Coffre spacieux
Avec ses 480 litres et son seuil abaissé, il est plus facile et agréable d'y loger les valises. On pourra également compter sur les dossiers rabattables pour augmenter ou moduler l'espace de chargement. La passe à ski demeure disponible également.
Du point de vue du pilote
Il jouit d'une très bonne position conduite. L'instrumentation complète, bien alignée vers le conducteur, se repère facilement, et les commandes tombent bien dans les mains. Les commandes, notamment le système de gestion de l'information (MMI), est relativement simple et ne demande que du temps pour apprendre.
Mais il faudra du temps, parce que l'information est très abondante, et les possibilités de configuration, nombreuses. Moi qui n'aime pas la complexité des systèmes de navigation, je dois avouer que, pour nous sortir d'une impasse, j'ai dû me résoudre à l'utiliser : le choix de la langue, l'identification du tracé et le lancement du système se sont faits sans grincements de dents, seulement avec un peu de patience. Et voilà, la dame à la jolie voix nous demandait de faire demi-tour et nous ramenait sur le bon itinéraire en nous tenant presque la main. Nous en avions assez de garder les yeux sur la route.
Toujours aussi sûre
Si le comportement routier de la quattro 3.2 conserve ses grandes qualités, les ingénieurs d'Audi ont mis au point pour cette berline un système de gestion (en option) digne d'une voiture haut de gamme qui permettra à tout conducteur de tirer le meilleur parti de sa voiture en fonction de ses préférences personnelles et des conditions routières. Ce système vient de l'A8. Il me faudra revenir sur les réglages et les configurations que le pilote peut agencer au chapitre de la puissance, des degrés de fermeté de la suspension ainsi que de la direction. Je n'ai pas eu le temps de l'essayer.
Avec ses 480 litres et son seuil abaissé, il est plus facile et agréable d'y loger les valises. On pourra également compter sur les dossiers rabattables pour augmenter ou moduler l'espace de chargement. La passe à ski demeure disponible également.
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| L'ouverture plus grande permet un accès plus aisé. |
Du point de vue du pilote
Il jouit d'une très bonne position conduite. L'instrumentation complète, bien alignée vers le conducteur, se repère facilement, et les commandes tombent bien dans les mains. Les commandes, notamment le système de gestion de l'information (MMI), est relativement simple et ne demande que du temps pour apprendre.
Mais il faudra du temps, parce que l'information est très abondante, et les possibilités de configuration, nombreuses. Moi qui n'aime pas la complexité des systèmes de navigation, je dois avouer que, pour nous sortir d'une impasse, j'ai dû me résoudre à l'utiliser : le choix de la langue, l'identification du tracé et le lancement du système se sont faits sans grincements de dents, seulement avec un peu de patience. Et voilà, la dame à la jolie voix nous demandait de faire demi-tour et nous ramenait sur le bon itinéraire en nous tenant presque la main. Nous en avions assez de garder les yeux sur la route.
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| En version 3.2 quattro, la A4 propose en option un système de gestion sophistiqué. |
Toujours aussi sûre
Si le comportement routier de la quattro 3.2 conserve ses grandes qualités, les ingénieurs d'Audi ont mis au point pour cette berline un système de gestion (en option) digne d'une voiture haut de gamme qui permettra à tout conducteur de tirer le meilleur parti de sa voiture en fonction de ses préférences personnelles et des conditions routières. Ce système vient de l'A8. Il me faudra revenir sur les réglages et les configurations que le pilote peut agencer au chapitre de la puissance, des degrés de fermeté de la suspension ainsi que de la direction. Je n'ai pas eu le temps de l'essayer.