À ma plus grande surprise, malgré la masse du FJ, il s’insère dans un espace de stationnement régulier. Il est un peu serré au centre d’achats, par contre, et sortir en marche arrière devient une opération un peu plus corsée, mais toujours réalisable. Les stationnements en parallèle sont plus compliqués, mais étonnamment simples en raison de sa forme carrée.
Le seul vrai problème que j’ai éprouvé était de sortir à reculons d’un espace en angle où personne ne voulait me laisser sortir. J’ai dû attendre quelques minutes, avant que quelqu’un désirant ma place, arrive pour me laisser sortir. J’avais envie de reculer quand même et tant pis pour les coups de klaxon et les doigts d’honneur, mais la discrétion l’a emporté.
Avec une telle carrure et des pneus si agressifs, on ne s’attend pas à ce que le FJ Cruiser se comporte si sagement sur l’autoroute. Les grands flancs flexibles des pneus ne le laissent pas errer dans la voie, et ce n’est qu’en attaquant férocement un coin que les pneus deviennent problématiques, lorsque le nez commence à dériver. En fait, la grosseur des flancs contribue à la fluidité de conduite sur les surfaces raboteuses, et les pneus absorbent les coulées de goudron à tel point qu’on ne remarque même pas leur présence.
Si vous ne quittez pas les sentiers battus avec votre nouveau Cruiser « civilisé », vous allez manquer quelque chose. Pour un produit construit sur la plateforme d’une voiture et chaussé de quatre grands pneus élevés assurant une grande garde au sol, le FJ est étonnamment agile. Toyota a même inclus un inclinomètre qui nous indique les angles qu’on peut affronter.
Tout ça est bien beau, mais ses compétences hors route s’étendent à nos chemins de terre et de gravier aussi. J’ai réussi à atteindre de bonnes vitesses sur des sentiers muletiers. La stabilité était excellente, et même si les plans d’eau et de boue que j’ai traversés m’ont considérablement ralenti, ils n’ont pas réussi à m’enliser.
À moins d’être un incurable escaladeur de rochers, le FJ Cruiser répondra à vos besoins urbains et tout terrain. Autant il arpentera les routes les plus difficiles, autant, tout propre, il aura fière allure garé devant le théâtre.
C’est rare que mes enfants et moi soyons d’accord sur un point, mais mes deux fils et moi avons tous trois inscrit le FJ Cruiser en haut de notre liste de souhaits pour un véhicule de style tout terrain. De plus, mon voisin, qui a déjà conduit un Land Cruiser, s’est pointé trois à quatre fois pour participer à mes essais routiers, question de trouver de nouveaux arguments pour convaincre sa femme qu’il leur en faut absolument un.
photo:Charles Renny
Le seul vrai problème que j’ai éprouvé était de sortir à reculons d’un espace en angle où personne ne voulait me laisser sortir. J’ai dû attendre quelques minutes, avant que quelqu’un désirant ma place, arrive pour me laisser sortir. J’avais envie de reculer quand même et tant pis pour les coups de klaxon et les doigts d’honneur, mais la discrétion l’a emporté.
Avec une telle carrure et des pneus si agressifs, on ne s’attend pas à ce que le FJ Cruiser se comporte si sagement sur l’autoroute. Les grands flancs flexibles des pneus ne le laissent pas errer dans la voie, et ce n’est qu’en attaquant férocement un coin que les pneus deviennent problématiques, lorsque le nez commence à dériver. En fait, la grosseur des flancs contribue à la fluidité de conduite sur les surfaces raboteuses, et les pneus absorbent les coulées de goudron à tel point qu’on ne remarque même pas leur présence.
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| Lorsque la voie se dégage, le puissant V6 de 4,0 litres nous propulse rapidement d’un endroit à l’autre. |
Si vous ne quittez pas les sentiers battus avec votre nouveau Cruiser « civilisé », vous allez manquer quelque chose. Pour un produit construit sur la plateforme d’une voiture et chaussé de quatre grands pneus élevés assurant une grande garde au sol, le FJ est étonnamment agile. Toyota a même inclus un inclinomètre qui nous indique les angles qu’on peut affronter.
Tout ça est bien beau, mais ses compétences hors route s’étendent à nos chemins de terre et de gravier aussi. J’ai réussi à atteindre de bonnes vitesses sur des sentiers muletiers. La stabilité était excellente, et même si les plans d’eau et de boue que j’ai traversés m’ont considérablement ralenti, ils n’ont pas réussi à m’enliser.
À moins d’être un incurable escaladeur de rochers, le FJ Cruiser répondra à vos besoins urbains et tout terrain. Autant il arpentera les routes les plus difficiles, autant, tout propre, il aura fière allure garé devant le théâtre.
C’est rare que mes enfants et moi soyons d’accord sur un point, mais mes deux fils et moi avons tous trois inscrit le FJ Cruiser en haut de notre liste de souhaits pour un véhicule de style tout terrain. De plus, mon voisin, qui a déjà conduit un Land Cruiser, s’est pointé trois à quatre fois pour participer à mes essais routiers, question de trouver de nouveaux arguments pour convaincre sa femme qu’il leur en faut absolument un.
photo:Charles Renny
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