Un gros avantage de la A4 est la dimension de son coffre. J’ai pu transporter l’épicerie de toute ma famille pour deux semaines et j’avais encore de la place disponible. Si vous avez des sacs de golf ou des sacs de hockey, vous ne devriez avoir aucun problème à les charger. Au besoin, les dossiers arrière se rabattent (60/40) pour fournir plus d’espace.
Dans les cours de centres commerciaux, je peux vous dire que j’ai tiré profit de toute la visibilité à ma disposition pour trouver une place et éviter les accrochages. Et Dieu merci, les puissants freins à disque font un boulot remarquable dans ce genre de situation.
Au centre-ville, la A4 peut se faufiler à travers la circulation comme une reine. Les grandes vitres qui m’ont si bien servi dans les stationnements ont été tout aussi utiles lors des changements de voie et des embarquements sur l’autoroute. Sur ce dernier point, il faut reconnaître que la force d’accélération du V6 de 265 chevaux a également joué un grand rôle. La direction, de son côté, est toujours directe et précise.
Les longues promenades à bord de cette Allemande s’avèrent fort relaxantes. Je n’ai jamais vraiment conduit toute la journée, sauf une fois où je me suis tapé six heures de route. En arrivant devant chez moi, je me sentais encore frais et dispos, tellement que j’étais prêt à continuer mon chemin. J’ai de plus apprécié le fait que les cadrans demeurent lisibles même en plein soleil et lorsque je portais des verres fumés.
Dans les courbes, la A4 quattro se comporte à peu près comme toutes les autres berlines de sa catégorie. Toutefois, en portant attention, on peut sentir une différence en termes de confort et de vitesse. Le roulis de caisse est quand même présent, bien que cela n’empêche pas la voiture de garder la ligne qu’on lui dicte. On profite donc d’une plus grande facilité à entrer et surtout à sortir des virages, ce qui nous aide à relaxer au volant (je me suis même permis d’admirer le paysage).
Évidemment, il y a des occasions où il est possible de lâcher son fou. Par exemple, sur les routes de gravier, on peut s’élancer dans une courbe comme s’il s’agissait d’un bolide de rallye ou presque. Le sourire qui s’ensuit est à la mesure du dérapage contrôlé qu’on effectue au volant de la A4. Ceci dit, vous êtes quand même mieux de ralentir pour vous assurer de ne pas rater la courbe. Heureusement, la voiture nous laisse amplement la chance de corriger nos erreurs avant d’en perdre la maîtrise.
Bref, peu importe leur forme et leur taille, les modèles Audi ont toujours un point en commun : ils sont solides et plaisants sur la route.
photo:Charles Renny
Dans les cours de centres commerciaux, je peux vous dire que j’ai tiré profit de toute la visibilité à ma disposition pour trouver une place et éviter les accrochages. Et Dieu merci, les puissants freins à disque font un boulot remarquable dans ce genre de situation.
Au centre-ville, la A4 peut se faufiler à travers la circulation comme une reine. Les grandes vitres qui m’ont si bien servi dans les stationnements ont été tout aussi utiles lors des changements de voie et des embarquements sur l’autoroute. Sur ce dernier point, il faut reconnaître que la force d’accélération du V6 de 265 chevaux a également joué un grand rôle. La direction, de son côté, est toujours directe et précise.
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| Cette Audi a un moteur V6 de 265 chevaux. |
Les longues promenades à bord de cette Allemande s’avèrent fort relaxantes. Je n’ai jamais vraiment conduit toute la journée, sauf une fois où je me suis tapé six heures de route. En arrivant devant chez moi, je me sentais encore frais et dispos, tellement que j’étais prêt à continuer mon chemin. J’ai de plus apprécié le fait que les cadrans demeurent lisibles même en plein soleil et lorsque je portais des verres fumés.
Dans les courbes, la A4 quattro se comporte à peu près comme toutes les autres berlines de sa catégorie. Toutefois, en portant attention, on peut sentir une différence en termes de confort et de vitesse. Le roulis de caisse est quand même présent, bien que cela n’empêche pas la voiture de garder la ligne qu’on lui dicte. On profite donc d’une plus grande facilité à entrer et surtout à sortir des virages, ce qui nous aide à relaxer au volant (je me suis même permis d’admirer le paysage).
Évidemment, il y a des occasions où il est possible de lâcher son fou. Par exemple, sur les routes de gravier, on peut s’élancer dans une courbe comme s’il s’agissait d’un bolide de rallye ou presque. Le sourire qui s’ensuit est à la mesure du dérapage contrôlé qu’on effectue au volant de la A4. Ceci dit, vous êtes quand même mieux de ralentir pour vous assurer de ne pas rater la courbe. Heureusement, la voiture nous laisse amplement la chance de corriger nos erreurs avant d’en perdre la maîtrise.
Bref, peu importe leur forme et leur taille, les modèles Audi ont toujours un point en commun : ils sont solides et plaisants sur la route.
photo:Charles Renny
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