Commandes mal placées et finition intérieure qui plaisent moins
Certains ont aimé l'apparence du tableau de bord, d'autres l'ont détestée. Une personne a même noté que le choix des couleurs intérieures était, et nous citons, « d'une platitude... »
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| L'agencement des teintes n'a pas fait l'unanimité. |
On a beau vanté le confort des sièges, mais on a aussi reproché leur manque de maintien latéral, que ce soit à l'avant ou à l'arrière. Avec la troisième rangée de sièges en place, il n'y a presque plus d'espace de rangement à l'arrière. Le désir d'avoir une lunette plus grande afin de faciliter les manoeuvres de stationnement a également été mentionné.
Les plus fortes critiques ont été formulées sur l'emplacement de certaines commandes. Les boutons pour les glaces électriques, placés autour du levier de vitesses, ont irrité plusieurs personnes. Les commandes de l'essuie-glace arrière, qu'on s'attend de retrouver autour du volant, sont également placées dans la console centrale.
La télécommande était mal programmée, car elle ne déverrouille plus les portes après un certain temps d'inactivité. On est retourné à la concession Suzuki pour la faire remplacer, mais la seconde télécommande a connu les mêmes ratés.
La consommation de carburant du véhicule a également soulevé quelques commentaires. La moyenne globale de 14,2 litres aux 100 kilomètres n'est guère impressionnante.
Conclusion
Les 5 000 premiers kilomètres entre nos mains ont filé vite comme l'éclair, et malgré les points négatifs soulignés, le XL7 peut être fier d'avoir agréablement surpris et impressionné ceux qui l'ont essayé.
Parmi les commentaires globaux, on note encore une fois des conclusions mixtes. D'un côté, une personne mentionne qu'elle recommanderait sans hésitation le XL7, qu'il s'agit d'un VUS qui gagne à être connu. À l'inverse, un autre conducteur a dit qu'on aurait pu s'attendre à plus d'une collaboration entre GM et Suzuki, car dans cette catégorie de véhicules, il n'y a pas de compromis à faire.
Entretemps, le XL7 continue sa tournée d'essai. À suivre.
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| Le XL7 doit être considéré pour l'ensemble de ce qu'il a à offrir. |
photo:Philippe Champoux
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