Le plus merveilleux, c'est que le conducteur n'a pas besoin de faire des sacrifices afin d'accommoder le passager qui se trouve juste derrière; même quand le siège du premier est reculé au maximum, le second a amplement de liberté pour délier ses jambes.
Un moteur, trois boîtes de vitesses
À traction avant, la Nissan Versa renferme un moteur à quatre cylindres de 1,8 litre comptant 16 soupapes et un double arbre à cames en tête. Celui-ci développe 122 chevaux à 5200 tours/minute et 127 livres-pied de couple à 4800 tours/minute. Selon la version et le choix de l'acheteur, il peut être jumelé à une boîte manuelle à six rapports, à une automatique à quatre rapports ou encore à la transmission Xtronic à variation continue (CVT) de Nissan.
Mon modèle d'essai était équipé de cette dernière qui, dois-je préciser, devance légèrement les deux autres au chapitre de l'économie de carburant. La consommation officielle est de 7,5 L/100 km en ville et de 6,0 L/100 km sur l'autoroute, alors que l'automatique et la manuelle affichent respectivement 8.5/6.2 et 7.9/6.3.
Au volant
J'ai conduit une infinité de voitures économiques dans ma carrière de journaliste automobile. Je les déteste pour la plupart... sauf quand vient le temps de faire le plein, bien sûr. Or, après quelques minutes seulement au volant de la Versa, j'ai réalisé qu'elle ne souffrait pas des principales lacunes à l'origine de mon mépris pour ce type de voitures.
En fait, le niveau de raffinement dans la conduite de la Versa m'a agréablement surpris. Le moteur est beaucoup plus silencieux et civilisé en conduite normale que la majorité des quatre-cylindres concurrents. Il sonne comme les autres uniquement quand on sollicite toute la cavalerie.
À 122 chevaux, il est bien évident qu'on ne peut parler d'un hatchback puissant. Malgré tout, la Versa se tient facilement à l'avant du peloton des sous-compactes. En outre, j'ai trouvé la boîte Xtronic satisfaisante; son action est impeccable et pas du tout gênante.
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| Le fait de rabattre les dossiers arrière accroît l'espace de chargement de manière substantielle. |
Un moteur, trois boîtes de vitesses
À traction avant, la Nissan Versa renferme un moteur à quatre cylindres de 1,8 litre comptant 16 soupapes et un double arbre à cames en tête. Celui-ci développe 122 chevaux à 5200 tours/minute et 127 livres-pied de couple à 4800 tours/minute. Selon la version et le choix de l'acheteur, il peut être jumelé à une boîte manuelle à six rapports, à une automatique à quatre rapports ou encore à la transmission Xtronic à variation continue (CVT) de Nissan.
Mon modèle d'essai était équipé de cette dernière qui, dois-je préciser, devance légèrement les deux autres au chapitre de l'économie de carburant. La consommation officielle est de 7,5 L/100 km en ville et de 6,0 L/100 km sur l'autoroute, alors que l'automatique et la manuelle affichent respectivement 8.5/6.2 et 7.9/6.3.
Au volant
J'ai conduit une infinité de voitures économiques dans ma carrière de journaliste automobile. Je les déteste pour la plupart... sauf quand vient le temps de faire le plein, bien sûr. Or, après quelques minutes seulement au volant de la Versa, j'ai réalisé qu'elle ne souffrait pas des principales lacunes à l'origine de mon mépris pour ce type de voitures.
En fait, le niveau de raffinement dans la conduite de la Versa m'a agréablement surpris. Le moteur est beaucoup plus silencieux et civilisé en conduite normale que la majorité des quatre-cylindres concurrents. Il sonne comme les autres uniquement quand on sollicite toute la cavalerie.
À 122 chevaux, il est bien évident qu'on ne peut parler d'un hatchback puissant. Malgré tout, la Versa se tient facilement à l'avant du peloton des sous-compactes. En outre, j'ai trouvé la boîte Xtronic satisfaisante; son action est impeccable et pas du tout gênante.
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| À traction avant, la Nissan Versa renferme un moteur à quatre cylindres de 1,8 litre. |