Ne perdez surtout pas votre temps avec un modèle dont le propriétaire refuse de vous laisser conduire. Celui-ci a sans doute des choses à cacher en lien avec la conduite même, par exemple le comportement des freins, de l’accélérateur ou du volant.
Avant votre essai, assurez-vous que le moteur n’est pas déjà chaud en touchant le pot d’échappement. Parfois, le vendeur préchauffe la mécanique pour l’empêcher de libérer de la fumée, d’émettre certains sons ou de démarrer à froid de manière erratique. Sur la route, toute hésitation ou saccade du moteur pourrait être le signe d’un capteur défectueux ou d’un turbocompresseur désuet.
De plus, rappelez-vous que des grincements ou cognements provenant de la suspension ou de la direction doivent être pris au sérieux. Idem pour le témoin d’avertissement du moteur qui s’allume, le levier de vitesses qui se montre parfois récalcitrant ou encore de la fumée qui s’échappe à l’arrière au démarrage ou en pleine accélération.
Une inspection complète par un mécanicien qualifié, préférablement chez un détaillant Subaru et incluant une analyse du système de turbocompression, est fortement recommandée. Demandez au mécanicien de retirer les bougies d’allumage et de les vérifier. N’oubliez pas le taux de compression des cylindres! Certains propriétaires de STI ont fait état de segments de pistons brisés, ce qui nécessite une réparation coûteuse.
Pendant que la voiture se trouve sur un vérin, le même mécano peut chercher des traces de fuite ou de rouille ainsi que des bosses ou perforations sur certaines pièces. Pensez aussi à effectuer une lecture de l’ordinateur du moteur afin de relever tout code d’erreur. Par la suite, une inspection des pneus, de la suspension et des freins s’impose; vous ne voudriez pas devoir les remplacer à très court terme.
Enfin, chose importante, n’optez pas pour une STI hautement modifiée à moins que vous soyez très familier avec les composantes de Subaru et les effets des modifications apportées. Il est difficile de trouver une STI usagée qui n’a pas été altérée d’une quelconque façon. En général, les simples ajouts aux systèmes d’admission et d’échappement ne devraient pas vous causer des soucis. Par contre, méfiez-vous si l’ancien propriétaire a modifié le turbocompresseur pour qu’il génère plus de pression, s’il a joué avec l’électronique du moteur ou s’il a installé des cartouches de protoxyde d’azote, par exemple. De telles opérations, si mal exécutées, peuvent bousiller la mécanique sans avertissement. Soyez prudent!
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| 2006 Subaru WRX STI (Photo: Subaru) |
Avant votre essai, assurez-vous que le moteur n’est pas déjà chaud en touchant le pot d’échappement. Parfois, le vendeur préchauffe la mécanique pour l’empêcher de libérer de la fumée, d’émettre certains sons ou de démarrer à froid de manière erratique. Sur la route, toute hésitation ou saccade du moteur pourrait être le signe d’un capteur défectueux ou d’un turbocompresseur désuet.
De plus, rappelez-vous que des grincements ou cognements provenant de la suspension ou de la direction doivent être pris au sérieux. Idem pour le témoin d’avertissement du moteur qui s’allume, le levier de vitesses qui se montre parfois récalcitrant ou encore de la fumée qui s’échappe à l’arrière au démarrage ou en pleine accélération.
Une inspection complète par un mécanicien qualifié, préférablement chez un détaillant Subaru et incluant une analyse du système de turbocompression, est fortement recommandée. Demandez au mécanicien de retirer les bougies d’allumage et de les vérifier. N’oubliez pas le taux de compression des cylindres! Certains propriétaires de STI ont fait état de segments de pistons brisés, ce qui nécessite une réparation coûteuse.
Pendant que la voiture se trouve sur un vérin, le même mécano peut chercher des traces de fuite ou de rouille ainsi que des bosses ou perforations sur certaines pièces. Pensez aussi à effectuer une lecture de l’ordinateur du moteur afin de relever tout code d’erreur. Par la suite, une inspection des pneus, de la suspension et des freins s’impose; vous ne voudriez pas devoir les remplacer à très court terme.
Enfin, chose importante, n’optez pas pour une STI hautement modifiée à moins que vous soyez très familier avec les composantes de Subaru et les effets des modifications apportées. Il est difficile de trouver une STI usagée qui n’a pas été altérée d’une quelconque façon. En général, les simples ajouts aux systèmes d’admission et d’échappement ne devraient pas vous causer des soucis. Par contre, méfiez-vous si l’ancien propriétaire a modifié le turbocompresseur pour qu’il génère plus de pression, s’il a joué avec l’électronique du moteur ou s’il a installé des cartouches de protoxyde d’azote, par exemple. De telles opérations, si mal exécutées, peuvent bousiller la mécanique sans avertissement. Soyez prudent!
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| 2006 Subaru WRX STI (Photo: Subaru) |