Le nouveau tableau de bord est ergonomique et contemporain, à mille lieues du modèle précédent. L’aménagement et le fini sont réussis. On y trouve une quantité suffisante d’espaces de rangement, qui se sont avérés très pratiques lors de la longue route vers Détroit. Toutefois, même si le coffre est très volumineux, il est difficile d’accès, le plancher de chargement étant en retrait derrière le pare-choc et la largeur du hayon : vêtements salis garantis si on se penche à l’intérieur.
Un nouveau sceptre V6
En plus de revoir le 4Runner de la tête aux pieds pour 2010, Toyota a décidé de larguer le gros V8. Je n’étais pas convaincu de la sagesse de l’affaire au début, mais mes doutes se sont envolés une fois que j’ai essayé le V6 de 4,0 litres reconfiguré. L’ajout d’un double système de distribution à programme variable intelligent (VVT-i) porte le rendement à 270 ch (34 ch de plus que l’ancien quatre-litres et 10 de plus que le V8) et 278 pi-lb de couple.
Suivant la tendance bien établie de l’industrie, le nouveau V6 plus musclé consomme moins qu’avant. En effet, ma moyenne combinée de 14 litres aux 100 km était carrément impressionnante. Les V6 et V8 du passé étaient nettement plus gourmands.
Et quand on jumelle le moteur à la seule boîte offerte, une automatique à cinq vitesses, le 4Runner n’a rien à envier en matière de dépassements et d’accélérations. Le bond de 80 à 120 km/h, même quand on est trois adultes emportant des réserves pour 3 jours, se fait promptement et sans détour. Une chance, parce qu’on sait tous de quoi à l’air la 401 par endroits. C’est tout ce que j’ai à dire.
Sa majesté est polie sur la route? Vraiment?
Livrée de série avec l’ensemble Limited, la suspension sport X-REAS raffermit certainement l’expérience. Voilà qui est appréciable, car le 4Runner demeure plutôt stable à haute vitesse (et sensible aux vents latéraux, comme on s’y attendait), et le transfert de poids est bien maîtrisé en coin. Les jantes de 20 pouces, également propres au Limited, jouent un rôle dans cette docilité routière étonnante.
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| L’ajout d’un double système de distribution à programme variable intelligent porte le rendement à 270 ch et 278 pi-lb de couple. |
Un nouveau sceptre V6
En plus de revoir le 4Runner de la tête aux pieds pour 2010, Toyota a décidé de larguer le gros V8. Je n’étais pas convaincu de la sagesse de l’affaire au début, mais mes doutes se sont envolés une fois que j’ai essayé le V6 de 4,0 litres reconfiguré. L’ajout d’un double système de distribution à programme variable intelligent (VVT-i) porte le rendement à 270 ch (34 ch de plus que l’ancien quatre-litres et 10 de plus que le V8) et 278 pi-lb de couple.
Suivant la tendance bien établie de l’industrie, le nouveau V6 plus musclé consomme moins qu’avant. En effet, ma moyenne combinée de 14 litres aux 100 km était carrément impressionnante. Les V6 et V8 du passé étaient nettement plus gourmands.
Et quand on jumelle le moteur à la seule boîte offerte, une automatique à cinq vitesses, le 4Runner n’a rien à envier en matière de dépassements et d’accélérations. Le bond de 80 à 120 km/h, même quand on est trois adultes emportant des réserves pour 3 jours, se fait promptement et sans détour. Une chance, parce qu’on sait tous de quoi à l’air la 401 par endroits. C’est tout ce que j’ai à dire.
Sa majesté est polie sur la route? Vraiment?
Livrée de série avec l’ensemble Limited, la suspension sport X-REAS raffermit certainement l’expérience. Voilà qui est appréciable, car le 4Runner demeure plutôt stable à haute vitesse (et sensible aux vents latéraux, comme on s’y attendait), et le transfert de poids est bien maîtrisé en coin. Les jantes de 20 pouces, également propres au Limited, jouent un rôle dans cette docilité routière étonnante.
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| Livrée de série avec l’ensemble Limited, la suspension sport X-REAS raffermit certainement l’expérience. |