Kamloops, C.B. Le Ford Expedition fait peau neuve pour 2003, mais les changements les plus significatifs se voient surtout à l'intérieur et sous la caisse.
D'abord, soulignons que le marché des grands utilitaires sport n'est pas le plus important en termes de véhicules vendus au Québec, mais il l'est aux yeux des constructeurs. En effet, il fut un temps où Ford détenait le haut du pavé dans ce créneau au Canada avec l'Expedition, mais depuis ce temps, Chevrolet a réussi à détrôner Ford avec son Tahoe. Ford doit donc relever le défi avec son plus récent Expedition.
Si l'Expedition reprend les lignes générales de son petit frère, il a plus à offrir, ne serait-ce que par son intérieur plus vaste et aussi bien, sinon mieux aménagé. Mais le plus important changement, c'est l'apport de la suspension arrière indépendante. Grâce à la configuration de celle-ci, le plancher demeure plat, et la dernière banquette (optionnelle), en plus d'offrir plus d'espace pour les jambes, peut se rabattre à plat au moyen d'une commande électrique ne demandant aucun effort physique de son utilisateur. Mentionnons également la banquette centrale 40-20-40 dont la position du milieu peut se rapprocher des sièges baquets avant, une fonction très utile lorsqu'on y installe un petit enfant dans son siège.
Deux moteurs V8 accouplés à une boîte automatique à quatre rapports sont offerts sur l'Expedition : le premier à SACT de 4,6 litres développant 232 chevaux, et le second, de 5,4 litres produisant 260 chevaux que nous recommandons. Au Canada, tous les Expedition seront équipés du boîtier de transfert électronique qui peut se placer en modes propulsion, transmission intégrale automatique, quatre roues motrices de rapport supérieur ou quatre roues motrices de rapport inférieur. L'Expedition sera offert en finition XLT de base ou Eddie Bauer. Cette dernière est le choix de plus de 70 % des acheteurs canadiens. Le système de stabilité et de motricité « AdvanceTrac » est également livrable en option.
D'abord, soulignons que le marché des grands utilitaires sport n'est pas le plus important en termes de véhicules vendus au Québec, mais il l'est aux yeux des constructeurs. En effet, il fut un temps où Ford détenait le haut du pavé dans ce créneau au Canada avec l'Expedition, mais depuis ce temps, Chevrolet a réussi à détrôner Ford avec son Tahoe. Ford doit donc relever le défi avec son plus récent Expedition.Si l'Expedition reprend les lignes générales de son petit frère, il a plus à offrir, ne serait-ce que par son intérieur plus vaste et aussi bien, sinon mieux aménagé. Mais le plus important changement, c'est l'apport de la suspension arrière indépendante. Grâce à la configuration de celle-ci, le plancher demeure plat, et la dernière banquette (optionnelle), en plus d'offrir plus d'espace pour les jambes, peut se rabattre à plat au moyen d'une commande électrique ne demandant aucun effort physique de son utilisateur. Mentionnons également la banquette centrale 40-20-40 dont la position du milieu peut se rapprocher des sièges baquets avant, une fonction très utile lorsqu'on y installe un petit enfant dans son siège.
Deux moteurs V8 accouplés à une boîte automatique à quatre rapports sont offerts sur l'Expedition : le premier à SACT de 4,6 litres développant 232 chevaux, et le second, de 5,4 litres produisant 260 chevaux que nous recommandons. Au Canada, tous les Expedition seront équipés du boîtier de transfert électronique qui peut se placer en modes propulsion, transmission intégrale automatique, quatre roues motrices de rapport supérieur ou quatre roues motrices de rapport inférieur. L'Expedition sera offert en finition XLT de base ou Eddie Bauer. Cette dernière est le choix de plus de 70 % des acheteurs canadiens. Le système de stabilité et de motricité « AdvanceTrac » est également livrable en option.