Et Michelin a mis le paquet technologique pour ce pneu. La structure Max Touch constitue un élément important qui aide à répartir la pression également sur la surface de contact, assurant la longévité du produit et distribuant les forces d’accélération, de freinage et de virage. Bref, Michelin a optimisé tous les aspects de son dernier-né. Sans faire l’inventaire exhaustif de ses avantages, ses plus belles qualités comprennent la bande de roulement en V, son incontournable composé de caoutchouc Flex-Ice, les pompes Micro (les petits trous sur les blocs de gomme) qui absorbent l’eau et le nombre accru de côtés mordants de part et d’autre de la bande de roulement.
Le pneu se débrouille très bien dans des conditions clémentes aussi. Michelin a organisé un événement de comparaison au complexe Mécaglisse afin de démontrer les compétences du X-Ice 3 en différentes situations. Les trois grands tests :
1- L’accélération et l’arrêt sur la glace vive
2- La grosse neige, avec et sans virages
3- La glace et la neige sur des pneus usés (à 4/32)
Test 1
Les résultats du premier test n’étaient que partiellement concluants. Se mesurant aux Continental ExtremeWinterContact, Toyo Observe GSi-5 et Goodyear Ultragrip Ice, le Michelin X-Ice 3 devait confirmer son mordant sur la glace. Au début, on aurait dit que seul le Xi3 permettait au système d’antipatinage de Mazda de prendre son souffle, mais après plusieurs tours tous les pneus faisaient un bon travail.
Idem pour les distances d’arrêt. J’ai pu maintenir une vitesse au point de chrono entre 25 et 27 km/h, et toutes les voitures ont réussi à s’immobiliser entre les deux cônes. Vu les vitesses variées au point de chrono, les résultats étaient très semblables.
Le retour au point de départ fut plus révélateur. La série de virages en lacets rapides et glacés a démontré l’impressionnante stabilité du Xi3, si bien que j’ai eu de la difficulté à faire déraper le train arrière de la Mazda3. Certains pneus rivaux, quant à eux, ont permis un bon déhanchement.
Test 2
La deuxième épreuve a mis en valeur la stabilité latérale du Michelin X-Ice 3. Sur une courte piste circulaire et enneigée, la Mazda3 a réussi à prendre la bonne trajectoire relativement facilement grâce au Xi3. Un petit nouveau a participé au test, le pneu Kebek fabriqué en Chine, tout comme le Toyo Observe Garit KX et certains Nokian WR.
Comme on pouvait s’y attendre, le Kebek n’a pas épaté la galerie, et les conditions difficiles sont venues à bout des WR aussi. Il s’agit après tout de pneus quatre saisons. Les Toyo se sont bien débrouillés dans la neige, mais, encore une fois, la tendance naturelle du Michelin à tenir la route a fait toute la différence.
Le pneu se débrouille très bien dans des conditions clémentes aussi. Michelin a organisé un événement de comparaison au complexe Mécaglisse afin de démontrer les compétences du X-Ice 3 en différentes situations. Les trois grands tests :
1- L’accélération et l’arrêt sur la glace vive
2- La grosse neige, avec et sans virages
3- La glace et la neige sur des pneus usés (à 4/32)
Test 1
Les résultats du premier test n’étaient que partiellement concluants. Se mesurant aux Continental ExtremeWinterContact, Toyo Observe GSi-5 et Goodyear Ultragrip Ice, le Michelin X-Ice 3 devait confirmer son mordant sur la glace. Au début, on aurait dit que seul le Xi3 permettait au système d’antipatinage de Mazda de prendre son souffle, mais après plusieurs tours tous les pneus faisaient un bon travail.
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| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |
Idem pour les distances d’arrêt. J’ai pu maintenir une vitesse au point de chrono entre 25 et 27 km/h, et toutes les voitures ont réussi à s’immobiliser entre les deux cônes. Vu les vitesses variées au point de chrono, les résultats étaient très semblables.
Le retour au point de départ fut plus révélateur. La série de virages en lacets rapides et glacés a démontré l’impressionnante stabilité du Xi3, si bien que j’ai eu de la difficulté à faire déraper le train arrière de la Mazda3. Certains pneus rivaux, quant à eux, ont permis un bon déhanchement.
Test 2
La deuxième épreuve a mis en valeur la stabilité latérale du Michelin X-Ice 3. Sur une courte piste circulaire et enneigée, la Mazda3 a réussi à prendre la bonne trajectoire relativement facilement grâce au Xi3. Un petit nouveau a participé au test, le pneu Kebek fabriqué en Chine, tout comme le Toyo Observe Garit KX et certains Nokian WR.
Comme on pouvait s’y attendre, le Kebek n’a pas épaté la galerie, et les conditions difficiles sont venues à bout des WR aussi. Il s’agit après tout de pneus quatre saisons. Les Toyo se sont bien débrouillés dans la neige, mais, encore une fois, la tendance naturelle du Michelin à tenir la route a fait toute la différence.
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| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |