Mon modèle d’essai était encore chaussé de pneus d’hiver, et pour cause : il y avait encore de la neige quand j’ai effectué mon essai routier. La voiture jouissait donc d’une pleine motricité, contrairement à plusieurs autres que je me suis fait un plaisir de dépasser parce que leur dépendance à l’antipatinage les rendait hésitantes aux intersections. Je suppose que la boîte automatique à quatre rapports de la Corolla LE n’en fait pas l’une des premières à décoller d’un feu rouge sur chaussée sèche et chaude, mais en hiver, c’est souvent le cas.
Suspension
Au-delà de l’accélération, les pneus m’ont permis de tirer davantage profit de la suspension. Les jambes MacPherson se sont révélées assez flexibles à -20 degrés Celsius pour maintenir un roulement doux et sans saccade. Une poutre de torsion à l’arrière aide à garder les choses en place et à rendre le comportement de la voiture plus prévisible, même sur les routes endommagées, ce qui accroît le plaisir du conducteur. J’ai réussi à négocier des bretelles d’autoroute presque à la limite des lois de la physique (pas de glace!!) et le sourire sur mon visage a commencé à s’élargir dangereusement.
Conduite
Mes attentes envers la Corolla LE étaient les mêmes que pour n’importe quelle autre berline d’entrée de gamme destinée à de jeunes acheteurs ou à de vieux couples. Bref, je ne pensais pas pouvoir m’amuser au volant, encore moins sur les routes glissantes. Eh bien, j’ai été surpris! (J’entends mon ami qui a déjà fait de la course avec une Corolla : «Je te l’avais dit!»).
Les vitres dégagées, la conduite s’est avérée hautement agréable. Après que les amortisseurs se soient bien réchauffés, le roulement s’est amélioré, surtout en passant des rues de la ville à l’autoroute.
Faute de temps, je n’ai pu vérifier tous les petits détails de la Corolla, mais j’ai remarqué que l’aiguille de l’indicateur de température du moteur n’atteignait pas le niveau «normal» lors des journées les plus froides. Je suppose qu’un simple ajustement permettrait de remédier à la situation. D’autre part, je me suis souvent cogné la tête contre le haut du cadre de porte (comme on dit, j’ai appris ma leçon à la dure!). Il m’a suffi de garder la tête baissée pendant un dixième de seconde de plus pour contourner ce problème. Les personnes de grandeur moyenne n’ont rien à craindre, cependant.
Difficile de se plaindre quand on a encore le sourire accroché aux lèvres!
Suspension
Au-delà de l’accélération, les pneus m’ont permis de tirer davantage profit de la suspension. Les jambes MacPherson se sont révélées assez flexibles à -20 degrés Celsius pour maintenir un roulement doux et sans saccade. Une poutre de torsion à l’arrière aide à garder les choses en place et à rendre le comportement de la voiture plus prévisible, même sur les routes endommagées, ce qui accroît le plaisir du conducteur. J’ai réussi à négocier des bretelles d’autoroute presque à la limite des lois de la physique (pas de glace!!) et le sourire sur mon visage a commencé à s’élargir dangereusement.
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| Pour 2010, la Corolla ne change pas physiquement, mais pas moins d’une centaine d’améliorations mineures ont été apportées. (Modèle LE) (Photo: Toyota) |
Conduite
Mes attentes envers la Corolla LE étaient les mêmes que pour n’importe quelle autre berline d’entrée de gamme destinée à de jeunes acheteurs ou à de vieux couples. Bref, je ne pensais pas pouvoir m’amuser au volant, encore moins sur les routes glissantes. Eh bien, j’ai été surpris! (J’entends mon ami qui a déjà fait de la course avec une Corolla : «Je te l’avais dit!»).
Les vitres dégagées, la conduite s’est avérée hautement agréable. Après que les amortisseurs se soient bien réchauffés, le roulement s’est amélioré, surtout en passant des rues de la ville à l’autoroute.
Faute de temps, je n’ai pu vérifier tous les petits détails de la Corolla, mais j’ai remarqué que l’aiguille de l’indicateur de température du moteur n’atteignait pas le niveau «normal» lors des journées les plus froides. Je suppose qu’un simple ajustement permettrait de remédier à la situation. D’autre part, je me suis souvent cogné la tête contre le haut du cadre de porte (comme on dit, j’ai appris ma leçon à la dure!). Il m’a suffi de garder la tête baissée pendant un dixième de seconde de plus pour contourner ce problème. Les personnes de grandeur moyenne n’ont rien à craindre, cependant.
Difficile de se plaindre quand on a encore le sourire accroché aux lèvres!
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