On ne s'attend pas à retrouver une instrumentation élaborée dans une telle voiture. De plus, et ce n'est pas la première fois que je fais cette remarque, la position centrale des cadrans au tableau rend la consultation difficile : je ne critique pas l'emplacement, mais l'angle de vision. Même si les ingénieurs ont conçu ce bloc visuel pour le marché mondial, ils auraient pu s'assurer, au montage, qu'on puisse régler l'angle de visionnement en fonction de la conduite à gauche ou à droite. J'inverserais également le compte-tours et l'indicateur de vitesse pour permettre une consultation plus rapide. On sent que cette voiture a été pensée davantage pour le marché asiatique.
Bonne urbaine
Si sa direction laisse peu filtrer les sensations de la route, elle se révèle précise et permet à la Yaris de se faufiler aisément dans la circulation urbaine. Son diamètre de braquage permet de garer facilement la voiture. La visibilité avant est gênée par la prépondérance du pilier A : il faut porter une attention particulière aux piétons et aux cyclistes ainsi qu'aux véhicules arrivant dans l'angle gauche avant.
On compte enfin sur l'ABS offert en option, ce qui permet de garder un bon contrôle de la direction en hiver au freinage sur les surfaces enneigées ou glacées. Le groupe motopropulseur se tire d'affaire, mais si la boîte de vitesses automatique offre un bon frein moteur, les passages normaux se font lentement. Il ne faut donc pas s'attendre à une très grande vélocité.
J'opterais clairement pour la boîte manuelle, car la Yaris possède un excellent petit moteur à 4 cylindres de 1,6 litre très efficace. Les performances hors tout sont tout de même acceptables et raisonnables : 0 à 100 km/h en 10,7 secondes et des dépassements de 80 à 120 km/h en 8,9 secondes.
Avec la boîte automatique, nous avons obtenu une consommation moyenne de carburant de 8,2 litres aux 100 kilomètres : on pourrait facilement atteindre les 7 litres aux 100 kilomètres avec une boîte manuelle; après tout, cette berline n'est pas une sportive. Un meilleur équilibre entre la boîte automatique et le moteur la rendrait plus agréable à conduire.
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| La position centrale des cadrans au tableau rend la consultation difficile. |
Bonne urbaine
Si sa direction laisse peu filtrer les sensations de la route, elle se révèle précise et permet à la Yaris de se faufiler aisément dans la circulation urbaine. Son diamètre de braquage permet de garer facilement la voiture. La visibilité avant est gênée par la prépondérance du pilier A : il faut porter une attention particulière aux piétons et aux cyclistes ainsi qu'aux véhicules arrivant dans l'angle gauche avant.
On compte enfin sur l'ABS offert en option, ce qui permet de garder un bon contrôle de la direction en hiver au freinage sur les surfaces enneigées ou glacées. Le groupe motopropulseur se tire d'affaire, mais si la boîte de vitesses automatique offre un bon frein moteur, les passages normaux se font lentement. Il ne faut donc pas s'attendre à une très grande vélocité.
J'opterais clairement pour la boîte manuelle, car la Yaris possède un excellent petit moteur à 4 cylindres de 1,6 litre très efficace. Les performances hors tout sont tout de même acceptables et raisonnables : 0 à 100 km/h en 10,7 secondes et des dépassements de 80 à 120 km/h en 8,9 secondes.
Avec la boîte automatique, nous avons obtenu une consommation moyenne de carburant de 8,2 litres aux 100 kilomètres : on pourrait facilement atteindre les 7 litres aux 100 kilomètres avec une boîte manuelle; après tout, cette berline n'est pas une sportive. Un meilleur équilibre entre la boîte automatique et le moteur la rendrait plus agréable à conduire.
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| La Yaris possède un excellent petit moteur à 4 cylindres de 1,6 litre très efficace. |