On retrouve en-dessous une suspension totalement indépendante aux 4 roues, à double fourchette, qui répond bien aux volontés du conducteur, manie bien les virages, et qui finalement demeure amusante à conduire. De petits pneus de type économiques donnaient un mince taux de 0,78G
en accélération latérale, sur un anneau de 300 pieds, sur les premiers modèles, alors que de meilleurs pneus ont augmenté la cote à 0,81 G en 1997, tandis que pour tourner plus lentement dans les cercles, son rayon de braquage de 11,3 mètres (37 pieds) n'était pas si mal.
La Breeze est mue par un 4 cylindres de 2 litres de 132 chevaux et 129 livres-pied de couple, en guise de motorisation de base, ce qui était un peu mince pour les "pieds pesants", mais suffisamment rapide pour la plupart. Ceux qui veulent un peu plus de puissance doivent se tourner vers ce qui était la mécanique optionnelle, un 4 cylindres de 2,4 litres. Plus raffiné que le 2 litres, ce moteur produisait des performances dignes d'un V6, avec ses 150 chevaux et ses 167 livres-pied de couple, seulement 3 de moins que le V6 de Chrysler. Malheureusement, le V6 de 2,5 litres disponible dans les Cirrus et Stratus n'a jamais été offert dans la Plymouth, puisque la valeur était la principale raison d'être de la marque.
Une partie du thème de la valeur repose sur le fait que l'économie d'essence doit être primordiale, et la Breeze faisait très bonne figure à ce
niveau. En version de base, avec la manuelle à 5 rapports, la Breeze faisait 9,3 litres aux 100 kilomètres (25 milles au gallon) en ville, et 6,9 l/100 km (34 mpg) sur la grande route, lorsqu'elle était neuve. La version automatique, avec le moteur de 2,4 litres, réalisait 11,2 l/100 km (21 mpg) en ville et 8,1 (29) sur l'autoroute, ce qui est également très bon, compte tenu de la puissance supplémentaire.
En équipement optionnel, une automatique à 4 vitesses pouvait être commandée, mais ne comportait pas le mode manuel Auto-Stick de Chrysler, qui lui, était disponible sur les voitures JA équipées du moteur V6. La Breeze offrait un système anti-blocage, le tout complété par des freins à disques aux 4 roues de grandes performances.
Avec la sécurité en tête, toutes les Breeze comprennent des sacs gonflables jumelés à l'avant en équipement de série, et de plus, les
quatre portières sont équipées de poutrelles de sécurité répondant aux normes de 1997. Les ceintures de sécurité avec ceinture à l'épaule ajustable en hauteur permettaient à celles-ci d'être placées en fonction d'un confort optimal, alors que les portières arrières munies d'un dispositif permettant de ne les ouvrir que de l'extérieur sont un impératif pour les familles avec de jeunes enfants. Plymouth offrait aussi en option un siège d'enfant intégré à l'arrière, une caractéristique vraiment pratique qui plaçait les voitures JA à part, face à leurs rivales importées.
Malheureusement, la Breeze a souffert d'un nombre considérable de rappels, neuf en tout. Tous les neuf affectaient les modèles 1996, alors que quatre d'entre eux touchaient les modèles 1997, deux les modèles 1998, et un seul affectait les modèles 1999. Alors que les problèmes ont été réglés lors de ces rappels, cela ne veut pas nécessairement dire que ces voitures ne peuvent pas être fiables. En fait ce sont de très bonnes voitures, à cause de leur architecture simple, tout à l'avant, comparativement aux intermédiaires sophistiquées d'aujourd'hui.
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| En raison de son manque de notoriété, la Plymouth Breeze est une bonne voiture usagée à acheter, à un coût extrêmement raisonnable. (Photo : DaimlerChrysler Canada) |
La Breeze est mue par un 4 cylindres de 2 litres de 132 chevaux et 129 livres-pied de couple, en guise de motorisation de base, ce qui était un peu mince pour les "pieds pesants", mais suffisamment rapide pour la plupart. Ceux qui veulent un peu plus de puissance doivent se tourner vers ce qui était la mécanique optionnelle, un 4 cylindres de 2,4 litres. Plus raffiné que le 2 litres, ce moteur produisait des performances dignes d'un V6, avec ses 150 chevaux et ses 167 livres-pied de couple, seulement 3 de moins que le V6 de Chrysler. Malheureusement, le V6 de 2,5 litres disponible dans les Cirrus et Stratus n'a jamais été offert dans la Plymouth, puisque la valeur était la principale raison d'être de la marque.
Une partie du thème de la valeur repose sur le fait que l'économie d'essence doit être primordiale, et la Breeze faisait très bonne figure à ce
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| La Breeze de base était mue par un 4 cylindres de 2 litres de 132 chevaux et 129 livres-pied de couple. (Photo : DaimlerChrysler Canada) |
En équipement optionnel, une automatique à 4 vitesses pouvait être commandée, mais ne comportait pas le mode manuel Auto-Stick de Chrysler, qui lui, était disponible sur les voitures JA équipées du moteur V6. La Breeze offrait un système anti-blocage, le tout complété par des freins à disques aux 4 roues de grandes performances.
Avec la sécurité en tête, toutes les Breeze comprennent des sacs gonflables jumelés à l'avant en équipement de série, et de plus, les
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| La Plymouth Breeze peut faire une très bonne voiture usagée, un peu moins dispendieuse que les versions Chrysler et Dodge, et beaucoup moins chère que les importées de même dimensions. (Photo : DaimlerChrysler Canada) |
Malheureusement, la Breeze a souffert d'un nombre considérable de rappels, neuf en tout. Tous les neuf affectaient les modèles 1996, alors que quatre d'entre eux touchaient les modèles 1997, deux les modèles 1998, et un seul affectait les modèles 1999. Alors que les problèmes ont été réglés lors de ces rappels, cela ne veut pas nécessairement dire que ces voitures ne peuvent pas être fiables. En fait ce sont de très bonnes voitures, à cause de leur architecture simple, tout à l'avant, comparativement aux intermédiaires sophistiquées d'aujourd'hui.