Car le 4Runner n’est pas un vulgaire utilitaire à traction intégrale et à structure monocoque — loin de là. Il possède même des crochets de remorquage, juste au cas où le conducteur (ou un autre compagnon de sentier) s’enlise dans une mare.
L’antipatinage, le régulateur de traction actif (A-TRAC) et le différentiel arrière à verrouillage électronique peuvent tous être activés à l’aide du panneau de contrôle au plafond après avoir engagé le mode 4RM gamme basse avec le bon vieux levier. L’activation de ces différents systèmes est confirmée par des témoins sur le tableau de bord.
Des aides électroniques pour jouer dans la boue
Deux molettes au plafond commandent le système de sélection multiterrain et le régulateur de vitesse lente (en option) du 4Runner. Le premier permet de sélectionner le contrôle du patinage des roues pour mieux affronter certaines conditions hors route spécifiques («Boue et sable», «Terrain rocailleux», «Bosses» et «Grosses roches»), tandis que le second gère l’accélérateur, les freins et le dispositif antidérapage pour maintenir une vitesse prédéterminée. On peut ainsi laisser le véhicule «ramper» à moins de 5 km/h et se concentrer sur les manœuvres à effectuer.
Certes, il faut s’habituer aux sons qui accompagnent le fonctionnement du régulateur de vitesse lente, mais son efficacité ne fait aucun doute. On peut pratiquement avancer d’un pouce à la fois. Imaginez un ado de 4650 livres qui marcherait tranquillement sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller ses parents en rentrant à 3h du matin!
En ce qui concerne ledit système de sélection multiterrain, il travaille indépendamment du régulateur de vitesse lente et laisse le conducteur informer le véhicule du terrain à franchir. Il ajuste la sensibilité de l’accélérateur, le freinage, l’antipatinage et les changements de rapport afin d’optimiser le roulement en fonction des conditions de terrain.
Même volontairement soumis aux pires des scénarios, mon 4Runner 2010 a réussi à tirer son épingle du jeu bien que chaussé de pneus de route. Je me suis sorti sans problème d’une mare de boue profonde et d’un escarpement sablonneux alors que j’étais arrêté. Ajoutez-y un treuil et de bons pneus tout-terrain et ce camion n’aurait rien à son épreuve.
Pendant toute cette fin de semaine où je me suis amusé et sali, je n’ai noté aucun problème au niveau de la garde au sol et des angles d’attaque/de départ. Quand le cœur m’en disait, j’ai même désactivé tous les systèmes d’assistance électroniques pour voir de quel bois ce conducteur se chauffait.
L’antipatinage, le régulateur de traction actif (A-TRAC) et le différentiel arrière à verrouillage électronique peuvent tous être activés à l’aide du panneau de contrôle au plafond après avoir engagé le mode 4RM gamme basse avec le bon vieux levier. L’activation de ces différents systèmes est confirmée par des témoins sur le tableau de bord.
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| Il possède même des crochets de remorquage, juste au cas où le conducteur (ou un autre compagnon de sentier) s’enlise dans une mare. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Des aides électroniques pour jouer dans la boue
Deux molettes au plafond commandent le système de sélection multiterrain et le régulateur de vitesse lente (en option) du 4Runner. Le premier permet de sélectionner le contrôle du patinage des roues pour mieux affronter certaines conditions hors route spécifiques («Boue et sable», «Terrain rocailleux», «Bosses» et «Grosses roches»), tandis que le second gère l’accélérateur, les freins et le dispositif antidérapage pour maintenir une vitesse prédéterminée. On peut ainsi laisser le véhicule «ramper» à moins de 5 km/h et se concentrer sur les manœuvres à effectuer.
Certes, il faut s’habituer aux sons qui accompagnent le fonctionnement du régulateur de vitesse lente, mais son efficacité ne fait aucun doute. On peut pratiquement avancer d’un pouce à la fois. Imaginez un ado de 4650 livres qui marcherait tranquillement sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller ses parents en rentrant à 3h du matin!
En ce qui concerne ledit système de sélection multiterrain, il travaille indépendamment du régulateur de vitesse lente et laisse le conducteur informer le véhicule du terrain à franchir. Il ajuste la sensibilité de l’accélérateur, le freinage, l’antipatinage et les changements de rapport afin d’optimiser le roulement en fonction des conditions de terrain.
Même volontairement soumis aux pires des scénarios, mon 4Runner 2010 a réussi à tirer son épingle du jeu bien que chaussé de pneus de route. Je me suis sorti sans problème d’une mare de boue profonde et d’un escarpement sablonneux alors que j’étais arrêté. Ajoutez-y un treuil et de bons pneus tout-terrain et ce camion n’aurait rien à son épreuve.
Pendant toute cette fin de semaine où je me suis amusé et sali, je n’ai noté aucun problème au niveau de la garde au sol et des angles d’attaque/de départ. Quand le cœur m’en disait, j’ai même désactivé tous les systèmes d’assistance électroniques pour voir de quel bois ce conducteur se chauffait.
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| Je me suis sorti sans problème d’une mare de boue profonde et d’un escarpement sablonneux alors que j’étais arrêté.(Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |