Le conducteur bénéficie donc d’un moteur qui a du souffle. Fort de ses 168 chevaux, il produit un peu plus de couple que la moyenne et assure des accélérations et des reprises bien au-delà des attentes pour une voiture familiale.
D’ailleurs, la boîte de vitesses manuelle à 5 rapports, livrée en équipement de série, permet d’exploiter pleinement la vivacité de ce moteur multisoupape. Avec seulement cinq rapports? Absolument, puisqu’ils sont bien étagés. En guise d’alternative, Mitsubishi propose une boîte automatique à variation continue.
Bien sûr, si l’écusson Ralliart se substituait au GTS, un 2,0 litres turbo de 237 chevaux, la transmission intégrale et la boîte séquentielle à 6 rapports transformeraient cette compacte en petit bolide. Mais pour retrancher une demi-seconde sur le temps d’accélération de 0 à 100 km/h et risquer plus souvent de perdre son permis de conduire, il faudrait allonger au moins 10 000 $ de plus.
Conduite agréable
La Sportback GTS a une servodirection précise à l’assistance bien dosée. La suspension « sport » (qualificatif du fabricant) masque bien les défauts du revêtement et procure un roulement ferme, mais sans excès. Le freinage, assuré par des disques aux quatre roues et facile à doser, s’accorde à ce qualificatif.
Bref, cette Lancer propose un compromis intéressant en matière de confort de roulement et de conduite sportive. Pourquoi payer plus cher pour s’offrir une Ralliart?
Après tout, ses sièges-baquets sont moulants et ajustables en hauteur. Ils procurent le maintien souhaité lorsqu’on conduit sur des routes sinueuses. En revanche, le volant est inclinable, mais pas télescopique. Une omission décevante, puisque nombre de rivales offrent cette caractéristique, qui permet d’optimiser la position de conduite.
La banquette arrière convient à deux personnes de petite taille. De plus, au moment d’y prendre place, mieux vaut penser à se pencher la tête, au risque de se le faire rappeler par la forme arquée du pavillon!
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| Avec la suspension à réglages plutôt fermes, le fabricant a prévu une barre de renfort transversale à l'avant. |
D’ailleurs, la boîte de vitesses manuelle à 5 rapports, livrée en équipement de série, permet d’exploiter pleinement la vivacité de ce moteur multisoupape. Avec seulement cinq rapports? Absolument, puisqu’ils sont bien étagés. En guise d’alternative, Mitsubishi propose une boîte automatique à variation continue.
Bien sûr, si l’écusson Ralliart se substituait au GTS, un 2,0 litres turbo de 237 chevaux, la transmission intégrale et la boîte séquentielle à 6 rapports transformeraient cette compacte en petit bolide. Mais pour retrancher une demi-seconde sur le temps d’accélération de 0 à 100 km/h et risquer plus souvent de perdre son permis de conduire, il faudrait allonger au moins 10 000 $ de plus.
Conduite agréable
La Sportback GTS a une servodirection précise à l’assistance bien dosée. La suspension « sport » (qualificatif du fabricant) masque bien les défauts du revêtement et procure un roulement ferme, mais sans excès. Le freinage, assuré par des disques aux quatre roues et facile à doser, s’accorde à ce qualificatif.
Bref, cette Lancer propose un compromis intéressant en matière de confort de roulement et de conduite sportive. Pourquoi payer plus cher pour s’offrir une Ralliart?
Après tout, ses sièges-baquets sont moulants et ajustables en hauteur. Ils procurent le maintien souhaité lorsqu’on conduit sur des routes sinueuses. En revanche, le volant est inclinable, mais pas télescopique. Une omission décevante, puisque nombre de rivales offrent cette caractéristique, qui permet d’optimiser la position de conduite.
La banquette arrière convient à deux personnes de petite taille. De plus, au moment d’y prendre place, mieux vaut penser à se pencher la tête, au risque de se le faire rappeler par la forme arquée du pavillon!
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| La Sportback GTS est livrée soit avec une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports ou une boîte automatique à variation continue. |