La ligne de toit basse se traduit par une ouverture de portière courte, et les grands passagers se cogneront peut-être le front. Enfin, certaines versions ne disposent que d’un accoudoir pour le passager avant, que le conducteur peut toutefois utiliser lors de longs trajets en se penchant de côté.
Bref, au chapitre de la polyvalence, de la consommation, du raffinement et de la grosseur, l’Orlando devrait frapper dans le mille dans sa fourchette de prix. Une garantie supérieure, l’exclusif système OnStar et un châssis ainsi qu’un groupe motopropulseur étonnamment raffinés aideront sans doute à attirer les acheteurs aussi.
Et par rapport aux fourgonnettes plus imposantes, l’Orlando n’avancera pas avec tout le zeste d’une patate sur roues et ne se gavera pas d’essence comme un VUS compact. Chevrolet a trouvé la taille idéale pour la plupart des acheteurs.
Les premiers exemplaires arriveront chez les concessionnaires bientôt, et le prix oscillera entre 20 000 et 30 000 $.
Bref, au chapitre de la polyvalence, de la consommation, du raffinement et de la grosseur, l’Orlando devrait frapper dans le mille dans sa fourchette de prix. Une garantie supérieure, l’exclusif système OnStar et un châssis ainsi qu’un groupe motopropulseur étonnamment raffinés aideront sans doute à attirer les acheteurs aussi.
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| Les premiers exemplaires arriveront chez les concessionnaires bientôt, et le prix oscillera entre 20 000 et 30 000 $. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Et par rapport aux fourgonnettes plus imposantes, l’Orlando n’avancera pas avec tout le zeste d’une patate sur roues et ne se gavera pas d’essence comme un VUS compact. Chevrolet a trouvé la taille idéale pour la plupart des acheteurs.
Les premiers exemplaires arriveront chez les concessionnaires bientôt, et le prix oscillera entre 20 000 et 30 000 $.
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