Agréable à conduire
À basse vitesse, la servodirection électrohydraulique nous paraissait légère. Ce système offre toutefois moins d'assistance à mesure que la vitesse croît, ce qui permet de mieux sentir la qualité du revêtement de la route. De plus, puisque le volant est inclinable et télescopique, tout conducteur trouvera « sa » position de conduite idéale.
La C30 2.4i présente un comportement routier très prévisible. La suspension, qui priorise le confort (celle de la C30 T5 a un penchant plus sportif), masque bien les cahots mais sans excès de mollesse. Cela en fait une excellente routière pour de longs trajets.
Le freinage est endurant, mais il manque de progressivité. En outre, bien que cette traction adopte un comportement sous-vireur quand on accélère beaucoup dans une courbe, on ne ressent pas pour autant d'effet de couple gênant lors d'un départ arrêté.
Plus courte de 22,4 centimètres qu'une berline S40 dont elle partage l'essentiel du châssis, la C30 se révèle idéale en ville. Elle se faufile avec aisance dans le trafic des heures de pointe et se gare facilement dans les petits espaces des stationnements.
Un 2+2
Cette petite Volvo a quatre places, c'est vrai. Cependant, puisque les places arrière ne conviennent strictement qu'à deux petits enfants, il vaut mieux la considérer comme une « 2+2 », comme l'était d'ailleurs la Volvo 1800 ES d'antan dont l'esthétique de la C30 s'inspire. Le constructeur admet en quelque sorte cet état de fait puisqu'il décrit les sièges arrière divisés en deux sections par une répartition de « 45/45 », et non 50/50.
De toute façon, l'accès aux places arrière exige tant de souplesse qu'il faut pratiquement être gymnaste pour s'y rendre sans pester. De plus, un mécanisme permet d'avancer les deux sièges avant sans trop de problème, mais les remettre en place exige beaucoup plus de patience. Si bien, qu'on cesse rapidement d'offrir à ses amis de monter à l'arrière d'une C30...
Cela dit, les sièges avant sont particulièrement confortables. Ils moulent le corps sur toute sa longueur. Au risque de sacrifier les places arrière (inutiles de toute façon, à mon avis), l'assise pourrait même avoir une course plus longue, ce qui favoriserait les conducteurs de plus de 1,85 mètre.
À basse vitesse, la servodirection électrohydraulique nous paraissait légère. Ce système offre toutefois moins d'assistance à mesure que la vitesse croît, ce qui permet de mieux sentir la qualité du revêtement de la route. De plus, puisque le volant est inclinable et télescopique, tout conducteur trouvera « sa » position de conduite idéale.
La C30 2.4i présente un comportement routier très prévisible. La suspension, qui priorise le confort (celle de la C30 T5 a un penchant plus sportif), masque bien les cahots mais sans excès de mollesse. Cela en fait une excellente routière pour de longs trajets.
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| Cela dit, les sièges avant sont particulièrement confortables. |
Le freinage est endurant, mais il manque de progressivité. En outre, bien que cette traction adopte un comportement sous-vireur quand on accélère beaucoup dans une courbe, on ne ressent pas pour autant d'effet de couple gênant lors d'un départ arrêté.
Plus courte de 22,4 centimètres qu'une berline S40 dont elle partage l'essentiel du châssis, la C30 se révèle idéale en ville. Elle se faufile avec aisance dans le trafic des heures de pointe et se gare facilement dans les petits espaces des stationnements.
Un 2+2
Cette petite Volvo a quatre places, c'est vrai. Cependant, puisque les places arrière ne conviennent strictement qu'à deux petits enfants, il vaut mieux la considérer comme une « 2+2 », comme l'était d'ailleurs la Volvo 1800 ES d'antan dont l'esthétique de la C30 s'inspire. Le constructeur admet en quelque sorte cet état de fait puisqu'il décrit les sièges arrière divisés en deux sections par une répartition de « 45/45 », et non 50/50.
De toute façon, l'accès aux places arrière exige tant de souplesse qu'il faut pratiquement être gymnaste pour s'y rendre sans pester. De plus, un mécanisme permet d'avancer les deux sièges avant sans trop de problème, mais les remettre en place exige beaucoup plus de patience. Si bien, qu'on cesse rapidement d'offrir à ses amis de monter à l'arrière d'une C30...
Cela dit, les sièges avant sont particulièrement confortables. Ils moulent le corps sur toute sa longueur. Au risque de sacrifier les places arrière (inutiles de toute façon, à mon avis), l'assise pourrait même avoir une course plus longue, ce qui favoriserait les conducteurs de plus de 1,85 mètre.
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| L'accès aux places arrière exige tant de souplesse qu'il faut pratiquement être gymnaste. |