Comment est-ce que quelqu'un peut débuter un article d'une nouvelle Ferrari? Il n'y a pas de marque plus iconique dans le monde automobile. Un essai routier
objectif, incluant des critiques, serait-il un peu comme évaluer la Chapelle Sixtine?
Vraiment, est-ce grave que le coffre de la nouvelle F430 n'ait assez d'espace que pour deux sacs mous? Ou qu'elle a un roulement plutôt ferme? Ou qu'elle avale de l'essence super sans plomb? Bien sûr que non. La F430 transcende tout cela. Comme toutes les Ferrari, c'est un objet de désir, un état d'esprit, et une voiture de route aussi viscérale et sensuelle qu'elle puisse être.
Bien sûr, le progrès de la technologie automobile moderne n'a pas manqué Ferrari, étant donné que la F430 peut retracer la plupart de sa lignée mécanique à des voitures de F1 précédentes provenant de Maranello, mais ce n'est pas le type de maîtresse au tempérament nerveux dont pensent la plupart des gens. Avec les spécifications et performances incroyables vient un degré raisonnable de civilité qui permet même à quelqu'un de considérer aller se promener lentement en ville. Une chance pour moi, mon expérience avec
le tout dernier V8 central du manufacturier légendaire était dans son environnement naturel--la piste de course et les routes de campagne rurales.
Quoique malheureusement, la piste à Mont Tremblant, au Québec, était ma première occasion de m'attacher dans cette bête, étant donné que je n'aurais qu'un tour sur une piste rapide qui m'était vaguement familière, afin d'explorer les très hautes limites d'une voiture que je ne connaissais pas du tout. Bien sûr, une telle situation s'est présentée à plusieurs occasions auparavant avec des voitures moindres; c'est juste que vous vouliez votre temps limité dans un tel bolide de rêve d'être un moment extraordinaire, sans se mettre dans l'embarras.
 |
| Comme toutes les Ferrari, La nouvelle F430 est un objet de désir, un état d'esprit, et une voiture de route aussi viscérale et sensuelle qu'elle puisse être. (Photo: Gerry Fréchette, Canadian Auto Press) |
Vraiment, est-ce grave que le coffre de la nouvelle F430 n'ait assez d'espace que pour deux sacs mous? Ou qu'elle a un roulement plutôt ferme? Ou qu'elle avale de l'essence super sans plomb? Bien sûr que non. La F430 transcende tout cela. Comme toutes les Ferrari, c'est un objet de désir, un état d'esprit, et une voiture de route aussi viscérale et sensuelle qu'elle puisse être.
Bien sûr, le progrès de la technologie automobile moderne n'a pas manqué Ferrari, étant donné que la F430 peut retracer la plupart de sa lignée mécanique à des voitures de F1 précédentes provenant de Maranello, mais ce n'est pas le type de maîtresse au tempérament nerveux dont pensent la plupart des gens. Avec les spécifications et performances incroyables vient un degré raisonnable de civilité qui permet même à quelqu'un de considérer aller se promener lentement en ville. Une chance pour moi, mon expérience avec
 |
| Mon expérience avec le tout dernier V8 central du manufacturier légendaire était dans son environnement naturel--la piste de course et les routes de campagne rurales. (Photo: Gerry Fréchette, Canadian Auto Press) |
Quoique malheureusement, la piste à Mont Tremblant, au Québec, était ma première occasion de m'attacher dans cette bête, étant donné que je n'aurais qu'un tour sur une piste rapide qui m'était vaguement familière, afin d'explorer les très hautes limites d'une voiture que je ne connaissais pas du tout. Bien sûr, une telle situation s'est présentée à plusieurs occasions auparavant avec des voitures moindres; c'est juste que vous vouliez votre temps limité dans un tel bolide de rêve d'être un moment extraordinaire, sans se mettre dans l'embarras.