2e place – Nissan JUKE SL à TI 2013 (82,7 %)
L'insolite Juke a bien mérité sa seconde place. Honnêtement, la seule chose qui l'a empêché de ravir les grands honneurs de notre essai comparatif des petits multisegments alternatifs est son look très radical, autant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Ça et quelques problèmes d'espace.
Clairement, Nissan n'a pas peur d'oser en matière de design (ce qui est souvent un euphémisme pour parler d'un style qui ne plaira pas à la majorité). Or, même si nos essayeurs ont émis des commentaires tels que « drôle de gueule » et « seul Picasso pourrait l'aimer », aucun d'entre eux ne l'a carrément détesté.
Même son de cloche dans l'habitacle. Avec des garnitures de couleur assortie à la carrosserie un peu partout (rouge dans notre cas), on comprend facilement pourquoi le Nissan JUKE 2013 suscite des réactions aussi tranchées. Malgré cela, tous ont reconnu que le bloc central était bien aménagé et simple à utiliser. Le volant offre une bonne prise en main et les cadrans d'allure sport sont bien disposés.
La qualité d'assemblage et la finition du JUKE font mentir son prix. Les coutures de couleur sur les sièges en cuir de cette version SL ainsi que la sensation raffinée des commandes ont beaucoup plu à l'ensemble de notre jury.
La beauté du Nissan JUKE 2013, c'est justement qu'on ne voit plus son faciès en conduisant. Évidemment, ça aide aussi de pouvoir compter sur un moteur turbo de 1,6 L qui développe 188 chevaux (plus que tous les autres multisegments de notre essai) et 177 livres-pied de couple. Même sa boîte Xtronic à variation continue nous a impressionnés sur les routes sinueuses de la banlieue : elle ne génère pas trop de bruit et son mode Sport contrôlé par le levier assure des passages rapides.
Le JUKE a fini deuxième au chapitre de la consommation avec une moyenne de 11,9 L/100 km, et ce, même si nos essayeurs ont ressenti l'envie de le pousser un peu plus à fond tellement sa conduite est excitante.
D'un autre côté, l'espace et l'accès à l'habitacle font quelque peu défaut. La garde au sol reste quand même basse (environ 170 millimètres), mais la petitesse et la forme de l'ouverture des portières contribuent à nous faire sentir à l'étroit. Le siège pour enfant entre tout juste et ce n'est pas avant d'avoir enlevé l'appuie-tête arrière. Quant à la poussette, nous n'avons même pas pu l'insérer dans le coffre (pourtant, il totalise 297 litres). Enfin, le design du Nissan JUKE 2013 limite beaucoup la visibilité arrière comparativement aux autres multisegments.
L'insolite Juke a bien mérité sa seconde place. Honnêtement, la seule chose qui l'a empêché de ravir les grands honneurs de notre essai comparatif des petits multisegments alternatifs est son look très radical, autant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Ça et quelques problèmes d'espace.
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| Nos essayeurs ont émis des commentaires tels que « drôle de gueule » et « seul Picasso pourrait l'aimer ». (Photo: Sébastien D'Amour) |
Clairement, Nissan n'a pas peur d'oser en matière de design (ce qui est souvent un euphémisme pour parler d'un style qui ne plaira pas à la majorité). Or, même si nos essayeurs ont émis des commentaires tels que « drôle de gueule » et « seul Picasso pourrait l'aimer », aucun d'entre eux ne l'a carrément détesté.
Même son de cloche dans l'habitacle. Avec des garnitures de couleur assortie à la carrosserie un peu partout (rouge dans notre cas), on comprend facilement pourquoi le Nissan JUKE 2013 suscite des réactions aussi tranchées. Malgré cela, tous ont reconnu que le bloc central était bien aménagé et simple à utiliser. Le volant offre une bonne prise en main et les cadrans d'allure sport sont bien disposés.
La qualité d'assemblage et la finition du JUKE font mentir son prix. Les coutures de couleur sur les sièges en cuir de cette version SL ainsi que la sensation raffinée des commandes ont beaucoup plu à l'ensemble de notre jury.
La beauté du Nissan JUKE 2013, c'est justement qu'on ne voit plus son faciès en conduisant. Évidemment, ça aide aussi de pouvoir compter sur un moteur turbo de 1,6 L qui développe 188 chevaux (plus que tous les autres multisegments de notre essai) et 177 livres-pied de couple. Même sa boîte Xtronic à variation continue nous a impressionnés sur les routes sinueuses de la banlieue : elle ne génère pas trop de bruit et son mode Sport contrôlé par le levier assure des passages rapides.
Le JUKE a fini deuxième au chapitre de la consommation avec une moyenne de 11,9 L/100 km, et ce, même si nos essayeurs ont ressenti l'envie de le pousser un peu plus à fond tellement sa conduite est excitante.
D'un autre côté, l'espace et l'accès à l'habitacle font quelque peu défaut. La garde au sol reste quand même basse (environ 170 millimètres), mais la petitesse et la forme de l'ouverture des portières contribuent à nous faire sentir à l'étroit. Le siège pour enfant entre tout juste et ce n'est pas avant d'avoir enlevé l'appuie-tête arrière. Quant à la poussette, nous n'avons même pas pu l'insérer dans le coffre (pourtant, il totalise 297 litres). Enfin, le design du Nissan JUKE 2013 limite beaucoup la visibilité arrière comparativement aux autres multisegments.
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| La qualité d'assemblage et la finition du JUKE font mentir son prix. (Photo: Sébastien D'Amour) |