Je ne suis pas friand de taxis, mais après quelques verres, il vaut mieux en appeler un.
Vendredi dernier, ma femme et moi avons passé une super soirée bien arrosée chez des amis, qui habitent à quelques kilomètres de nous. À l’heure du départ, je savais que conduire n’était pas une option. Personne ne s’est obstiné avec moi : si la NASA réussissait à reproduire les cocktails de Randy, ils pourraient remplacer les propulseurs de fusée qui catapultent les navettes dans l’espace.
J’avais le goût de m’étirer les jambes ce soir-là. Il faisait beau, alors pourquoi ne pas faire un peu d’exercice et brûler les calories enfournées… sans parler de l’eau de vie? Un plan tout à fait raisonnable, me suis-je dit. Ma femme, elle, ne partageait pas le même avis.
Elle a insisté pour qu’on appelle un taxi, au diable l’argent et l’attente. Je lui ai expliqué le plus calmement du monde qu’il serait plus facile et rapide de se traîner jusqu’à la maison sur un lit de verre éclaté, les yeux bandés, que de trouver un taxi tard un vendredi soir à Vancouver. Ils ont le beau jeu, les maudits.
« Et le temps d’attente? » « Cinq minutes? Super, on vous attend dehors ». Euh, pardon?! Oublie ça, le taxi n’arrivera jamais d’ici cinq minutes, je lui ai dit. Et j’avais raison : il est arrivé en quatre minutes.
On est rentré à la maison à toute allure pour un peu moins de dix dollars. Le conducteur était efficace et poli, et sa voiture propre et sans odeur. Je fus globalement impressionné par l’expérience, à des années lumière de ce à quoi je m’attendais à plusieurs égards.
Donc, si vous êtes comme moi et préféreriez vous traîner à la maison sur un lit de verre éclaté, les yeux bandés, plutôt que d’espérer vivre une expérience positive, livrés aux caprices d’une compagnie de taxis, je me dois de plaider en faveur des chauffeurs et d’avancer que des fois, il vaut mieux prendre un taxi. Surtout quand femme le veut.
Avez-vous déjà pris un taxi dans votre ville? Comment trouvez-vous le service?
Vendredi dernier, ma femme et moi avons passé une super soirée bien arrosée chez des amis, qui habitent à quelques kilomètres de nous. À l’heure du départ, je savais que conduire n’était pas une option. Personne ne s’est obstiné avec moi : si la NASA réussissait à reproduire les cocktails de Randy, ils pourraient remplacer les propulseurs de fusée qui catapultent les navettes dans l’espace.
J’avais le goût de m’étirer les jambes ce soir-là. Il faisait beau, alors pourquoi ne pas faire un peu d’exercice et brûler les calories enfournées… sans parler de l’eau de vie? Un plan tout à fait raisonnable, me suis-je dit. Ma femme, elle, ne partageait pas le même avis.
Elle a insisté pour qu’on appelle un taxi, au diable l’argent et l’attente. Je lui ai expliqué le plus calmement du monde qu’il serait plus facile et rapide de se traîner jusqu’à la maison sur un lit de verre éclaté, les yeux bandés, que de trouver un taxi tard un vendredi soir à Vancouver. Ils ont le beau jeu, les maudits.
« Et le temps d’attente? » « Cinq minutes? Super, on vous attend dehors ». Euh, pardon?! Oublie ça, le taxi n’arrivera jamais d’ici cinq minutes, je lui ai dit. Et j’avais raison : il est arrivé en quatre minutes.
On est rentré à la maison à toute allure pour un peu moins de dix dollars. Le conducteur était efficace et poli, et sa voiture propre et sans odeur. Je fus globalement impressionné par l’expérience, à des années lumière de ce à quoi je m’attendais à plusieurs égards.
Donc, si vous êtes comme moi et préféreriez vous traîner à la maison sur un lit de verre éclaté, les yeux bandés, plutôt que d’espérer vivre une expérience positive, livrés aux caprices d’une compagnie de taxis, je me dois de plaider en faveur des chauffeurs et d’avancer que des fois, il vaut mieux prendre un taxi. Surtout quand femme le veut.
Avez-vous déjà pris un taxi dans votre ville? Comment trouvez-vous le service?