Munie d'un redoutable V12 de 6,75 litres développant 453 chevaux et 531 livres-pied de couple via une boîte automatique à six rapports, cette Rolls-Royce donne carrément l'impression de voler. Le moteur s'avère tellement silencieux que je le croyais parfois éteint. De son côté, la suspension s'ajuste continuellement aux conditions routières et même à l'endroit où le passager arrière prend place. C'est comme flotter sur le nuage le plus dispendieux au monde! J'exagère à peine sur sa douceur et son confort de roulement.
Malgré l'imposante cavalerie à ma disposition, je n'ai jamais éprouvé le besoin d'écraser l'accélérateur au plancher. Si je l'avais fait, par contre, j'aurais pu atteindre 100 km/h en seulement 5,8 secondes... à bord d'une automobile qui frôle les 6000 livres! J'ai adoré me la couler douce aux commandes de la Phantom Drophead Coupé, qui semblait apprécier tout autant le traitement que je lui réservais. Même après qu'on m'ait fait découvrir le bouton Sport, je n'ai pas ressenti le désir de l'enfoncer.
Le paradis sur quatre roues inclut également une tenue de route précise, une direction à assistance variable selon la vitesse, des disques de freins ventilés de plus de 14 pouces de diamètre, un système d'amortissement ajustable (qui peut soulever la voiture d'un pouce si jamais on rencontre une entrée abrupte ou une chaussée accidentée), une puissance distribuée exclusivement à l'essieu arrière ainsi que tout le respect qu'on rêverait d'imposer sur la route.
Retourner à la nouvelle concession pour quitter la Rolls-Royce Phantom Drophead Coupé 2011 m'a laissé un goût à la fois amer et appétissant. Je venais de terminer mon essai d'une voiture de marque prestigieuse et légendaire, mais comme me l'a si gentiment rappelé le représentant, je vais sûrement avoir la chance d'en croiser d'autres dans la région au cours des mois à venir. Cette simple pensée m'a fait retrouver le sourire...
Malgré l'imposante cavalerie à ma disposition, je n'ai jamais éprouvé le besoin d'écraser l'accélérateur au plancher. Si je l'avais fait, par contre, j'aurais pu atteindre 100 km/h en seulement 5,8 secondes... à bord d'une automobile qui frôle les 6000 livres! J'ai adoré me la couler douce aux commandes de la Phantom Drophead Coupé, qui semblait apprécier tout autant le traitement que je lui réservais. Même après qu'on m'ait fait découvrir le bouton Sport, je n'ai pas ressenti le désir de l'enfoncer.
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| C'est comme flotter sur le nuage le plus dispendieux au monde! J'exagère à peine sur sa douceur et son confort de roulement. (Photo: Rolls-Royce) |
Le paradis sur quatre roues inclut également une tenue de route précise, une direction à assistance variable selon la vitesse, des disques de freins ventilés de plus de 14 pouces de diamètre, un système d'amortissement ajustable (qui peut soulever la voiture d'un pouce si jamais on rencontre une entrée abrupte ou une chaussée accidentée), une puissance distribuée exclusivement à l'essieu arrière ainsi que tout le respect qu'on rêverait d'imposer sur la route.
Retourner à la nouvelle concession pour quitter la Rolls-Royce Phantom Drophead Coupé 2011 m'a laissé un goût à la fois amer et appétissant. Je venais de terminer mon essai d'une voiture de marque prestigieuse et légendaire, mais comme me l'a si gentiment rappelé le représentant, je vais sûrement avoir la chance d'en croiser d'autres dans la région au cours des mois à venir. Cette simple pensée m'a fait retrouver le sourire...
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