On retrouve trois zones de simulateurs : Formule 1, endurance et rallye. Les châssis de F1 sont fabriqués en carbone par la société britannique Bull Racing Development de Horley en Grande-Bretagne. Les voitures d'endurance sont de véritables Pescarolo acquises avant la fermeture de l'écurie, et les bolides de rallye de vrais Citroën C2 qui pourraient même retourner sur la route si on leur réimplantait un moteur et une transmission!
Les voitures sont fixées sur des plateformes de mouvement à six degrés de liberté, actionnés par les vérins Hextech gérés par de puissants ordinateurs. La plateforme s'élève à 1,20 m du sol quand le simulateur démarre puis grimpe à 1,80 m quand il est en mouvement.
Cette technologie imite à merveille les conditions réelles de pilotage, le simulateur recréant de la manière la plus exacte possible les réactions du véhicule et ses conséquences en matière de sensations : vitesse, accélération, concentration, vitesse de réaction, brutalité du freinage, vibrations, bruit, force centrifuge, sortie de route, choc, etc. En s'incluant plus ou moins rapidement, le simulateur peut générer des forces d'accélération atteignant 2G.
« Au début, nous pouvions atteindre 3G, mais c'était en général trop dur sur les organismes des participants non entraînés, » d'ajouter Ambre Péronnet.
« L'investissement initial se chiffre à 12 millions d'euros (16,8 $ millions), dont la moitié a été investie dans la construction et l'aménagement du bâtiment. Chaque simulateur complet, comprenant voiture, vérins Hexatech et ordinateurs coûte 450 000 euros (630 000 $), » précise-t-elle.
« Nous offrons plusieurs formules et produits, car en fait, on a vite fait le tour des simulateurs. Nous bénéficions donc d'un spa, offrons des soins, disposons d'un bar restaurant, d'un lounge avec deux terrasses et trois salles de conférence. Le dernier film de Clovis Cornillac a d'ailleurs été tourné en partie ici. Citroën a aussi loué nos locaux pour le lancement public de la C2, » précise Ambre Péronnet.
Plusieurs pilotes sont venus essayer nos simulateurs, dont Nicolas Prost, le vainqueur des 24 Heures du Mans Romain Dumas, Bruno Saby, Romain Grosjean, Loïc Duval, Stéphane Sarrazin et Franck Lagorce qui a avoué avoir été bluffé par le comportement des prototypes Pescarolo. « C'est un simulateur hyper réaliste. Les sensations sont très, très proches de la réalité. Incroyable! » a-t-il déclaré.
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| Pescarolo d'endurance (Photo: René Fagnan/Auto123.com) |
Les voitures sont fixées sur des plateformes de mouvement à six degrés de liberté, actionnés par les vérins Hextech gérés par de puissants ordinateurs. La plateforme s'élève à 1,20 m du sol quand le simulateur démarre puis grimpe à 1,80 m quand il est en mouvement.
Cette technologie imite à merveille les conditions réelles de pilotage, le simulateur recréant de la manière la plus exacte possible les réactions du véhicule et ses conséquences en matière de sensations : vitesse, accélération, concentration, vitesse de réaction, brutalité du freinage, vibrations, bruit, force centrifuge, sortie de route, choc, etc. En s'incluant plus ou moins rapidement, le simulateur peut générer des forces d'accélération atteignant 2G.
« Au début, nous pouvions atteindre 3G, mais c'était en général trop dur sur les organismes des participants non entraînés, » d'ajouter Ambre Péronnet.
« L'investissement initial se chiffre à 12 millions d'euros (16,8 $ millions), dont la moitié a été investie dans la construction et l'aménagement du bâtiment. Chaque simulateur complet, comprenant voiture, vérins Hexatech et ordinateurs coûte 450 000 euros (630 000 $), » précise-t-elle.
« Nous offrons plusieurs formules et produits, car en fait, on a vite fait le tour des simulateurs. Nous bénéficions donc d'un spa, offrons des soins, disposons d'un bar restaurant, d'un lounge avec deux terrasses et trois salles de conférence. Le dernier film de Clovis Cornillac a d'ailleurs été tourné en partie ici. Citroën a aussi loué nos locaux pour le lancement public de la C2, » précise Ambre Péronnet.
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| Vue du bar restaurant (Photo: I-WAY) |
Plusieurs pilotes sont venus essayer nos simulateurs, dont Nicolas Prost, le vainqueur des 24 Heures du Mans Romain Dumas, Bruno Saby, Romain Grosjean, Loïc Duval, Stéphane Sarrazin et Franck Lagorce qui a avoué avoir été bluffé par le comportement des prototypes Pescarolo. « C'est un simulateur hyper réaliste. Les sensations sont très, très proches de la réalité. Incroyable! » a-t-il déclaré.