Je qualifie la direction d'engourdie, aucune sensation ne vient du volant tout comme du pédalier de freinage d'ailleurs. Les deux font bien leur travail, mais mollement. On tourne et on freine, voilà leur description de tâche, rien d'autre. Heureusement pour sauver l'honneur de la ''sportivité'' du modèle SE la suspension est bien calibrée donnant une bonne tenue de route en virage.
Toyota, sur la version V6, intègre le très bon moteur de 3,5 litres VVT-i de 268 chevaux. Le moteur offre de bonnes performances et de bonnes reprises. La souplesse du moteur fait honneur à la tradition de Toyota en matière de quiétude. Malgré la puissance l'économie de carburant se présente au rendez-vous avec 9 litres au 100km. Je dois vous avouer ne pas avoir cherché les limites de la voiture en fait de performances, j'ai été passablement plus détendu au volant, me laissant porter par la voiture du point A au point B.
Le moteur obtient un soutien de taille avec la transmission automatique à six rapports. Très orientée vers l'économie de carburant, la transmission disparaît de notre imaginaire en conduite. Les changements de rapports sont souples et l'étagement des rapports rend l'opération indétectable ou presque.
Choisir son investissement
Étonnamment, le prix demandé pour la version V6 à 34 255 $ par rapport au quatre cylindres de 2,5 litres à 27 755 $ m'apparaît plutôt louche. La différence 6 500 $ se justifie difficilement. Il y a bien 99 chevaux de plus et certains gadgets comme le bouton poussoir de démarrage, mais à ce prix je ne suis pas certain que ça en vaille la chandelle.
Par contre, l'investissement vers la version SE vaut la peine en comparaison avec la LE et même XLE. Premièrement, l'apparence est plus dynamique et se démarque du lot des autres et nombreuses Camry sur la route. Deuxièmement et surtout, la conduite se veut un peu plus énergique que les autres versions à mon goût bien personnel.
Conclusion
La Camry reste une excellente voiture et mérite son succès tout à fait légitime. Elle représente dans l'état le plus pur, la notion de transport individuel de format intermédiaire. Où elle échoue tristement, c'est le moment où on a envie d'aller faire une balade juste pour le plaisir de conduire… À moins que ce ne soit pour le plaisir d'endormir les enfants récalcitrants au dodo!
Toyota, sur la version V6, intègre le très bon moteur de 3,5 litres VVT-i de 268 chevaux. Le moteur offre de bonnes performances et de bonnes reprises. La souplesse du moteur fait honneur à la tradition de Toyota en matière de quiétude. Malgré la puissance l'économie de carburant se présente au rendez-vous avec 9 litres au 100km. Je dois vous avouer ne pas avoir cherché les limites de la voiture en fait de performances, j'ai été passablement plus détendu au volant, me laissant porter par la voiture du point A au point B.
Le moteur obtient un soutien de taille avec la transmission automatique à six rapports. Très orientée vers l'économie de carburant, la transmission disparaît de notre imaginaire en conduite. Les changements de rapports sont souples et l'étagement des rapports rend l'opération indétectable ou presque.
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| Toyota, sur la version V6, intègre le très bon moteur de 3,5 litres VVT-i de 268 chevaux. (Photo: Toyota) |
Choisir son investissement
Étonnamment, le prix demandé pour la version V6 à 34 255 $ par rapport au quatre cylindres de 2,5 litres à 27 755 $ m'apparaît plutôt louche. La différence 6 500 $ se justifie difficilement. Il y a bien 99 chevaux de plus et certains gadgets comme le bouton poussoir de démarrage, mais à ce prix je ne suis pas certain que ça en vaille la chandelle.
Par contre, l'investissement vers la version SE vaut la peine en comparaison avec la LE et même XLE. Premièrement, l'apparence est plus dynamique et se démarque du lot des autres et nombreuses Camry sur la route. Deuxièmement et surtout, la conduite se veut un peu plus énergique que les autres versions à mon goût bien personnel.
Conclusion
La Camry reste une excellente voiture et mérite son succès tout à fait légitime. Elle représente dans l'état le plus pur, la notion de transport individuel de format intermédiaire. Où elle échoue tristement, c'est le moment où on a envie d'aller faire une balade juste pour le plaisir de conduire… À moins que ce ne soit pour le plaisir d'endormir les enfants récalcitrants au dodo!
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