Confort priorisé
Je ne connaissais pas très bien ce gros VUS avant de le conduire pendant une semaine. Comme mon mode de vie ne nécessite pas un véhicule de cette dimension, je ne l’avais jamais vraiment remarqué. Il faut avouer que ce n’est pas le camion qui sort le plus du lot.
J’ai été agréablement surprise par le confort de ce bolide. Sur le chemin vers l’Ontario, la douceur de roulement m’a enchantée. Néanmoins, j’ai aussi éprouvé quelques déceptions, notamment sur les plans de la modernité et de la qualité de finition.
Qu’est-ce que le Chevrolet Equinox?
Ce VUS aux dimensions assez importantes, propose 2 motorisations, soit le 4 cylindres ou le nouveau 6 cylindres de 3,6 litres. Il est pourvu de beaucoup d’espace et est équipé convenablement. Il demeure un choix rationnel qui peut combler vos besoins, sans toutefois offrir un agrément de conduite à tout casser.
Infos techniques
Bien qu’il soit disponible avec un moteur 4 cylindres de 2,4 litres, livrant 182 chevaux et 172 livres/pied de couple, c’est un Equinox doté du nouveau moteur 6 cylindres de 3,6 litres qui m’a été attribué. En effet, cette motorisation remplace celle de 3,0 litres que l’on retrouvait dans le modèle 2012. Il développe 301 chevaux et 272 livres/pied de couple.
Après plusieurs heures au volant de mon Chevrolet Equinox, j’ai obtenu une cote de 10,1 L/100 km sur un trajet autoroutier à 90%. J’ai été impressionnée de constater à quel point le régime moteur est bas, même à une vitesse de 100 km/h. La transmission automatique à 6 rapports fait un excellent travail.
Le Chevrolet Equinox est vendu à partir de 26 935 $ pour la version de base nommée LS. Le 1LT auquel j’ai eu accès était équipé de la traction intégrale, de la motorisation 6 cylindres, de roues de 18 pouces et de quelques options supplémentaires. Il affiche un prix de 41 095 $, avant les frais d’expédition de 1 500 $.
Deux autres modèles, soit les 2LT et LTZ, offrent encore plus d’équipement.
Conduire le Chevrolet Equinox
Rien ne m’a irritée dans la conduite de ce VUS. La douceur de roulement et le confort demeurent indéniables. Il ne faut toutefois pas s’attendre à une conduite sportive. D’autre part, les dimensions encombrantes nuisent à sa maniabilité.
Les accélérations sont vives, mais son poids important se fait sentir lors du freinage.
La visibilité est bonne pour un véhicule de ce type. Les rétroviseurs latéraux avec lentille grand-angle facilitent l’utilisation d’une remorque. En revanche, j’ai eu peine à faire confiance à la caméra de recul. Comme la perception est modifiée, il est assez difficile d’évaluer correctement les distances et contrairement à certains autres modèles, aucune référence de couleur (vert, jaune, rouge) ne nous indique la proximité de l’obstacle.
La position de conduite est haute. Avec tous les réglages disponibles, il m’a été facile de trouver le meilleur ajustement, malgré ma petite taille de 5'1"!
Autre détail plutôt ingénieux de la part de Chevrolet : lorsqu’on lance un appel via le Bluetooth, la climatisation s’abaisse afin de réduire le bruit qui y est relié. Elle est relancée de façon plus efficace dès que l’appel est terminé.
Extérieur et intérieur du Chevrolet Equinox
Bien que passablement neutre, le design de ce véhicule est fluide et en rondeur. La calandre entrecoupée par une lisière de carrosserie arborant le logo de la marque et les phares arrière ronds ajoutent un peu d’effervescence à son look.
À l’intérieur, c’est une autre histoire. J’aurais aimé voir un peu plus de modernité. Les matériaux choisis pour la planche de bord paraissent bon marché. Le design de la console centrale est chargé et désuet, spécialement les témoins lumineux utilisés pour l’avertissement de collision frontale et de sortie de voie qui semblent tout droit tirés d’une époque lointaine.
En revanche, le système MyLink fonctionne bien et les commandes au volant sont appréciées.
Il faudra vraiment tenter de redorer l’image et la finition de l’habitacle. Sous le siège du conducteur, une grosse couette de fils jaunes est apparente. L’abstraction de ces détails par le constructeur est inacceptable. La compétition est forte et en ce moment, les Japonaises, Européennes et même les Coréennes épatent plus que cette Américaine par l’intégration des technologies et la modernité du poste de conduite.
Le Chevrolet Equinox et la concurrence
Il est rare de trouver un VUS aussi accessible qui permet de profiter d’autant d’espace. Le GMC Terrain, son cousin, ou encore les Hyundai Santa Fe, Toyota RAV4, Honda CR-V et Mitsubishi Outlander sont également à considérer.
