Du style à revendre
Parfois, avec une voiture, le coup de foudre se produit. Peut-être en la
voyant de loin ou peut-être après avoir pris place à son bord. Il se peut aussi que vous ayez essayé toutes ses concurrentes auparavant et qu'elle s'impose comme le choix logique. Peu importe la façon, il y a toujours une voiture qui nous séduit au premier contact.
Pour certains, c'est un coupé sport compact doté d'un moteur fougueux et d'une maniabilité exceptionnelle. Pour d'autres, il s'agit d'un VUS à la position de conduite élevée et aux possibilités de chargement infinies. Pourquoi pas une modeste sous-compacte qui se faufile dans la jungle urbaine et qui peut se garer dans les endroits les plus restreints? Bref, chacun peut y trouver son compte.
Aussitôt que je me suis assis dans l'Audi A4 Avant 2006, j'ai eu le coup de
foudre. Dès les premières secondes, j'ai pu ajuster le siège de façon à avoir un support parfait pour mes jambes et mon dos. Assurément, me suis-je dit, les designers et ingénieurs d'Audi ont utilisé un mannequin qui était exactement du même gabarit que moi lors de la conception des sièges.
Deux ou trois minutes plus tard, j'étais sur la route, loin des bureaux de Volkswagen. J'ai programmé la radio tout en chantant par-dessus la musique, j'ai réglé le climatiseur et j'ai conduit l'esprit tranquille, à peine conscient des manoeuvres requises pour obtenir les actions désirées. Je me suis déplacé ainsi pendant de longs moments, arpentant les rues et les boulevards de la ville sans la frénésie des embouteillages matinaux. Évidemment, ça aide d'avoir une transmission automatique.
Mais j'adore aussi les petits détails, comme le type de caractères utilisé pour les cadrans, qui est un de mes préférés. (Je suis graphiste à temps
partiel, alors vous comprendrez ma fascination.) Le soir, tous les petits chiffres sur les écrans ACL ainsi que les lettres sont illuminés en rouge sur fond noir; idem pour les symboles sur le climatiseur et le système de son, qui sont alignés logiquement sur le bloc central et qui sont très beaux à regarder du coin de l'oeil en conduisant. Une chaîne audio Bose est disponible en option pour ceux qui raffolent des marques, mais le système standard à 10 haut-parleurs est bon, très bon.
Passons maintenant aux choses sérieuses: la conduite. La A4 Avant que j'ai conduite renfermait le nouveau moteur turbocompressé de 2,0 litres d'Audi. Celui-ci s'accompagne de la technologie d'injection directe FSI («Fuel Straight Injection»), dans laquelle le jet d'essence va directement dans le cylindre. Je me suis familiarisé abondamment avec ce moteur en
essayant la nouvelle Jetta de Volkswagen. Dans la A4, il développe également 200 chevaux et 207 lb-pi de couple; toutefois, grâce à l'ensemble de roues et de pneus de meilleure qualité et à la suspension plus sportive d'Audi, la différence était considérable. Je crois que je n'aurais pas pu demander mieux.
Étonnamment, il n'y avait pas de transmission DSG, mais seulement l'automatique à six vitesses avec mode manuel Tiptronic d'Audi. Elle est communicative jusqu'à un certain point, mais je n'étais pas d'humeur à changer moi-même les rapports. J'ai donc maintenu la plupart du temps le mode Sport, qui retarde les passages supérieurs afin de conserver un régime optimal et qui travaille lors du freinage pour rétrograder jusqu'à l'immobilisation de la voiture. À moins d'avoir des leviers de commande au volant, je me contente habituellement de contrôler ma voiture par la seule force de mon pied droit.
Parfois, avec une voiture, le coup de foudre se produit. Peut-être en la
 |
| Parfois, avec une voiture, le coup de foudre se produit. La Audi A4 Avant semble avoir été conçue spécifiquement pour moi. (Photo: Justin Couture, Canadian Auto Press) |
Pour certains, c'est un coupé sport compact doté d'un moteur fougueux et d'une maniabilité exceptionnelle. Pour d'autres, il s'agit d'un VUS à la position de conduite élevée et aux possibilités de chargement infinies. Pourquoi pas une modeste sous-compacte qui se faufile dans la jungle urbaine et qui peut se garer dans les endroits les plus restreints? Bref, chacun peut y trouver son compte.
Aussitôt que je me suis assis dans l'Audi A4 Avant 2006, j'ai eu le coup de
 |
| La A4 Avant est tellement bien aménagée et configurée que j'étais à peine conscient des manoeuvres requises pour obtenir les actions désirées. (Photo: Justin Couture, Canadian Auto Press) |
Deux ou trois minutes plus tard, j'étais sur la route, loin des bureaux de Volkswagen. J'ai programmé la radio tout en chantant par-dessus la musique, j'ai réglé le climatiseur et j'ai conduit l'esprit tranquille, à peine conscient des manoeuvres requises pour obtenir les actions désirées. Je me suis déplacé ainsi pendant de longs moments, arpentant les rues et les boulevards de la ville sans la frénésie des embouteillages matinaux. Évidemment, ça aide d'avoir une transmission automatique.
Mais j'adore aussi les petits détails, comme le type de caractères utilisé pour les cadrans, qui est un de mes préférés. (Je suis graphiste à temps
 |
| Le soir, tous les petits chiffres sur les écrans ACL ainsi que les lettres sont illuminés en rouge sur fond noir; idem pour les symboles sur le climatiseur et le système de son. (Photo: Justin Couture, Canadian Auto Press) |
Passons maintenant aux choses sérieuses: la conduite. La A4 Avant que j'ai conduite renfermait le nouveau moteur turbocompressé de 2,0 litres d'Audi. Celui-ci s'accompagne de la technologie d'injection directe FSI («Fuel Straight Injection»), dans laquelle le jet d'essence va directement dans le cylindre. Je me suis familiarisé abondamment avec ce moteur en
 |
| La A4 Avant que j'ai conduite renfermait le nouveau moteur turbocompressé de 2,0 litres d'Audi. Celui-ci s'accompagne de la technologie d'injection directe FSI. (Photo: Justin Couture, Canadian Auto Press) |
Étonnamment, il n'y avait pas de transmission DSG, mais seulement l'automatique à six vitesses avec mode manuel Tiptronic d'Audi. Elle est communicative jusqu'à un certain point, mais je n'étais pas d'humeur à changer moi-même les rapports. J'ai donc maintenu la plupart du temps le mode Sport, qui retarde les passages supérieurs afin de conserver un régime optimal et qui travaille lors du freinage pour rétrograder jusqu'à l'immobilisation de la voiture. À moins d'avoir des leviers de commande au volant, je me contente habituellement de contrôler ma voiture par la seule force de mon pied droit.