Nouvelle agilité
Si la smart est la championne de l'agilité, elle n'est pas la championne de la puissance. On mise toujours sur l'économie de carburant même si on a augmenté la puissance du moteur de 15 % (il développera désormais 72 chevaux) pour les moteurs à essence traditionnels. Les amateurs de la version diesel devront se montrer patients; on ne prévoit pas la commercialiser chez nous pour l'instant.
La beauté des modifications, cependant, c'est la mise en place d'une nouvelle boîte de vitesses à double engrenage qui, promet-on, éliminera les soubresauts vécus par l'ancienne boîte séquentielle. Alleluia, crieront les amateurs !
On a également refait les suspensions et la direction; on trouvera, notamment, une version électromécanique de la direction, offerte en option. Ainsi outillée, la smart a un rayon de braquage digne d'un vélo (8,75 mètres) et continue d'être maniable comme un petit kart.
Habitacle repensé
Seul bémol sur ces modifications, l'intérieur a dû subir les affres d'un restylage, ce qui n'est pas nécessairement une bonne nouvelle. Le tableau de bord étriqué de la première génération conférait une allure moderne et différente à la petite citadine. Les nouvelles règles de construction en matière de sécurité ont toutefois forcé les ingénieurs à redresser le tout, rendant la console centrale plus uniforme et conforme à ce qui se fait dans l'industrie.
Dommage, car c'est bien là le seul endroit où la smart a dû vendre son âme pour se renouveler.
photo:Marc Bouchard, DaimlerChrysler
Si la smart est la championne de l'agilité, elle n'est pas la championne de la puissance. On mise toujours sur l'économie de carburant même si on a augmenté la puissance du moteur de 15 % (il développera désormais 72 chevaux) pour les moteurs à essence traditionnels. Les amateurs de la version diesel devront se montrer patients; on ne prévoit pas la commercialiser chez nous pour l'instant.
Hartmut Sinkwitz, designer en chef de la seconde génération de la smart. |
La beauté des modifications, cependant, c'est la mise en place d'une nouvelle boîte de vitesses à double engrenage qui, promet-on, éliminera les soubresauts vécus par l'ancienne boîte séquentielle. Alleluia, crieront les amateurs !
On a également refait les suspensions et la direction; on trouvera, notamment, une version électromécanique de la direction, offerte en option. Ainsi outillée, la smart a un rayon de braquage digne d'un vélo (8,75 mètres) et continue d'être maniable comme un petit kart.
Habitacle repensé
Seul bémol sur ces modifications, l'intérieur a dû subir les affres d'un restylage, ce qui n'est pas nécessairement une bonne nouvelle. Le tableau de bord étriqué de la première génération conférait une allure moderne et différente à la petite citadine. Les nouvelles règles de construction en matière de sécurité ont toutefois forcé les ingénieurs à redresser le tout, rendant la console centrale plus uniforme et conforme à ce qui se fait dans l'industrie.
Dommage, car c'est bien là le seul endroit où la smart a dû vendre son âme pour se renouveler.
photo:Marc Bouchard, DaimlerChrysler