Une opération au coeur n'est jamais une bonne nouvelle pour un jeune athlète. Brian Vickers croit pourtant que cela lui servira pour l'avenir, lui qui compte bien revenir plus fort encore en 2011.
« J’apprécie mieux la vie. Je constate que j’ai été chanceux », a déclaré celui qui a dû subir une opération sérieuse pour dégager des caillots sanguins qui auraient pu être mortels.
Bien que le danger d’une pareille intervention était bien présent, Vickers n’a jamais hésité. « Je préfère mourir sur la table d’opération que d’une attaque cardiaque », avait-il déclaré. « Je ne veux pas prendre le risque de vivre comme un légume. »
« On m’a donné la chance de prendre du recul sur ma vie et ma carrière. Je ne changerai pas grand-chose à mon retour, mais il y aura du changement », a-t-il indiqué.
L’opération de Vickers a eu lieu le 12 juillet dernier et a été qualifiée de succès. Sa médication éclaircissant son sang, il a vite dû accepter qu’il ne puisse reprendre le volant avant la fin de sa période de convalescence, prévue pour janvier prochain.
Les docteurs ont indiqué au jeune athlète qu’il se portait « mieux que jamais », ce qui l’encourage à affirmer sans doute : « Je serai en piste l’an prochain. »
« J’apprécie mieux la vie. Je constate que j’ai été chanceux », a déclaré celui qui a dû subir une opération sérieuse pour dégager des caillots sanguins qui auraient pu être mortels.
Bien que le danger d’une pareille intervention était bien présent, Vickers n’a jamais hésité. « Je préfère mourir sur la table d’opération que d’une attaque cardiaque », avait-il déclaré. « Je ne veux pas prendre le risque de vivre comme un légume. »
« On m’a donné la chance de prendre du recul sur ma vie et ma carrière. Je ne changerai pas grand-chose à mon retour, mais il y aura du changement », a-t-il indiqué.
L’opération de Vickers a eu lieu le 12 juillet dernier et a été qualifiée de succès. Sa médication éclaircissant son sang, il a vite dû accepter qu’il ne puisse reprendre le volant avant la fin de sa période de convalescence, prévue pour janvier prochain.
Les docteurs ont indiqué au jeune athlète qu’il se portait « mieux que jamais », ce qui l’encourage à affirmer sans doute : « Je serai en piste l’an prochain. »