Misuno San ne visait pas à construire une voiture légère, mais bien une voiture rigide et solide : ainsi, on utilise l'aluminium, l'acier, la fibre de carbone ou le titane pour en assurer la rigidité. On estampille trois fois les feuilles de métal pour leur assurer une tolérance élevée à la déformation.
D'où sortent ces 480 chevaux ?
Ils proviennent du nouveau V6 à double turbo de 3,8 litres. Ce moteur possède un bloc-cylindres en aluminium avec alésages traités au plasma ultra résistant : fini les chemises de cylindre (cylinder sleeve). Le couple atteint 430 livres-pied entre 3200 et 5200 tr/min. Chaque moteur, dont l'équilibre est parfait, est monté à la main par un technicien dans un atelier sans poussière. Chacun est testé sur banc d'essai, et chacun des outils utilisés est inscrit dans l'ADN du moteur pour qu'on puisse le retracer en cas de bris afin de déterminer si c'est l'outil qui est en cause ou non.
Six rapports à portée de la main
La boîte est unique et montée également à la main : elle se retrouve sur le porte-à-faux arrière, ce qui permet de libérer de l'espace dans la cabine. Le tunnel étroit transmet la puissance aux roues par l'entremise d'un arbre de transmission en carbone à l'aller et d'un arbre en acier au retour (vers l'avant). La GT-R possède un embrayage double, sans pédalier. La boîte comporte trois modes : automatique, manuel et manuel R. Le mode manuel R permet de passer les rapports en deux millisecondes grâce aux leviers de sélection au volant. Rattaché à cette boîte, un système ultra technique de transmission intégrale qui, lui aussi, comporte trois modes de fonctionnement : normal, R et neige. Le couple se répartira jusqu'à 50 % aux roues avant. Avec l'absence d'un embrayage normal, un système d'assistance au démarrage en pente facilite les départs sur chaussée inclinée.
Quatre roues bien suspendues
La suspension à quatre roues indépendantes compte des doubles triangles à l'avant et des multibras à l'arrière. Leur dessin est surbaissé comme dans le cas des voitures de course. Des amortisseurs Bilstein avec fonction d'amortissement contrôlé électroniquement équipe cette Nissan GT-R. Le conducteur peut choisir parmi trois modes de fonctionnement : normal/sport, R pour la piste et confort.
La direction à crémaillère est contrôlée électroniquement tout comme l'accélérateur. Dans les deux cas, on ne le perçoit pas. Précis, le volant jouit d'un mouvement très court : 2,6 tours d'une butée à l'autre.
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| Le tout nouveau V6 biturbo de 3,8 litres développe 480 chevaux @ 6 000 tr/min. |
D'où sortent ces 480 chevaux ?
Ils proviennent du nouveau V6 à double turbo de 3,8 litres. Ce moteur possède un bloc-cylindres en aluminium avec alésages traités au plasma ultra résistant : fini les chemises de cylindre (cylinder sleeve). Le couple atteint 430 livres-pied entre 3200 et 5200 tr/min. Chaque moteur, dont l'équilibre est parfait, est monté à la main par un technicien dans un atelier sans poussière. Chacun est testé sur banc d'essai, et chacun des outils utilisés est inscrit dans l'ADN du moteur pour qu'on puisse le retracer en cas de bris afin de déterminer si c'est l'outil qui est en cause ou non.
Six rapports à portée de la main
La boîte est unique et montée également à la main : elle se retrouve sur le porte-à-faux arrière, ce qui permet de libérer de l'espace dans la cabine. Le tunnel étroit transmet la puissance aux roues par l'entremise d'un arbre de transmission en carbone à l'aller et d'un arbre en acier au retour (vers l'avant). La GT-R possède un embrayage double, sans pédalier. La boîte comporte trois modes : automatique, manuel et manuel R. Le mode manuel R permet de passer les rapports en deux millisecondes grâce aux leviers de sélection au volant. Rattaché à cette boîte, un système ultra technique de transmission intégrale qui, lui aussi, comporte trois modes de fonctionnement : normal, R et neige. Le couple se répartira jusqu'à 50 % aux roues avant. Avec l'absence d'un embrayage normal, un système d'assistance au démarrage en pente facilite les départs sur chaussée inclinée.
Quatre roues bien suspendues
La suspension à quatre roues indépendantes compte des doubles triangles à l'avant et des multibras à l'arrière. Leur dessin est surbaissé comme dans le cas des voitures de course. Des amortisseurs Bilstein avec fonction d'amortissement contrôlé électroniquement équipe cette Nissan GT-R. Le conducteur peut choisir parmi trois modes de fonctionnement : normal/sport, R pour la piste et confort.
La direction à crémaillère est contrôlée électroniquement tout comme l'accélérateur. Dans les deux cas, on ne le perçoit pas. Précis, le volant jouit d'un mouvement très court : 2,6 tours d'une butée à l'autre.
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| L'ingénieur en chef de la GT-R ne visait pas à construire une voiture légère, mais bien une voiture rigide et solide |