Le protectionnisme de NASCAR par rapport à son commanditaire en titre aura finalement eu raison d'une seconde compagnie de télécommunication.
La compagnie Verizon offrira donc ses 12 à 17 millions de dollars à l’équipe Penske Racing, mais plus particulièrement à l’équipe de la monoplace No. 12 de Will Power dans la série IndyCar dès 2011.
« C’est la preuve [le départ de Verizon] que nous devons rester alertes et que nous devons fournir plus de retour sur l’investissement pour nos commanditaires. Si ça avait été le cas pour Verizon, ils n’auraient pas changé de plans », a expliqué Dan Richlen, le vice-président de Wunderman.
Ce départ est également la confirmation, en quelque sorte, de l’habileté qu’a NASCAR de protéger ses commanditaires en titre, soit Sprint et Nationwide.
Même si des compagnies concurrentes ont le droit légitime de se joindre à la série, leur commandite ne doit pas venir mettre des bâtons dans les roues à la priorité du commanditaire majeur.
« C’est un modèle que nous avons adopté il y a plusieurs années et c’est un sacrifice que nous comprenons et acceptons dans le but d’assurer des fonds constants à notre sport », a déclaré le chef marketing de NASCAR, Steve Phelps.
« Il y a eu beaucoup de limitations qui ont rendu le partenariat difficile et qui nous a convaincus qu’il était temps de passer à autre chose », a pour sa part résumé Jon Flack, président et COO de Just Marketing International, l’agence qui aidait Verizon avec sa commandite NASCAR.
La compagnie Verizon offrira donc ses 12 à 17 millions de dollars à l’équipe Penske Racing, mais plus particulièrement à l’équipe de la monoplace No. 12 de Will Power dans la série IndyCar dès 2011.
« C’est la preuve [le départ de Verizon] que nous devons rester alertes et que nous devons fournir plus de retour sur l’investissement pour nos commanditaires. Si ça avait été le cas pour Verizon, ils n’auraient pas changé de plans », a expliqué Dan Richlen, le vice-président de Wunderman.
Ce départ est également la confirmation, en quelque sorte, de l’habileté qu’a NASCAR de protéger ses commanditaires en titre, soit Sprint et Nationwide.
Même si des compagnies concurrentes ont le droit légitime de se joindre à la série, leur commandite ne doit pas venir mettre des bâtons dans les roues à la priorité du commanditaire majeur.
« C’est un modèle que nous avons adopté il y a plusieurs années et c’est un sacrifice que nous comprenons et acceptons dans le but d’assurer des fonds constants à notre sport », a déclaré le chef marketing de NASCAR, Steve Phelps.
« Il y a eu beaucoup de limitations qui ont rendu le partenariat difficile et qui nous a convaincus qu’il était temps de passer à autre chose », a pour sa part résumé Jon Flack, président et COO de Just Marketing International, l’agence qui aidait Verizon avec sa commandite NASCAR.