La liste des difficultés rencontrées par Saab s'accumule de semaine en semaine et une station de radio suédoise a révélé que le fabricant serait sur le point de se placer sous la loi de protection contre la faillite et subirait une réorganisation similaire à celle de General Motors en 2009.
Peu de temps après que la nouvelle se soit répandue, la société nous a fait parvenir un communiqué de presse dans lequel elle mentionne « être au courant » des informations qui circulent et être « est en discussion avec plusieurs partis pour garantir le financement à court et moyen terme ».
Ce sont là les mêmes paroles qu'on nous sert depuis plusieurs mois déjà et qui sont devenues assez difficiles à croire.
Des mesures de collections ont été enclenchées contre l'entreprise la semaine dernière lorsqu'elle n'a pas été en mesure de payer une dette de 620 000$. À ce moment, nous apprenions que si le constructeur se voyait dans l'impossibilité de rembourser le montant, son arrêt de mort pourrait être signé à la fin de septembre ou, au plus tard, en décembre.
Cependant, son incapacité à payer les salaires de ses employés cette semaine a provoqué la colère de F Metall et Unionen, ses deux principaux syndicats. Ils ont publiquement déclaré qu'ils feraient toutes les démarches nécessaires afin que Saab (et son propriétaire Sweedish Automobile) fasse banqueroute si les salariés de recevaient pas ce qui était dû d'ici deux semaines.
Depuis avril dernier, l'usine de Trollhattan a pratiquement mis fin à ses activités malgré deux ententes avec de nouveaux partenaires chinois qui ont injecté des sommes massives d'argent dans l,entreprise
Comme une personne sans salaire qui doit payer une hypothèque, trois cartes de crédits dont la limite est atteinte et mettre de la nourriture sur la table, Saab semble être entrée dans le cercle vicieux de l'endettement et tout indique qu'il faudra rien de moins qu'un miracle pour qu'elle s'en sorte.
Peu de temps après que la nouvelle se soit répandue, la société nous a fait parvenir un communiqué de presse dans lequel elle mentionne « être au courant » des informations qui circulent et être « est en discussion avec plusieurs partis pour garantir le financement à court et moyen terme ».
Ce sont là les mêmes paroles qu'on nous sert depuis plusieurs mois déjà et qui sont devenues assez difficiles à croire.
Des mesures de collections ont été enclenchées contre l'entreprise la semaine dernière lorsqu'elle n'a pas été en mesure de payer une dette de 620 000$. À ce moment, nous apprenions que si le constructeur se voyait dans l'impossibilité de rembourser le montant, son arrêt de mort pourrait être signé à la fin de septembre ou, au plus tard, en décembre.
Cependant, son incapacité à payer les salaires de ses employés cette semaine a provoqué la colère de F Metall et Unionen, ses deux principaux syndicats. Ils ont publiquement déclaré qu'ils feraient toutes les démarches nécessaires afin que Saab (et son propriétaire Sweedish Automobile) fasse banqueroute si les salariés de recevaient pas ce qui était dû d'ici deux semaines.
Depuis avril dernier, l'usine de Trollhattan a pratiquement mis fin à ses activités malgré deux ententes avec de nouveaux partenaires chinois qui ont injecté des sommes massives d'argent dans l,entreprise
Comme une personne sans salaire qui doit payer une hypothèque, trois cartes de crédits dont la limite est atteinte et mettre de la nourriture sur la table, Saab semble être entrée dans le cercle vicieux de l'endettement et tout indique qu'il faudra rien de moins qu'un miracle pour qu'elle s'en sorte.