Sous le capot, elle maintient le moteur 2,5 litres à 4 cylindres, lui aussi redessiné toutefois. En version de base, il est jumelé à une transmission manuelle à 6 vitesses, qui peut se transformer en transmission à variation continue sur les versions Sport, PZEV (en option) et Limited (de série).
Enfin, même si on a maintenu la décision de ne pas offrir de version turbo, on profite aussi du moteur 3,6 l H6, jumelé cette fois à une transmission automatique cinq rapports.
Ces combinaisons, suffisantes en puissance, permettent de mouvoir la Outback en toutes circonstances sans trop d'hésitation, et on ne ressent un peu de douleur qu'en mode autoroute, alors que l'accélération vive ou les reprises sont un peu laborieuses avec la version de base.
Et vraie passe-partout
C'est en termes de design que la Outback a le plus évolué. Outre ses dimensions agrandies, elle propose une allure plus racée et athlétique, du moins à l'avant. La partie arrière emprunte notamment les feux à la nouvelle Legacy, ce qui n'est pas la meilleure des nouvelles, l'ensemble demeurant plutôt anodin.
En revanche, sur la Outback, que l'on veut aussi positionner comme un utilitaire sport, on a maintenu une garde au sol plus élevée que la plupart de ses rivaux (incluant des multisegments comme le Ford Edge), et un design avant et arrière capable de lui donner des angles d'approche intéressants.
Le résultat se fait notamment sentir dans les sentiers bosselés du réservoir d'eau potable de St-John's, où l'on avait aménagé un petit poste d'essai duquel la Outback s'est tirée sans aucun pépin.
Bien outillée
Pour jouer son rôle d'utilitaire polyvalent, la Outback dispose de plusieurs outils, allant d'un contrôle électronique d'aide en descente et en montée, histoire de stabiliser le véhicule dans les routes pentues, à un système appelé VDC qui limite électroniquement les pertes possibles de contrôle.
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| La partie arrière emprunte les feux à la nouvelle Legacy. |
Enfin, même si on a maintenu la décision de ne pas offrir de version turbo, on profite aussi du moteur 3,6 l H6, jumelé cette fois à une transmission automatique cinq rapports.
Ces combinaisons, suffisantes en puissance, permettent de mouvoir la Outback en toutes circonstances sans trop d'hésitation, et on ne ressent un peu de douleur qu'en mode autoroute, alors que l'accélération vive ou les reprises sont un peu laborieuses avec la version de base.
Et vraie passe-partout
C'est en termes de design que la Outback a le plus évolué. Outre ses dimensions agrandies, elle propose une allure plus racée et athlétique, du moins à l'avant. La partie arrière emprunte notamment les feux à la nouvelle Legacy, ce qui n'est pas la meilleure des nouvelles, l'ensemble demeurant plutôt anodin.
En revanche, sur la Outback, que l'on veut aussi positionner comme un utilitaire sport, on a maintenu une garde au sol plus élevée que la plupart de ses rivaux (incluant des multisegments comme le Ford Edge), et un design avant et arrière capable de lui donner des angles d'approche intéressants.
Le résultat se fait notamment sentir dans les sentiers bosselés du réservoir d'eau potable de St-John's, où l'on avait aménagé un petit poste d'essai duquel la Outback s'est tirée sans aucun pépin.
Bien outillée
Pour jouer son rôle d'utilitaire polyvalent, la Outback dispose de plusieurs outils, allant d'un contrôle électronique d'aide en descente et en montée, histoire de stabiliser le véhicule dans les routes pentues, à un système appelé VDC qui limite électroniquement les pertes possibles de contrôle.
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| Le contrôle Blue Connect et des systèmes plus sophistiqués multimédia sont de série selon les options choisies. |