Nouveau style, habitacle de choix
Qu’il s’agisse de la berline à quatre portières ou du cinq-portes à hayon, Subaru a joué la carte du haut de gamme pour cette dernière mouture. De l’extérieur, le véhicule se veut moins excentrique afin de plaire à une clientèle plus vaste.
Les deux variantes conservent les mêmes dimensions, mais la nouvelle génération de l’Impreza repose sur un empattement allongé qui augmente l’espace intérieur. On a relevé les sièges un peu et agrandi les vitres latérales afin d’améliorer la visibilité.
Bref, cette Impreza bien galbée devrait plaire aux masses. Mais la grande nouvelle concerne l’intérieur de la machine, à mon avis : Subaru a largué l’environnement bon marché, décuplant du coup le charme de l’Impreza.
Les passagers se délecteront sans doute des matériaux de grande qualité et de l’honnête fonctionnalité de l’habitacle.
Des commandes et des palettes au volant ainsi que des garnitures pimpantes atténuent toute impression d’entrée de gamme. Tout comme le fonctionnement raffiné de cette dernière Impreza.
Douceur et efficacité au menu
Le cœur de la Subaru Impreza 2012 bat au rythme d’un quatre-cylindres de 2,0 litres et 148 ch. Ce moulin économique consomme 7,5 et 5,5 litres aux 100 kilomètres en ville et sur la route, respectivement. Des chiffres plutôt impressionnants pour un bolide doté d’une TI à temps plein!
Et la nouvelle boîte à variation continue (CVT) fonctionne étonnamment bien aussi. Les CVT ont vraiment évolué depuis leurs premiers balbutiements, et la version Lineartronic de Subaru en reflète le parfait exemple. Les palettes permettent à la CVT d’imiter une boîte manuelle à six vitesses. Elles sont très efficaces pour actionner le frein moteur quand on descend de longues côtes.
Les vrais amateurs de conduite peuvent par ailleurs opter pour une boîte manuelle à cinq rapports, mais sachez qu’elle fait augmenter légèrement la consommation.
Peu importe la boîte choisie, le conducteur découvrira bien des avantages derrière le volant… mais la puissance brute, malheureusement, ne figure pas parmi eux. En effet, la Subaru boucle le 0 à 100 km/h en… presque 10 secondes. Ce n’est pas l’extase, mais la plupart des gens ne s’en rendront pas compte, ou encore ça ne les dérangera tout simplement pas. Malgré ce rendement modeste, l’Impreza 2012 semble assez fringante et vive dans la plupart des situations.
Qu’il s’agisse de la berline à quatre portières ou du cinq-portes à hayon, Subaru a joué la carte du haut de gamme pour cette dernière mouture. De l’extérieur, le véhicule se veut moins excentrique afin de plaire à une clientèle plus vaste.
Les deux variantes conservent les mêmes dimensions, mais la nouvelle génération de l’Impreza repose sur un empattement allongé qui augmente l’espace intérieur. On a relevé les sièges un peu et agrandi les vitres latérales afin d’améliorer la visibilité.
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| Les passagers se délecteront sans doute des matériaux de grande qualité et de l’honnête fonctionnalité de l’habitacle. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Bref, cette Impreza bien galbée devrait plaire aux masses. Mais la grande nouvelle concerne l’intérieur de la machine, à mon avis : Subaru a largué l’environnement bon marché, décuplant du coup le charme de l’Impreza.
Les passagers se délecteront sans doute des matériaux de grande qualité et de l’honnête fonctionnalité de l’habitacle.
Des commandes et des palettes au volant ainsi que des garnitures pimpantes atténuent toute impression d’entrée de gamme. Tout comme le fonctionnement raffiné de cette dernière Impreza.
Douceur et efficacité au menu
Le cœur de la Subaru Impreza 2012 bat au rythme d’un quatre-cylindres de 2,0 litres et 148 ch. Ce moulin économique consomme 7,5 et 5,5 litres aux 100 kilomètres en ville et sur la route, respectivement. Des chiffres plutôt impressionnants pour un bolide doté d’une TI à temps plein!
Et la nouvelle boîte à variation continue (CVT) fonctionne étonnamment bien aussi. Les CVT ont vraiment évolué depuis leurs premiers balbutiements, et la version Lineartronic de Subaru en reflète le parfait exemple. Les palettes permettent à la CVT d’imiter une boîte manuelle à six vitesses. Elles sont très efficaces pour actionner le frein moteur quand on descend de longues côtes.
Les vrais amateurs de conduite peuvent par ailleurs opter pour une boîte manuelle à cinq rapports, mais sachez qu’elle fait augmenter légèrement la consommation.
Peu importe la boîte choisie, le conducteur découvrira bien des avantages derrière le volant… mais la puissance brute, malheureusement, ne figure pas parmi eux. En effet, la Subaru boucle le 0 à 100 km/h en… presque 10 secondes. Ce n’est pas l’extase, mais la plupart des gens ne s’en rendront pas compte, ou encore ça ne les dérangera tout simplement pas. Malgré ce rendement modeste, l’Impreza 2012 semble assez fringante et vive dans la plupart des situations.
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| Le cœur de la Subaru Impreza 2012 bat au rythme d’un quatre-cylindres de 2,0 litres et 148 ch. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |