De 9 à 5
Il va sans dire que le Toyota 4Runner doit quand même accommoder ses occupants au quotidien. Sur l’autoroute, son roulement est bien dosé, voire confortable, et la visibilité avant impressionne. En outre, le bruit du vent demeure étonnamment faible pour un coffre à outils aussi mobile et véloce.
Mon modèle d’essai m’a charmé avec son espace abondant, son rangement des plus généreux, sa finition relevée, ses grosses commandes conviviales, sa lunette de hayon coulissante, ses dossiers arrière rabattables, sa connectivité Bluetooth et plus encore.
Un grand VUS typique
Naturellement, le 4Runner offre une bien moins bonne maniabilité quand on quitte l’asphalte. Alors que sa construction montée sur un cadre procure une merveilleuse sensation de solidité, elle donne l’impression de rouler à bord d’un château gonflable et bondissant lorsqu’on attaque des virages sur chaussée accidentée. Sa suspension souple et sa direction relativement sensible se traduisent d’ailleurs par un comportement nerveux à haute vitesse. En général, toutefois, le véhicule sait se montrer confortable et assez détendu.
Après une semaine d’essai, mon seul gros reproche à l’égard du Toyota 4Runner 2010 vise son imposant diamètre de braquage… ou son orbite de braquage, devrais-je plutôt dire. Assurez-vous d’avoir beaucoup d’espace à votre disposition avant de faire demi-tour, quoique les chances de devoir rebrousser chemin sont assez minces avec ce guerrier tout-terrain.
Il va sans dire que le Toyota 4Runner doit quand même accommoder ses occupants au quotidien. Sur l’autoroute, son roulement est bien dosé, voire confortable, et la visibilité avant impressionne. En outre, le bruit du vent demeure étonnamment faible pour un coffre à outils aussi mobile et véloce.
Mon modèle d’essai m’a charmé avec son espace abondant, son rangement des plus généreux, sa finition relevée, ses grosses commandes conviviales, sa lunette de hayon coulissante, ses dossiers arrière rabattables, sa connectivité Bluetooth et plus encore.
Mon modèle d’essai m’a charmé avec son espace abondant, son rangement des plus généreux. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Un grand VUS typique
Naturellement, le 4Runner offre une bien moins bonne maniabilité quand on quitte l’asphalte. Alors que sa construction montée sur un cadre procure une merveilleuse sensation de solidité, elle donne l’impression de rouler à bord d’un château gonflable et bondissant lorsqu’on attaque des virages sur chaussée accidentée. Sa suspension souple et sa direction relativement sensible se traduisent d’ailleurs par un comportement nerveux à haute vitesse. En général, toutefois, le véhicule sait se montrer confortable et assez détendu.
Après une semaine d’essai, mon seul gros reproche à l’égard du Toyota 4Runner 2010 vise son imposant diamètre de braquage… ou son orbite de braquage, devrais-je plutôt dire. Assurez-vous d’avoir beaucoup d’espace à votre disposition avant de faire demi-tour, quoique les chances de devoir rebrousser chemin sont assez minces avec ce guerrier tout-terrain.
Toyota 4Runner SR5 V6 Édition Trail 2010
Toyota 4Runner SR5 V6 Édition Trail 2010