite et les sièges avant de ce coupé, l’accès constitue un défi à chaque fois. Détrompez-vous, mon âge avancé n’est pas en cause ici. Non, c’est plutôt le fait que l’Eclipse est une vraie sportive et, par conséquent, qu’elle repose très près du sol. Alors, pour y accéder, il faut exécuter toutes sortes de manœuvres qui ressemblent globalement à une collision contrôlée. Une fois habitué à la procédure, cependant, on réalise que l’effort en vaut bien la peine.
Sa carrosserie a tellement des allures sportives et racées qu’on mériterait presque de recevoir une contravention même quand elle est garée. |
photo:Charles Renny