Je ne connaissais pas très bien ce gros VUS avant de le conduire pendant une semaine. Comme mon mode de vie ne nécessite pas un véhicule de cette dimension, je ne l’avais jamais vraiment remarqué. Il faut avouer que ce n’est pas le camion qui sort le plus du lot.
J’ai été agréablement surprise par le confort de ce bolide. Sur le chemin vers l’Ontario, la douceur de roulement m’a enchantée. Néanmoins, j’ai aussi éprouvé quelques déceptions, notamment sur les plans de la modernité et de la qualité de finition.
Qu’est-ce que le Chevrolet Equinox?
Ce VUS aux dimensions assez importantes, propose 2 motorisations, soit le 4 cylindres ou le nouveau 6 cylindres de 3,6 litres. Il est pourvu de beaucoup d’espace et est équipé convenablement. Il demeure un choix rationnel qui peut combler vos besoins, sans toutefois offrir un agrément de conduite à tout casser.
Infos techniques
Bien qu’il soit disponible avec un moteur 4 cylindres de 2,4 litres, livrant 182 chevaux et 172 livres/pied de couple, c’est un Equinox doté du nouveau moteur 6 cylindres de 3,6 litres qui m’a été attribué. En effet, cette motorisation remplace celle de 3,0 litres que l’on retrouvait dans le modèle 2012. Il développe 301 chevaux et 272 livres/pied de couple.
Après plusieurs heures au volant de mon Chevrolet Equinox, j’ai obtenu une cote de 10,1 L/100 km sur un trajet autoroutier à 90%. J’ai été impressionnée de constater à quel point le régime moteur est bas, même à une vitesse de 100 km/h. La transmission automatique à 6 rapports fait un excellent travail.
Le Chevrolet Equinox est vendu à partir de 26 935 $ pour la version de base nommée LS. Le 1LT auquel j’ai eu accès était équipé de la traction intégrale, de la motorisation 6 cylindres, de roues de 18 pouces et de quelques options supplémentaires. Il affiche un prix de 41 095 $, avant les frais d’expédition de 1 500 $.
Deux autres modèles, soit les 2LT et LTZ, offrent encore plus d’équipement.
Conduire le Chevrolet Equinox
Rien ne m’a irritée dans la conduite de ce VUS. La douceur de roulement et le confort demeurent indéniables. Il ne faut toutefois pas s’attendre à une conduite sportive. D’autre part, les dimensions encombrantes nuisent à sa maniabilité.
Les accélérations sont vives, mais son poids important se fait sentir lors du freinage.
La visibilité est bonne pour un véhicule de ce type. Les rétroviseurs latéraux avec lentille grand-angle facilitent l’utilisation d’une remorque. En revanche, j’ai eu peine à faire confiance à la caméra de recul. Comme la perception est modifiée, il est assez difficile d’évaluer correctement les distances et contrairement à certains autres modèles, aucune référence de couleur (vert, jaune, rouge) ne nous indique la proximité de l’obstacle.
La position de conduite est haute. Avec tous les réglages disponibles, il m’a été facile de trouver le meilleur ajustement, malgré ma petite taille de 5'1"!
Autre détail plutôt ingénieux de la part de Chevrolet : lorsqu’on lance un appel via le Bluetooth, la climatisation s’abaisse afin de réduire le bruit qui y est relié. Elle est relancée de façon plus efficace dès que l’appel est terminé.
Extérieur et intérieur du Chevrolet Equinox
Bien que passablement neutre, le design de ce véhicule est fluide et en rondeur. La calandre entrecoupée par une lisière de carrosserie arborant le logo de la marque et les phares arrière ronds ajoutent un peu d’effervescence à son look.
À l’intérieur, c’est une autre histoire. J’aurais aimé voir un peu plus de modernité. Les matériaux choisis pour la planche de bord paraissent bon marché. Le design de la console centrale est chargé et désuet, spécialement les témoins lumineux utilisés pour l’avertissement de collision frontale et de sortie de voie qui semblent tout droit tirés d’une époque lointaine.
En revanche, le système MyLink fonctionne bien et les commandes au volant sont appréciées.
Il faudra vraiment tenter de redorer l’image et la finition de l’habitacle. Sous le siège du conducteur, une grosse couette de fils jaunes est apparente. L’abstraction de ces détails par le constructeur est inacceptable. La compétition est forte et en ce moment, les Japonaises, Européennes et même les Coréennes épatent plus que cette Américaine par l’intégration des technologies et la modernité du poste de conduite.
Le Chevrolet Equinox et la concurrence
Il est rare de trouver un VUS aussi accessible qui permet de profiter d’autant d’espace. Le GMC Terrain, son cousin, ou encore les Hyundai Santa Fe, Toyota RAV4, Honda CR-V et Mitsubishi Outlander sont également à considérer.
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Chevrolet Equinox 2013