Merveilleusement raffiné, ce V8 est utilisé à toutes les sauces dans la gamme d'Audi. Il est autant louangé par les conducteurs qui exigent une performance robuste que par ceux qui s'extasient en entendant le grondement que seul un V8 parfaitement équilibré peut produire.
Avec une puissance aussi généreuse en réserve et l'apport d'un différentiel central, le Q7 est extrêmement habile à gagner de la vitesse, quel que soit l'état de la chaussée.
Sur la route
Richement équipé, le Q7 nous permet de trouver une position de conduite confortable à l'aide d'une série d'ajustements du siège et d'un volant inclinable/télescopique. Une fois fait, le système de mémorisation peut enregistrer nos réglages (et ceux de deux autres conducteurs) afin que l'on retrouve toujours la même position en s'assoyant dans le siège.
Démarrer le moteur est un jeu d'enfant; on n'a qu'à presser un bouton sur le bloc central (à condition que la clé intelligente soit dans les environs, disons dans nos poches). Au fur et à mesure que le Q7 prend vie, son grognement solennel laisse présager ce qui s'en vient. On ajuste les miroirs (dont la dimension est très appréciable, dois-je préciser) et on part. En peu de temps, le Q7 nous fait sentir toute sa fougue et sa prouesse sur la route.
La puissance d'accélération et de freinage est abondante et la sensibilité du moteur aux mouvements de la pédale d'accélérateur est des plus satisfaisante. On ne croirait jamais que le Q7 pèse 2734 kilos (5467 livres) tellement il est énergique et fonceur, que ce soit au décollage ou lors des dépassements. Si on a besoin de ralentir brusquement, les quatre freins à disque avec antiblocage fourniront toute la force nécessaire pour livrer le résultat escompté.
La sportivité a un prix
Quand on attaque les virages, le Q7 fait mentir son poids et son gabarit. Loin de se montrer lourdaud et lent à réagir, le véhicule effectue des transitions en un éclair, et ce, sans même faire crisser les pneus ou tanguer excessivement. Il plante ses griffes dans la route et obéit instantanément à tous les ordres de son maître. Pas de tracas ni de fracas.
Le prix à payer pour une agilité aussi exemplaire est bien sûr un roulement ferme. Bien que le Q7 soit un VUS de luxe, il ne se compare nullement à un Lincoln ou à un Lexus en termes de confort routier. Mais ne partez pas en peur, toutefois, car vos intestins et tous vos os demeureront à leur place et en bon état. Il se peut que vos passagers vous disent: «Il me semble que ça manque de souplesse». Mais ils s'empresseront vite d'ajouter: «Ça tient la route en maudit, par contre!».
En effet...
Avec une puissance aussi généreuse en réserve et l'apport d'un différentiel central, le Q7 est extrêmement habile à gagner de la vitesse, quel que soit l'état de la chaussée.
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| Le Q7 traite ses occupants aux petits oignons. |
Sur la route
Richement équipé, le Q7 nous permet de trouver une position de conduite confortable à l'aide d'une série d'ajustements du siège et d'un volant inclinable/télescopique. Une fois fait, le système de mémorisation peut enregistrer nos réglages (et ceux de deux autres conducteurs) afin que l'on retrouve toujours la même position en s'assoyant dans le siège.
Démarrer le moteur est un jeu d'enfant; on n'a qu'à presser un bouton sur le bloc central (à condition que la clé intelligente soit dans les environs, disons dans nos poches). Au fur et à mesure que le Q7 prend vie, son grognement solennel laisse présager ce qui s'en vient. On ajuste les miroirs (dont la dimension est très appréciable, dois-je préciser) et on part. En peu de temps, le Q7 nous fait sentir toute sa fougue et sa prouesse sur la route.
La puissance d'accélération et de freinage est abondante et la sensibilité du moteur aux mouvements de la pédale d'accélérateur est des plus satisfaisante. On ne croirait jamais que le Q7 pèse 2734 kilos (5467 livres) tellement il est énergique et fonceur, que ce soit au décollage ou lors des dépassements. Si on a besoin de ralentir brusquement, les quatre freins à disque avec antiblocage fourniront toute la force nécessaire pour livrer le résultat escompté.
La sportivité a un prix
Quand on attaque les virages, le Q7 fait mentir son poids et son gabarit. Loin de se montrer lourdaud et lent à réagir, le véhicule effectue des transitions en un éclair, et ce, sans même faire crisser les pneus ou tanguer excessivement. Il plante ses griffes dans la route et obéit instantanément à tous les ordres de son maître. Pas de tracas ni de fracas.
Le prix à payer pour une agilité aussi exemplaire est bien sûr un roulement ferme. Bien que le Q7 soit un VUS de luxe, il ne se compare nullement à un Lincoln ou à un Lexus en termes de confort routier. Mais ne partez pas en peur, toutefois, car vos intestins et tous vos os demeureront à leur place et en bon état. Il se peut que vos passagers vous disent: «Il me semble que ça manque de souplesse». Mais ils s'empresseront vite d'ajouter: «Ça tient la route en maudit, par contre!».
En effet...
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| Ce gros véhicule pèse 5467 livres, mais il ne paraît pas aussi lourd quand on le conduit. |