Sur la route
Les deux exemplaires d'Altima Coupé que j'ai testés lors du lancement médiatique organisé par Nissan étaient alimentés par le prodigieux V6--l'un avec la manuelle et l'autre avec la CVT. Mais avant de parler des transmissions, laissez-moi vous donner mes impressions sur l'habitacle admirablement conçu.
Les matériaux employés à l'intérieur sont de grande qualité et assez raffinés compte tenu du prix de base modeste de l'Altima Coupé. L'aménagement est irréprochable et les dimensions à l'avant sont suffisantes mais sans plus. Le confort à l'arrière et l'accès pour s'y rendre et en sortir est typique des voitures dans cette catégorie. Notons que les dossiers des places arrière se rabattent parfaitement à plat, ce qui rehausse considérablement le caractère pratique du coupé.
Avec la clé intelligente à proximité, il suffit d'appuyer sur un bouton pour faire démarrer le moteur. Une fois en marche, ce dernier livre une performance fluide et polie qui permet au conducteur de s'enivrer dans l'enchaînement des courbes et des belles lignes droites. L'accélération est vive, quelle que soit la transmission, et le moins qu'on puisse dire, c'est que le pouvoir de dépassement est grandiose. En outre, le son du moteur demeure feutré jusqu'à ce qu'on pousse la voiture; un grognement raffiné retentit alors jusque dans nos veines.
Enchaîner les rapports avec la boîte manuelle est une expérience agréable, mais pas autant qu'avec les meilleures transmissions de la catégorie. La CVT, en revanche, est d'une fonctionnalité remarquable lorsque jumelée au V6. En raison du raffinement opérationnel de ce dernier, le comportement de la boîte CVT est tout à fait discret... à moins d'exiger une accélération soutenue au maximum. Le cas échant, on perçoit facilement l'absence de changements de rapport.
Ceci dit, on peut quand même décider soi-même de la progression grâce au mode manuel de la boîte CVT. Cette fonction m'a d'ailleurs très impressionné par son efficacité. J'ai également été surpris par l'agilité de l'Altima Coupé dans les virages.
Bien que je n'aie pu tester la voiture en piste, j'ai trouvé qu'elle réagissait de manière instantanée et prévisible aux commandes transmises au volant, et ce, sans entraîner un tangage ou tout autre mouvement désagréable. On nous a dit que le nouveau châssis ultra rigide de l'Altima Coupé emploie de l'acier à très haute résistance dans une proportion de 22 %. L'absence de vibrations et de soubresauts sur les rues les plus endommagées du Minnesota est venue confirmer la solidité du véhicule. Stabilité et sérénité sont omniprésentes avec cette Nissan.
Les deux exemplaires d'Altima Coupé que j'ai testés lors du lancement médiatique organisé par Nissan étaient alimentés par le prodigieux V6--l'un avec la manuelle et l'autre avec la CVT. Mais avant de parler des transmissions, laissez-moi vous donner mes impressions sur l'habitacle admirablement conçu.
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| Les récents produits Nissan utilisent des matériaux de meilleur qualité. |
Les matériaux employés à l'intérieur sont de grande qualité et assez raffinés compte tenu du prix de base modeste de l'Altima Coupé. L'aménagement est irréprochable et les dimensions à l'avant sont suffisantes mais sans plus. Le confort à l'arrière et l'accès pour s'y rendre et en sortir est typique des voitures dans cette catégorie. Notons que les dossiers des places arrière se rabattent parfaitement à plat, ce qui rehausse considérablement le caractère pratique du coupé.
Avec la clé intelligente à proximité, il suffit d'appuyer sur un bouton pour faire démarrer le moteur. Une fois en marche, ce dernier livre une performance fluide et polie qui permet au conducteur de s'enivrer dans l'enchaînement des courbes et des belles lignes droites. L'accélération est vive, quelle que soit la transmission, et le moins qu'on puisse dire, c'est que le pouvoir de dépassement est grandiose. En outre, le son du moteur demeure feutré jusqu'à ce qu'on pousse la voiture; un grognement raffiné retentit alors jusque dans nos veines.
Enchaîner les rapports avec la boîte manuelle est une expérience agréable, mais pas autant qu'avec les meilleures transmissions de la catégorie. La CVT, en revanche, est d'une fonctionnalité remarquable lorsque jumelée au V6. En raison du raffinement opérationnel de ce dernier, le comportement de la boîte CVT est tout à fait discret... à moins d'exiger une accélération soutenue au maximum. Le cas échant, on perçoit facilement l'absence de changements de rapport.
Ceci dit, on peut quand même décider soi-même de la progression grâce au mode manuel de la boîte CVT. Cette fonction m'a d'ailleurs très impressionné par son efficacité. J'ai également été surpris par l'agilité de l'Altima Coupé dans les virages.
Bien que je n'aie pu tester la voiture en piste, j'ai trouvé qu'elle réagissait de manière instantanée et prévisible aux commandes transmises au volant, et ce, sans entraîner un tangage ou tout autre mouvement désagréable. On nous a dit que le nouveau châssis ultra rigide de l'Altima Coupé emploie de l'acier à très haute résistance dans une proportion de 22 %. L'absence de vibrations et de soubresauts sur les rues les plus endommagées du Minnesota est venue confirmer la solidité du véhicule. Stabilité et sérénité sont omniprésentes avec cette Nissan.
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| Seul le capot est partagé avec la berline. |