Suzuki Verona 2004
De solides arguments
Si plusieurs semblent étonnés de constater l'arrivée d'une berline intermédiaire chez ce manufacturier, c'est qu'en fait, il ne s'agit pas réellement d'une Suzuki. Pour résumer l'histoire, disons que la Verona est née d'une association avec General Motors, qui a dernièrement repris la barque du manufacturier Daewoo. En fait, cette Verona, vendue sous le nom de Daewoo Magnus en Europe, reprend le rôle de la berline Leganza qui était vendue au Canada jusqu'en 2002. La Verona est également commercialisée chez Chevrolet, sous le nom d'Epica.
Si les premiers produits Daewoo vendus en sol canadien ont connu une carrière plutôt triste, cette seconde intrusion devrait être drôlement plus positive. En plus d'avoir droit à un réseau de concessionnaires plus solide et à une publicité plus étendue, la Verona s'avère être un produit beaucoup plus sérieux que ce que Daewoo nous a livré pendant sa courte carrière.
Carrosserie
Même si la Verona est issue des planches des réputés studios d'Ital Design, sa ligne générale me laisse un peu sur mon appétit. Il est vrai que certains éléments de carrosserie, comme les phares et feux arrière, sont plutôt originaux, mais l'ensemble demeure banal et sans saveur. Même si elle passe inaperçue, la Verona est tout de même relativement élégante et prendra plus de temps que la moyenne des autres voitures, avant d'avoir quelques rides. Il faut dire que le fait d'introduire une nouvelle berline de classe intermédiaire en Amérique est une tâche ardue, qui porte à la prudence, et en ce sens, le coup de marketing n'est pas mauvais.
La berline Verona se décline en deux versions, soit GL et GLX. La première propose une apparence simpliste, sans artifice, qui lui donne une allure très conservatrice. La version GLX, mieux équipée, reçoit des jantes en alliage de 16 pouces à cinq rayons, un toit ouvrant vitré à commande électrique et des phares antibrouillards.
De solides arguments
Si plusieurs semblent étonnés de constater l'arrivée d'une berline intermédiaire chez ce manufacturier, c'est qu'en fait, il ne s'agit pas réellement d'une Suzuki. Pour résumer l'histoire, disons que la Verona est née d'une association avec General Motors, qui a dernièrement repris la barque du manufacturier Daewoo. En fait, cette Verona, vendue sous le nom de Daewoo Magnus en Europe, reprend le rôle de la berline Leganza qui était vendue au Canada jusqu'en 2002. La Verona est également commercialisée chez Chevrolet, sous le nom d'Epica.
Si les premiers produits Daewoo vendus en sol canadien ont connu une carrière plutôt triste, cette seconde intrusion devrait être drôlement plus positive. En plus d'avoir droit à un réseau de concessionnaires plus solide et à une publicité plus étendue, la Verona s'avère être un produit beaucoup plus sérieux que ce que Daewoo nous a livré pendant sa courte carrière.
Carrosserie
Même si la Verona est issue des planches des réputés studios d'Ital Design, sa ligne générale me laisse un peu sur mon appétit. Il est vrai que certains éléments de carrosserie, comme les phares et feux arrière, sont plutôt originaux, mais l'ensemble demeure banal et sans saveur. Même si elle passe inaperçue, la Verona est tout de même relativement élégante et prendra plus de temps que la moyenne des autres voitures, avant d'avoir quelques rides. Il faut dire que le fait d'introduire une nouvelle berline de classe intermédiaire en Amérique est une tâche ardue, qui porte à la prudence, et en ce sens, le coup de marketing n'est pas mauvais.
La berline Verona se décline en deux versions, soit GL et GLX. La première propose une apparence simpliste, sans artifice, qui lui donne une allure très conservatrice. La version GLX, mieux équipée, reçoit des jantes en alliage de 16 pouces à cinq rayons, un toit ouvrant vitré à commande électrique et des phares antibrouillards.