MERDE AUX AILERONS
Puisqu'il est question du postérieur de la voiture, profitons-en pour souligner la commodité du compartiment à bagages et, dans un même souffle, la stupidité des ailerons arrière qui ne répondent à rien d'autre qu'à une mode infantile. N'importe quel aérodynamicien vous dira qu'aux vitesses autorisées en Amérique, ces artifices superfétatoires n'ont aucune incidence sur la tenue de route du véhicule. Loin d'améliorer la sécurité, ils ont plutôt l'effet contraire en réduisant sérieusement la visibilité arrière. Le comble du ridicule, c'est que l'on va même jusqu'à affubler d'un aileron (ou serait-ce une poignée pour le coffre arrière ?) des voitures aussi modestement performantes qu'une Toyota Echo. Il serait grandement temps que notre ministère des Transports interdise ces accessoires dangereux.
Cela dit, la Celica est une voiture relativement confortable et on finit par s'habituer à ses sièges malgré le manque d'appui latéral. L'habitacle est sobre, peut-être même un peu trop, mais il a le mérite d'offrir des tas d'espaces de rangement. J'ai beaucoup aimé aussi l'appareil de radio dont les touches de sélection ne semblent pas avoir été dessinées uniquement pour être manipulées par des doigts de fée. Pour ce qui est des places arrière, la Celica se présente comme un modèle 2+2, ce qui est juste. Cela revient à dire que la banquette (par ailleurs repliable) n'offre qu'un refuge occasionnel à des passagers de très petite taille et surtout fort compréhensifs. Plus précisément, elle est inutile ou presque.
Puisqu'il est question du postérieur de la voiture, profitons-en pour souligner la commodité du compartiment à bagages et, dans un même souffle, la stupidité des ailerons arrière qui ne répondent à rien d'autre qu'à une mode infantile. N'importe quel aérodynamicien vous dira qu'aux vitesses autorisées en Amérique, ces artifices superfétatoires n'ont aucune incidence sur la tenue de route du véhicule. Loin d'améliorer la sécurité, ils ont plutôt l'effet contraire en réduisant sérieusement la visibilité arrière. Le comble du ridicule, c'est que l'on va même jusqu'à affubler d'un aileron (ou serait-ce une poignée pour le coffre arrière ?) des voitures aussi modestement performantes qu'une Toyota Echo. Il serait grandement temps que notre ministère des Transports interdise ces accessoires dangereux.
Cela dit, la Celica est une voiture relativement confortable et on finit par s'habituer à ses sièges malgré le manque d'appui latéral. L'habitacle est sobre, peut-être même un peu trop, mais il a le mérite d'offrir des tas d'espaces de rangement. J'ai beaucoup aimé aussi l'appareil de radio dont les touches de sélection ne semblent pas avoir été dessinées uniquement pour être manipulées par des doigts de fée. Pour ce qui est des places arrière, la Celica se présente comme un modèle 2+2, ce qui est juste. Cela revient à dire que la banquette (par ailleurs repliable) n'offre qu'un refuge occasionnel à des passagers de très petite taille et surtout fort compréhensifs. Plus précisément, elle est inutile ou presque.