Nissan a annoncé hier que sa technologie ProPILOT Assist serait rendue disponible sur un plus grand nombre de modèles à travers sa gamme (et le monde), y compris le Qashqai qui est commercialisé chez nous.
Introduit l’an dernier, celui-ci est déjà le deuxième produit le plus populaire du constructeur au pays.
Lorsqu’activé, le système ProPILOT Assist facilite la tenue d’une trajectoire centrée à l’intérieur d’une voie et est aussi capable de prendre en charge la conduite (accélération, freinage et maintien dans la voie) dans la circulation lourde, tout en conservant une distance sécuritaire avec le véhicule qui précède.
Bien sûr, la technologie n’est pas infaillible et Nissan rappelle qu’en tout temps, le conducteur doit demeurer alerte et être prêt à intervenir. Pour l’avoir mis à l’essai, nous pouvons vous assurer qu’elle fonctionne, mais qu’elle n’est pas parfaite non plus. Conséquemment, la concentration est requise en tout moment.
En fait, ce système de conduite semi-autonome est une première étape que franchit le constructeur en la matière. Il faut s’attendre à ce qu’au cours des prochaines années, d’autres fonctions soient ajoutées au dispositif pour augmenter les capacités « autonomes » du véhicule qu’il sert. La possibilité de voir un produit Nissan être en mesure d’exécuter un virage sans l’aide de son conducteur à une intersection en est un exemple.
L’approche ProPILOT Assist est proposée depuis 2016 sur la fourgonnette Serena qui est vendue au Japon. Elle a depuis été ajoutée à l’équipement d’autres produits de la gamme. Chez nous, la LEAF, le Rogue, et bientôt le Qashqai, pourront en profiter.
L’Altima, entièrement repensée pour 2019, n’a pas été oubliée au passage.
D’ici 2022, Nissan souhaite qu’une vingtaine de modèles, répartis à travers autant de marchés, jouissent de cette avancée.