Au premier coup d'oeil, vous saurez que le Xterra est prêt pour l'aventure et qu'il ne renie en aucun cas ses origines. Son style unique et robuste nous rappelle les véhicules parcourant le Paris-Dakar avec sa calandre imposante, son porte-bagages de toit et son faux bidon d'essence encavé dans la partie inférieure du hayon arrière. Ce coureur des bois est aussi agrémenté d'immenses garde-boue, de pneus tout-terrain, de pare-chocs anti-égratignure et de marchepieds tubulaires. Dans une ère ou les véhicules sont tous plus ou moins identiques, il me semble intéressant de voir comment Nissan a exploité l'originalité de son Xterra pour le différencier de la masse. Cependant, le style de ce camion n'évoque aucun signe de civisme et c'est probablement ce qu'une partie du public cible déteste.
La première chose qui frappe lorsqu'on prend place à bord du Xterra, c'est l'horrible texture du tissu des sièges de type nylon brodé. À plus de 30 000$, on aurait souhaité un tissu de qualité supérieure mais vous pourrez vous consoler en vous disant qu'il résistera d'avantage aux mauvais traitements. Les sièges offrent un confort convenable mais manquent franchement de fermeté et de soutien. La planche de bord, entièrement redessinée l'an dernier, est drôlement mieux réussie et beaucoup plus esthétique que la version précédente. Toutes les commandes sont judicieusement placées et les multiples espaces de rangements accommoderont ceux qui, comme moi, vivent dans leur voiture. La qualité de finition et d'assemblage ainsi que les matériaux sont impeccables et fidèles à la réputation de Nissan. Finalement, sachez que l'espace utilitaire offert est très généreux grâce entre autre à la partie arrière du toit qui est surélevée.
Au premier coup d'oeil, vous saurez que le Xterra est prêt pour l'aventure et qu'il ne renie en aucun cas ses origines. Son style unique et robuste nous rappelle les véhicules parcourant le Paris-Dakar avec sa calandre imposante, son porte-bagages de toit et son faux bidon d'essence encavé dans la partie inférieure du hayon arrière. Ce coureur des bois est aussi agrémenté d'immenses garde-boue, de pneus tout-terrain, de pare-chocs anti-égratignure et de marchepieds tubulaires. Dans une ère ou les véhicules sont tous plus ou moins identiques, il me semble intéressant de voir comment Nissan a exploité l'originalité de son Xterra pour le différencier de la masse. Cependant, le style de ce camion n'évoque aucun signe de civisme et c'est probablement ce qu'une partie du public cible déteste.
La première chose qui frappe lorsqu'on prend place à bord du Xterra, c'est l'horrible texture du tissu des sièges de type nylon brodé. À plus de 30 000$, on aurait souhaité un tissu de qualité supérieure mais vous pourrez vous consoler en vous disant qu'il résistera d'avantage aux mauvais traitements. Les sièges offrent un confort convenable mais manquent franchement de fermeté et de soutien. La planche de bord, entièrement redessinée l'an dernier, est drôlement mieux réussie et beaucoup plus esthétique que la version précédente. Toutes les commandes sont judicieusement placées et les multiples espaces de rangements accommoderont ceux qui, comme moi, vivent dans leur voiture. La qualité de finition et d'assemblage ainsi que les matériaux sont impeccables et fidèles à la réputation de Nissan. Finalement, sachez que l'espace utilitaire offert est très généreux grâce entre autre à la partie arrière du toit qui est surélevée.