Y a t'il un moteur sous le capot?Le moteur que l'on retrouve sous le capot de notre Toyota Camry XLE mise à l'essai, est un V6 de 3.0 litres, ULEV (peu polluant), à double arbres à cames en tête/24 soupapes, à injection multipoint et séquentielle, qui développe 192 cv à 5 300 tm, et délivre 209 lb-pi de couple à 4 400 tm. C'est un moteur hyper-doux et silencieux d'une grande discrétion lorsque sollicité.La transmission automatique à quatre rapports électroniques avec convertisseur de couple est d'une douceur et d'une précision telle une montre suisse. Sa grande complicité avec son moteur V6, ne fait aucun doute.
L'insonorisation a encore été relevée et ce, à tous les niveaux, ce qui fait de cette berline de classe une des plus douillette et silencieuse de sa catégorie. Seul un mince sifflement des pneus d'hiver se fait entendre sur le bitume.Les performances qui nous sont offertes par les 192 chevaux, sont intéressantes (sans être spectaculaires) et ce, tant au niveau des accélérations qu'au niveau des reprises.
Au niveau consommation d'essence moyenne ville/route (110 km/hr), cette berline annonce un débit de 12.5 li/100 km ou 23 mi/gallon.
La direction est à crémaillère avec assistance variable. Sa douceur et sa grande souplesse en circulation urbaine sauront être appréciés par les amateurs de ces grandes berlines de luxe, sans pour autant omettre de se faire plus ferme et un peu plus précise, au fur et à mesure que la vitesse augmente. Cependant, cette dernière, pourrait être un peu plus ferme et surtout plus précise à grandes vitesses et au niveau des courbes plus serrées.
La suspension est entièrement indépendante et à jambes de force MacPherson à gaz à l'avant et MacPherson avec barre de raidissement à l'arrière, le tout, complété par des ressorts hélicoïdaux et des barres stabilisatrices. C'est une suspension qui nous octroie une portée très douce et saine sans être sportive. Cependant, il est à noter que la version SE/V6, nous octroie une direction et une suspension légèrement plus ferme ce qui devrait contribuer à nous offrir un comportement, nettement plus homogène.
L'insonorisation a encore été relevée et ce, à tous les niveaux, ce qui fait de cette berline de classe une des plus douillette et silencieuse de sa catégorie. Seul un mince sifflement des pneus d'hiver se fait entendre sur le bitume.Les performances qui nous sont offertes par les 192 chevaux, sont intéressantes (sans être spectaculaires) et ce, tant au niveau des accélérations qu'au niveau des reprises.
Au niveau consommation d'essence moyenne ville/route (110 km/hr), cette berline annonce un débit de 12.5 li/100 km ou 23 mi/gallon.
La direction est à crémaillère avec assistance variable. Sa douceur et sa grande souplesse en circulation urbaine sauront être appréciés par les amateurs de ces grandes berlines de luxe, sans pour autant omettre de se faire plus ferme et un peu plus précise, au fur et à mesure que la vitesse augmente. Cependant, cette dernière, pourrait être un peu plus ferme et surtout plus précise à grandes vitesses et au niveau des courbes plus serrées.
La suspension est entièrement indépendante et à jambes de force MacPherson à gaz à l'avant et MacPherson avec barre de raidissement à l'arrière, le tout, complété par des ressorts hélicoïdaux et des barres stabilisatrices. C'est une suspension qui nous octroie une portée très douce et saine sans être sportive. Cependant, il est à noter que la version SE/V6, nous octroie une direction et une suspension légèrement plus ferme ce qui devrait contribuer à nous offrir un comportement, nettement plus homogène.