Le siège du conducteur est d’un confort incroyable, et je m’y plairais pendant des heures. Comme dans tous les sièges du RAV4, d’ailleurs. La deuxième rangée offre en effet juste assez de dégagement pour les jambes et amplement d’espace pour la tête de la majorité.
J’adore l’aluminium brossé ornant le bloc d’instruments vertical. L’aménagement respire la simplicité, et les commandes rondes de base pour le climatiseur sont convivialement placées au centre.
Bref, le tableau de bord est épuré. D’autres constructeurs commencent cependant à ajouter des détails raffinés, et j’aimerais bien que Toyota inclue quelques touches chromées ou différentes textures aussi.
Malgré le plastique très dur qui forme le volant à trois rayons, celui-ci tombe super bien dans la main. Ses commandes redondantes pour la radio sont parfaitement situées, et grâce aux fonctions de télescope et d’inclinaison de série, on trouve aisément une position de conduite confortable.
Je suis particulièrement éprise de la douceur du RAV4. Il assure de merveilleux décollages et dépassements. L’habitacle s’avère toutefois un peu bruyant sur la grand-route, quelques bruits venant s’infiltrer.
La direction à assistance électrique dégage un effetde légèreté, que j’aime bien. Ainsi, le RAV4 se manie très bien au centre-ville. Sa nervosité ravira la plupart des conducteurs aussi.
J’ai vraiment l’impression de conduire une grosse berline, et non un VUS rustre.
La suspension accentue ce sentiment. Elle absorbe facilement les aléas de la route et se montre remarquablement satisfaisante sur l’autoroute. Grâce aux sièges douillets et à la superbe suspension, je pourrais passer des heures derrière le volant.
Le modèle de Base comporte un climatiseur, une chaîne AM/FM avec lecteur CD et MP3, un régulateur de vitesse automatique ainsi que des vitres et des portières électriques, le tout pour un peu plus de 24 500 $. Le modèle Sport ajoute des vitres arrière teintées, des jantes en alliage de 18 pouces et un ensemble de carrosserie sport. Le Limited, lui, profite d’une chaîne audio supérieure avec radio satellite XM, d’un siège du conducteur électrique à huit réglages, d’un toit ouvrant électrique et plus encore.
J’adore l’aluminium brossé ornant le bloc d’instruments vertical. L’aménagement respire la simplicité, et les commandes rondes de base pour le climatiseur sont convivialement placées au centre.
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| J’adore l’aluminium brossé ornant le bloc d’instruments vertical. (Photo: Toyota) |
Bref, le tableau de bord est épuré. D’autres constructeurs commencent cependant à ajouter des détails raffinés, et j’aimerais bien que Toyota inclue quelques touches chromées ou différentes textures aussi.
Malgré le plastique très dur qui forme le volant à trois rayons, celui-ci tombe super bien dans la main. Ses commandes redondantes pour la radio sont parfaitement situées, et grâce aux fonctions de télescope et d’inclinaison de série, on trouve aisément une position de conduite confortable.
Je suis particulièrement éprise de la douceur du RAV4. Il assure de merveilleux décollages et dépassements. L’habitacle s’avère toutefois un peu bruyant sur la grand-route, quelques bruits venant s’infiltrer.
La direction à assistance électrique dégage un effetde légèreté, que j’aime bien. Ainsi, le RAV4 se manie très bien au centre-ville. Sa nervosité ravira la plupart des conducteurs aussi.
J’ai vraiment l’impression de conduire une grosse berline, et non un VUS rustre.
La suspension accentue ce sentiment. Elle absorbe facilement les aléas de la route et se montre remarquablement satisfaisante sur l’autoroute. Grâce aux sièges douillets et à la superbe suspension, je pourrais passer des heures derrière le volant.
Le modèle de Base comporte un climatiseur, une chaîne AM/FM avec lecteur CD et MP3, un régulateur de vitesse automatique ainsi que des vitres et des portières électriques, le tout pour un peu plus de 24 500 $. Le modèle Sport ajoute des vitres arrière teintées, des jantes en alliage de 18 pouces et un ensemble de carrosserie sport. Le Limited, lui, profite d’une chaîne audio supérieure avec radio satellite XM, d’un siège du conducteur électrique à huit réglages, d’un toit ouvrant électrique et plus encore.
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| La suspension absorbe facilement les aléas de la route et se montre remarquablement satisfaisante sur l’autoroute. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |