Après les antidémarreurs, c'est au tour des pare-chocs. Suivant sa stratégie qui vise à améliorer la sécurité des Canadiens, Ottawa propose d'apporter une modification au Règlement sur la sécurité des véhicules automobiles (RSVA) afin d'harmoniser la norme canadienne sur les pare-chocs des véhicules automobiles avec les normes de sécurité similaires des États-Unis et de l'Europe.
La modification aurait pour résultat l'établissement d'un ensemble d'exigences uniformisées à l'échelle mondiale sur la vitesse d'essai pour la conception des pare-chocs. En outre, «cette proposition de modification offrirait plus de choix aux Canadiens qui désirent importer des véhicules, affirme Lawrence Cannon, ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités. De plus, elle contribuerait à maintenir la sécurité sur les routes canadiennes.»
Cette modification proposée est conforme à l'esprit du Partenariat pour la sécurité et la prospérité du Canada et des États-Unis, qui vise à réduire les différences réglementaires et à faciliter les échanges commerciaux internationaux tout en maintenant des niveaux de sécurité élevés.
Les gouvernements provinciaux et territoriaux conserveront leur compétence en ce qui concerne l'utilisation des routes et les ajouts apportés aux véhicules après l'achat. Les Canadiens disposent de 30 jours pour étudier la modification et formuler des commentaires. Ottawa examinera ensuite les commentaires afin d'élaborer une modification finale.
photo:General Motors
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| Pontiac GTO 2006 |
La modification aurait pour résultat l'établissement d'un ensemble d'exigences uniformisées à l'échelle mondiale sur la vitesse d'essai pour la conception des pare-chocs. En outre, «cette proposition de modification offrirait plus de choix aux Canadiens qui désirent importer des véhicules, affirme Lawrence Cannon, ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités. De plus, elle contribuerait à maintenir la sécurité sur les routes canadiennes.»
Cette modification proposée est conforme à l'esprit du Partenariat pour la sécurité et la prospérité du Canada et des États-Unis, qui vise à réduire les différences réglementaires et à faciliter les échanges commerciaux internationaux tout en maintenant des niveaux de sécurité élevés.
Les gouvernements provinciaux et territoriaux conserveront leur compétence en ce qui concerne l'utilisation des routes et les ajouts apportés aux véhicules après l'achat. Les Canadiens disposent de 30 jours pour étudier la modification et formuler des commentaires. Ottawa examinera ensuite les commentaires afin d'élaborer une modification finale.
photo:General Motors